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Le peut-être est toujours un cadeau, telle une fenêtre dont on ouvrirait tendrement la poignée.
Das E-Book Le Peut-Être wird angeboten von Books on Demand und wurde mit folgenden Begriffen kategorisiert:
interrogation, Plénitude, Vide, connaissance, Incertitude
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Seitenzahl: 29
Veröffentlichungsjahr: 2023
L’Interrogation veut combler le vide et se rassurer de la plénitude. Son unique but est d’atteindre la connaissance, et chercher la véritable Incertitude.
Encore une fois,
Eux
J’ai attendu
La larme est là
Laisse-moi
L’ami
Le chant de ta voix
Le chevalier à la rose bleue
Le désir est fort
Le rêve de toi
L’endroit bleu
Lui
Pour D
Tu es le berceau de ma vie
Ton chemin
En t’attendant
La question
Le sable (prolongement de la question)
La victoire du temps
La plus belle danse
Le premier rayon de soleil
Merci
La sirène et son miroir
L’attente
Quand tu seras là
Mon calme
La liberté du poète
Tu n’es jamais parti
Je te souris
Sauras-tu ?
Je suis
Le rêve endormi
L’étreinte
Ton sourire sur la mer,
Attendre ton pas,
Au bout de là-bas
Au détour de la plage
Découvrir ton visage
Sur l’avant-garde de la lumière.
Tu es mon centre, mon équilibre
Ma joie qui vibre,
Pleine de tes frissons.
Je m’endors pleine de ton prénom.
Tu es le premier
Et sans doute, le plus bel été.
Toutes les nuits, je cours dans tes bras
T’apporter ma vie, comme un cadeau, comme une loi.
Tu es toutes mes encore une fois
Je t’aime encore
Plus fort,
Vers l’au-delà,
Vers toi.
Parce que tu es à chaque fois, cette nouvelle clarté
Qui fait chanter le jour, lorsqu’il se lève premier
Regard du monde
Au bord des ondes.
Et je t’aime, comme on aime lorsque l’on attend
Que se lève le vent
Pour venir murmurer des merveilles
Qui font le sourire des anges.
Dans la cohorte parfumée du soleil
Alors, j’ose rêver le mélange
Du jour et de la nuit,
Encore une fois,
Et je te souris,
Assise au bord de ma vie.
Ils sont charnels,
Souvent cruels.
Mais toi, toi tu es
Semblable à un vent léger
Qui adoucit les nuits
Et l’espace s’agrandit
Vers un centre infini.
Là où se juxtaposent les forces.
Et bien souvent, je cherche l’écorce
Du plus bel arbre
Pour te poser sur un socle de marbre
Le bouquet frais et fleuri du printemps.
Et j’aime le vent.
Que reviennent ces instants
Où je t’ouvrais la porte de mon bonheur
Là où pour quelques heures,
Je pouvais vibrer sur l’échelle du temps,
Puisqu’à chaque marche, tu posais une fleur.
Alors, dans tes mains
Je redeviendrai ce jardin
Dont les voilures de lin
Doucement, fleurissent avec le matin.
Ainsi s’absentent les ténèbres, pour quelques étoiles
Et le poète les fait danser dans un souffle estival.
J’ai attendu que le ciel s’éteigne, que la pluie vienne
Pour boire à l’élixir de la haine,
Et retrouver le goût de l’amour.
Ce parfum s’anime dès le petit jour,
Et je retrouve ta trace
Et je fais partie de ta race :
Tu es le roi des licornes, le roi de mon amour.
Tu donnes plus que la lumière du jour,
Tu me donnes une raison d’être parmi les fleurs,
Pour notre plus grand bonheur.
Tu es la lumière irisée de l’aurore
Le sceau de Salomon sculpté dans de l’or
Et les vagues de mes nuits
T’emmènent jusqu’au petit matin,
Où avec toi, s’éveille la vie,
Et je sais quand c’est toi qui vient :
Tout le temps…