Poèmes en aparté - Sandrine Adso - E-Book

Poèmes en aparté E-Book

Sandrine Adso

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Beschreibung

Des soleils, des origines, des salutations, des lumières, des printemps, des jours, des nuits, des couleurs, des rêves, des visions, des retours, des fleurs, des mélodies, des vents qui s'assoient à côté de toi pour mieux t'appartenir.

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Seitenzahl: 35

Veröffentlichungsjahr: 2024

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Le secret protégé par notre intimité est la chance de nos partages et de notre fusion.

Table des matières

Bonjour l’amour

Aujourd’hui

À tout ce soleil que je vois dans tes yeux

Au début

Cette lumière

Poème pour le printemps

Des jours et des nuits

Du bleu

Encore une fois

Et si j’aime la nuit

J’ai rêvé

J’ai vu

Je suis revenue

J’entends le vent chanter

La cascade des fleurs

La coupole azurée du ciel

La mélodie de tes yeux

La reine de Saba

L’amour fou

Le jour du bonheur

Le monstre d’acier

Le vent

Le vent du jardin

L’étrange écueil

Où es-tu ?

Pour Gaston

Pourquoi ?

Bonjour l’amour

Tu chantes en ce jour,

Toutes ces chansons

Qui volent jusqu’à l’horizon

Tout autour de nous,

Dans un éveil toujours plus doux.

Et si mon amour va vers Toi, ce matin

C’est encore une fois pour espérer tes mains.

Tes mains d’Homme, qui encore une fois

Traversent l’au-delà

Pour venir jusqu’à moi,

Puisque tu es le capitaine de mon navire

Le prince dans les yeux duquel se reflète tout mon avenir.

Je flotte sur les mers

Devant tes périples extraordinaires,

Je me couche sur les plages

Et en même temps, je caresse tous les rivages.

Alors il n’y a plus qu’une lumière :

Celle de la fin des guerres.

Que ton chant, devienne une ode à la paix

Un secret, enfoui, ressuscité.

J’irai te chercher

Encore plus loin que le dernier été,

J’irai te chercher

Et passionnément, je t’aimerai.

Je t’habille de velours

Et je t’emmène vers l’amour,

Tu es bleu,

Tu es feu.

Tu es le vallon

Dans lequel les licornes font des bonds,

Et tout autour de moi,

J’entends ta voix,

Alors, je chante ton sourire

Et je danse sur les cadences de ton rire.

Oui, tu es tout cela

Encore une fois.

Aujourd’hui

Aujourd’hui c’est l’anniversaire de la Déclaration des Droits de l’Homme,

Pas d’autres condamnations que d’avoir croqué la pomme.

À tous les gnostiques et les anarchistes, fléchissez les canons

OUVREZ les horizons,

Pour sentir le parfum des bourgeons

De cette extraordinaire révolution.

Pour vivre dans le monde de la liberté,

De la tolérance et de la radieuse paix

Tu deviendras ma vérité

Je serais cette liqueur sacrée

Qui bouleversera dans tes yeux

L’espace des jours bondissants et furieux,

Et tels, deux fauves apaisés

Nous irons conquérir le monde

Il y aura l’orge et le blé

Il y aura des milliers de secondes

Qui galopant autour de nous

Nous tiendront encore debout

Lorsque le monde s’écroulera

Puis Kaos jaillira

Et nous découvrirons

Les entrailles de la création,

Toujours un peu plus bleue, un peu plus parfaite

Quelquefois aux regards de fête.

Le ciel s’entrouvrira

Devant un simple feu de bois

Et les étincelles qui en jailliront

Se poseront une à une sur ton horizon.

Alors je verrai des soleils danser dans la nuit

Et je n’aurai plus jamais peur, tous les démons seront à l’agonie.

La vie se posera sur nos vies,

Pour unir nos rêves et nos désirs

Dans un très troublant avenir,

Et …, j’entendrais ton rire

Comme un chant de cristal.

Flamboyant

Puis transparent.

À tout ce soleil que je vois dans tes yeux

À tout ce que je veux t’offrir

Comme autant de jours heureux :

J’ai choisi de fleurir ton avenir

J’ai choisi d’aimer tes désirs

Et de te parler avec des rires.

Merci à toi, à ta lumière

Au calme de la nuit, sans frontières

Laisse-moi être le parfum de tes nuits

Et t’apporter chaque chant et mélodie

Qui te parlent d’amour

Dès l’éveil de la lumière du jour,

Tu es inscrit dans l’aube céleste

Tu es tout ce qu’il me reste

Lorsque descend le rideau du crépuscule.

Alors autour de ta nuit, se bousculent

Toutes les licornes et toutes les fées,

Comme autant de rêves dessinés.

Et je regarde le peintre de ta vie

Mettre des couleurs sur tes envies,

Je t’en prie, regarde avec douceur

Le poète qui trempant sa plume dans son cœur