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Ma voie est tracée, et je vais droit sur le chemin des pierres. Et les ténèbres s'effondrent, me laissant le choix d'être ou ne pas être. Lorsque je t'attendais, ce fut la première fois et le voyage pour toi. Tu m'as tendue la rose du premier matin et tu as fait de mon eau d'enfant une présence pour ceux d'Éclève. Ensemble nous irons jusqu'à la forêt universelle, où ciel et mer se confondent en eau, peut-être même une histoire de sang. J'élèverais jusqu'au sommet mes souvenirs du prisonnier du jour et je les partagerais avec toi, pour que mes regards deviennent des éclairages. Le voyage ensoleillé, qui s'appelle toi, ou mon amour.
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Seitenzahl: 69
Veröffentlichungsjahr: 2021
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La puissance est un outil, avant d’être une qualité. L’exprimer c’est avancer la pensée consciente et inconsciente avec tous ses mystères, particulièrement dans ses incipit.
La genèse du monde ou de l’Homme ? Ce souffle Hé « à partir de cette lettre commence l’épreuve du temps, du biologique. »1Ce vent venu d’on ne sait où qui envahit le firmament, puis ou en même temps le monde du jardin, de l’évolution et du progrès. Les eaux semblent flotter sur le ciel, et le ciel semble flotter sur les eaux. C’est le tout premier commencement à l’étrangeté du monde. Mais aussi à sa simplicité mystérieuse et poétique. « Au commencement », deux mots qui portent tous les sacrés.
L’humanité : l’ensemble de toutes les races, de tous les peuples, est semblable à un rocher au milieu de l’océan que l’on contemple et que l’on supporte mal de voir s’effriter.
Il existe concrètement deux perspectives, l’une gnostique ou l’autre agnostique. Que Dieu existe ou n’existe pas, l’humain accepte et recherche toutes les démarches vers une certaine plénitude.
C’est aussi la joie d’appartenir à un groupe : ne pas être isolé ou exclu.
Du bonheur à la pensée, tout est question de choix : préférer un bonheur simple aux méandres complexes de la réflexion, lorsqu’elle s’attarde à l’amour de la sagesse.
La pensée est ce qu’il y a de plus profond en l’homme, elle peut se faire passion, elle peut se faire amour, haine ; elle est conviction. Comme un écran d’ordinateur qui aurait compris que son énergie est au service de la pensée de son créateur : l’homme.
1 Arouna Lipschitz cité par Frank Lalou, Les Lettres sacrées de l’alphabet hébreu –De l’archéologie à la kabbale, Éd. VEGA, 2015, 311 p., p.102.
“Horizon lumineux“ réalisé par Marie-Blanche Iraldi Durand que je remercie pour l’illustration de la couverture du livre.
Sandrine Adso
“Le soleil à l’horizon éclaire d’une lumière rosée l’étendue des flots d’une infinie douceur.“
M.-B. Iraldi Durand
Mon chemin
Sur le chemin des pierres
Et les ténèbres s’effondrent
Être ou ne pas être
Je t’attendais
La première fois
Le voyage
Pour toi
Rose du premier matin
Eau d’enfant
Présence
Regards sur l’être
Ceux d’Éclève
La forêt universelle
La fleur temporelle
Ciel et mer
L’eau
Histoire de
Condoléances
Souvenirs
Le prisonnier du jour
Sang d’oxygène et d’hydrogène
Regards
Éclairages
Voyage ensoleillé
Quand tu dors
Sur tes yeux, comme sur mes mains
Ton sourire dans mon éternité
Sur les vallées de tes origines
Plus loin que cet arbre
Au fond du coffre de la nuit
Pour ne jamais t’oublier
Tu es mon absolu
Veux-tu chanter avec moi ?
Quand l’instant se fait unique
La promesse du temps
Le visage salvateur
L’amour de ta main
L’océan infini
L’attente de nos espérances
Encore une fois
Le vent qui chante
Univers lumineux
La pluie de ton âme
.
J’ai fui les océans,
J’ai pleuré aux pieds des géants.
Et j’ai senti le vent,
Et j’ai gravi les marches du temps.
J’étais seule et désarmée,
C’était toi que j’attendais :
Lune et soleil
Cristal et vermeil.
