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Le plaisir de lire est un souvenir cher à l'ami lecteur. La joie d'écrire tinte dans le grelot du silence. Si tu voulais vivre le printemps. Et si j'étais un mot, ce serait le sourire d'aujourd'hui et demain. Et le temps qui est un tourbillon, se métamorphose en chance ou don. C'est une fusion le miracle d'une vie car la licorne t'a choisi. Alors tu es là, avec tes larmes et ton rire. Puis ce sourire quand tu t'en vas retrouver le monde ordinaire. Vers les moments qui portent l'étrange nom que je prononce pour toi.
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Seitenzahl: 41
Veröffentlichungsjahr: 2023
L’instantanéité de nos pensées l’un pour l’autre est un miracle. Elle nous fait vivre l’euphorie. Alors je peux t’aimer en toute écriture et poétiquement t’en faire le don.
Le plaisir de lire
Souvenir
À l’ami lecteur,
La joie d’écrire
Le grelot du silence
Si tu voulais
Le printemps
Et si j’étais un mot
Le sourire
Aujourd’hui et demain
Le temps
Le tourbillon
La chance
Le don
La fusion
Une vie
La licorne t’a choisi
Tu es là
Tes larmes et ton rire
Ce sourire
Quand tu t’en vas
Le monde ordinaire
Les moments
L’étrange nom
Pour toi
Partage les souvenirs
À la fleur du rire,
Au moins juste ton sourire.
Dans ton regard incandescent
Brille l’avenir de tous les enfants.
Un enfant qui lit
Souvent, un livre de féérie
Un livre dont la seule fée est lui.
Un livre qui donne des ailes
Et qui souvent se rebelle
Contre les autodafés.
Un livre qui naît
Ne doit pas mourir
Espérer un avenir.
Peut-on dire qu’un livre est sacré
Quelle est sa vérité ?
Quelques pages
Qui racontent un visage,
Quelques visages
Qui racontent une page.
Te souviens-tu quand tu courais
Fleur parmi les fleurs dans la forêt ?
Et pourtant, le vent soufflait.
Je me souviens de ce visage
Qui souriait sous l’orage
Je me souviens de ce regard
Où respirait ta nouvelle histoire.
Elle semblait bleue
Elle chantait pour les amoureux,
Elle pleurait pour les mendiants
Et tremblait comme l’enfant.
Et des larmes si claires
Pour exaucer l’hiver
Pour approcher l’été,
Pour laisser les fleurs danser
Des tournesols à la fureur des soleils
Des lumières à la lueur de la vermeille
Qui se déplacent lentement
Sans peur, dans un éclair, dans un vent :
Une lueur dans la nuit
Un scintillement au bord de l’infini.
Et tu es là,
Toi :
Ton visage
Ton corps
Ton présage
De nos deux cœurs mêlés.
Je t’aime plus que l’éternité
Tu es ma vie réenchantée,
Tu es la pluie
Douce et chaude d’un paradis
Où dansent ensemble
Les démons et les anges
Réconciliés devant le paysage
D’une éternité qui commence sur ton visage,
Parce qu’il sourit,
Même s’il tremble
Parce qu’il dit : “oui“.
Alors à mon tour je dis : “oui“
Et nous nous aimons
Plus loin encore que l’horizon.
Je te salue,
Tu me salues,
Tes yeux me lisent
Et je vois des couleurs exquises.
Cette lumière dans tes yeux
Me calme et pose ses feux,
Sur le parchemin délicat,
Où tu poses tes doigts
Et les lettres s’animent selon les traits rimbaldiens,
Alors, dans le matin
Se posent les couleurs
Qui ont touché, le velours de ton cœur.
À l’ami lecteur
Merci d’apporter ce bonheur
D’exister en même temps que toi.
Tu es peut-être cette première fois
Où tu vois les mots danser
Sur la délicatesse feutrée
D'une plume attendrie
Devant ton sourire si proche de l’infini.
De planer, de s’envoler dans un délire
Où tu souris et tu chantes
Parfois comme un écho qui vient de l’avenir.
La joie est encore plus forte, lorsqu’elle est consciente.
J’écris pour voir vos sourires d’amour
J’écris pour saluer le jour
Qui apparaît majestueux
Pour eux, toi, moi, nous deux.
Alors ensemble, nous écrivons dans les cieux
Les oiseaux fous de gloire qui traversent le ciel
Et qui s’arrêtent pour déposer leurs ailes,
Quelquefois sur un roc parmi la mer
Quelque fois sur la paume de ta main princière.
Alors j’écris dans le creux de ta main
Des lignes et des mots qui se caressent chacun.
Je grave une étoile dans ton cœur
Je grave un sourire pour ton bonheur.
Ce sourire a le goût salé
Des pleurs de la fée
Ivre de t’avoir trop aimé
Fragile de t’attendre depuis toujours.
Alors, je prends ma plume et je parle de son amour.
La joie d’écrire
D’une fée, l’avenir
La joie de chanter sans avoir peur de mourir,
Parce que la mort est stupide
Elle se meurt elle-même dans le vide.
Alors, la plume plonge dans le néant
Sans résister plus longtemps,
Et toute cette encre qui se déverse
Avec la pluie d’averses, converse
Elles se parlent de mystères et de vents.
Elles font vibrer le cœur des amants
Et de toi à moi, si j’aime écrire
C’est juste pour t’envoyer un sourire.
Tinte devant les fées et leur insolence,
Un tel son monte au sommet des arbres
Et frôle les colonnes de marbre.
Elles s’effritent
Tandis que le lutin s’agite
Pour faire rire les fous
Et les feux-follets
Dont la statue reste, regard debout.
Regard troublant, pénétrant
Quelquefois insolent,
Toujours vaillant,
Il tintinne avec le rire des fées
Il carillonne avec les lutins de la forêt.