Un Poème pour Un Jour - Sandrine Adso - E-Book

Un Poème pour Un Jour E-Book

Sandrine Adso

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Beschreibung

Le plaisir de lire est un souvenir cher à l'ami lecteur. La joie d'écrire tinte dans le grelot du silence. Si tu voulais vivre le printemps. Et si j'étais un mot, ce serait le sourire d'aujourd'hui et demain. Et le temps qui est un tourbillon, se métamorphose en chance ou don. C'est une fusion le miracle d'une vie car la licorne t'a choisi. Alors tu es là, avec tes larmes et ton rire. Puis ce sourire quand tu t'en vas retrouver le monde ordinaire. Vers les moments qui portent l'étrange nom que je prononce pour toi.

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Seitenzahl: 41

Veröffentlichungsjahr: 2023

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L’instantanéité de nos pensées l’un pour l’autre est un miracle. Elle nous fait vivre l’euphorie. Alors je peux t’aimer en toute écriture et poétiquement t’en faire le don.

Table des matières

Le plaisir de lire

Souvenir

À l’ami lecteur,

La joie d’écrire

Le grelot du silence

Si tu voulais

Le printemps

Et si j’étais un mot

Le sourire

Aujourd’hui et demain

Le temps

Le tourbillon

La chance

Le don

La fusion

Une vie

La licorne t’a choisi

Tu es là

Tes larmes et ton rire

Ce sourire

Quand tu t’en vas

Le monde ordinaire

Les moments

L’étrange nom

Pour toi

Le plaisir de lire

Partage les souvenirs

À la fleur du rire,

Au moins juste ton sourire.

Dans ton regard incandescent

Brille l’avenir de tous les enfants.

Un enfant qui lit

Souvent, un livre de féérie

Un livre dont la seule fée est lui.

Un livre qui donne des ailes

Et qui souvent se rebelle

Contre les autodafés.

Un livre qui naît

Ne doit pas mourir

Espérer un avenir.

Peut-on dire qu’un livre est sacré

Quelle est sa vérité ?

Quelques pages

Qui racontent un visage,

Quelques visages

Qui racontent une page.

Te souviens-tu quand tu courais

Fleur parmi les fleurs dans la forêt ?

Et pourtant, le vent soufflait.

Souvenir

Je me souviens de ce visage

Qui souriait sous l’orage

Je me souviens de ce regard

Où respirait ta nouvelle histoire.

Elle semblait bleue

Elle chantait pour les amoureux,

Elle pleurait pour les mendiants

Et tremblait comme l’enfant.

Et des larmes si claires

Pour exaucer l’hiver

Pour approcher l’été,

Pour laisser les fleurs danser

Des tournesols à la fureur des soleils

Des lumières à la lueur de la vermeille

Qui se déplacent lentement

Sans peur, dans un éclair, dans un vent :

Une lueur dans la nuit

Un scintillement au bord de l’infini.

Et tu es là,

Toi :

Ton visage

Ton corps

Ton présage

De nos deux cœurs mêlés.

Je t’aime plus que l’éternité

Tu es ma vie réenchantée,

Tu es la pluie

Douce et chaude d’un paradis

Où dansent ensemble

Les démons et les anges

Réconciliés devant le paysage

D’une éternité qui commence sur ton visage,

Parce qu’il sourit,

Même s’il tremble

Parce qu’il dit : “oui“.

Alors à mon tour je dis : “oui“

Et nous nous aimons

Plus loin encore que l’horizon.

À l’ami lecteur,

Je te salue,

Tu me salues,

Tes yeux me lisent

Et je vois des couleurs exquises.

Cette lumière dans tes yeux

Me calme et pose ses feux,

Sur le parchemin délicat,

Où tu poses tes doigts

Et les lettres s’animent selon les traits rimbaldiens,

Alors, dans le matin

Se posent les couleurs

Qui ont touché, le velours de ton cœur.

À l’ami lecteur

Merci d’apporter ce bonheur

D’exister en même temps que toi.

Tu es peut-être cette première fois

Où tu vois les mots danser

Sur la délicatesse feutrée

D'une plume attendrie

Devant ton sourire si proche de l’infini.

La joie d’écrire

De planer, de s’envoler dans un délire

Où tu souris et tu chantes

Parfois comme un écho qui vient de l’avenir.

La joie est encore plus forte, lorsqu’elle est consciente.

J’écris pour voir vos sourires d’amour

J’écris pour saluer le jour

Qui apparaît majestueux

Pour eux, toi, moi, nous deux.

Alors ensemble, nous écrivons dans les cieux

Les oiseaux fous de gloire qui traversent le ciel

Et qui s’arrêtent pour déposer leurs ailes,

Quelquefois sur un roc parmi la mer

Quelque fois sur la paume de ta main princière.

Alors j’écris dans le creux de ta main

Des lignes et des mots qui se caressent chacun.

Je grave une étoile dans ton cœur

Je grave un sourire pour ton bonheur.

Ce sourire a le goût salé

Des pleurs de la fée

Ivre de t’avoir trop aimé

Fragile de t’attendre depuis toujours.

Alors, je prends ma plume et je parle de son amour.

La joie d’écrire

D’une fée, l’avenir

La joie de chanter sans avoir peur de mourir,

Parce que la mort est stupide

Elle se meurt elle-même dans le vide.

Alors, la plume plonge dans le néant

Sans résister plus longtemps,

Et toute cette encre qui se déverse

Avec la pluie d’averses, converse

Elles se parlent de mystères et de vents.

Elles font vibrer le cœur des amants

Et de toi à moi, si j’aime écrire

C’est juste pour t’envoyer un sourire.

Le grelot du silence

Tinte devant les fées et leur insolence,

Un tel son monte au sommet des arbres

Et frôle les colonnes de marbre.

Elles s’effritent

Tandis que le lutin s’agite

Pour faire rire les fous

Et les feux-follets

Dont la statue reste, regard debout.

Regard troublant, pénétrant

Quelquefois insolent,

Toujours vaillant,

Il tintinne avec le rire des fées

Il carillonne avec les lutins de la forêt.