Tu es une lumière libérée,
Parfois tu me montres le sentier,
Où nous pouvons panser nos plaies
Comme un onguent venu des fées.
La vie ne se peut seule,
Alors j’ai cherché dans le jour et la nuit
Faire taire la gueule…
Du loup tapi derrière le lit.
Ce qu’il y a de fou
C’est surtout d’oublier tout.
C’est lui
Ce qu’il y a de fou c’est ma vie.
Et je pense toujours à toi
Comme un rocher qui accepte les vagues sans lois.
Et je pense toujours à toi,
Tu m’as montré le soleil,
Je suis tombée en merveille.
Il faut se relever
Et continuer :
Toujours protéger la lumière,
J’ai choisi nos prières.
Une larme pèse lourd,
Un souvenir court.
Dans mon cœur
J’ai encore peur.
Mais tu es parti…
Et qu’aurais-je fait de tes cris,
Quand je méritais un sourire
Et qu’aurais-je fait de ta folie,
Quand il suffisait de rire… ?
Sur le chemin des pierres,
J’ai connu des roses et des arbres verts.
Et puis tout à coup s’est effondrée la lumière,
Alors j’ai pleuré sur le chemin des pierres.
Je n’attendais qu’un ami,
Alors j’ai dit :
Il saura m’aimer
Il saura voler.
Dès ce, la lumière est revenue
Et à nouveau les bras tendus, j’y ai cru.
Parce que ce jour là
C’était toi.
Aucun diadème
Ne pourra être plus puissant que tes « je t’aime »
Aucun stratège,
Juste un homme qui apprend et qui protège
Juste le feu de l’été,
Juste des mots murmurés.
Contre les murs, et les prisons.
Je porterai le flambeau de ta saison.
Contre la douleur
J’irai chercher chaque fleur…
Et pour protéger les silences
J’appellerai les oiseaux
Et pour redonner chance
La symphonie sera allegro.
Sur le chemin des pierres,
J’ai fondu en prières
Et j’ai embrassé le ciel
Car ta lumière est belle.
Au nom de la Lumière,
Berce l’Amour sur Terre.
Pardon de t’aimer, toi lumière
Pardon de pleurer, toi prière.
C’est vrai j’ai trop attendu
Le calme est revenu…
Après la tempête.
Ainsi ont pu renaître les fêtes ;
Et le voilier s’est couché sur le rivage
Là où ; mon sourire te sourit
Et la nuit protège les enfants sauvages
Là où mon sourire leur sourit.
Je t’envoie des baisers
Je te frissonne bleu et rouge
Et l’instant devient éternité
Comme une statue qui bouge
L’amour est devenu profane,
Alors j’attends, perdue dans la forêt
Et j’irai trouver le vent d’été
L’amour est devenu si fort qu’aucune fleur ne se fane.
Quel est ton sourire ?
D’où vient ta lumière ?
C’est l’éclat du rire,
C’est le soleil d’hiver.
Comme je t’aime lumière,
Comme je t’aime prière
Tout s’est posé
Au pied de l’océan fatigué.
Les voiles caressent le sable
Comme un lit, un mur d’érable
Et je te souris
Et l’enfant aussi.
Tu choisis le rouge ou le bleu ?
Tu choisis le vent ou le feu ?
Pardon pour la lumière
Pardon pour la prière.
Je t’aime et je t’attends.
J’ai choisi le vent,
Parce qu’il me porte à tes bras.
Je propose la réouverture des temps
Un dernier soleil couché au-delà
Des horizons, des matins et des printemps.
Oui, le vent dit oui,
Jusqu’aux plus lointains infinis
Parce que le cheval est bleu
Parce que l’éclat aussi bleu,
Te transperce de lumière
Pour aimer aujourd’hui plus qu’hier.
Les ténèbres s’effondrent,
C’est ta vie qui revient.
Les ténèbres s’effondrent,
C’est ma vie qui revient.
Un nouveau soleil dans notre ciel
Un bouquet de roses et d’étincelles,
Les yeux fixés dans le firmament
De tes rêves d’enfant.
Tu es mon premier jour
Tu es mon dernier jour,
Les ténèbres s’effondrent
Les ténèbres s’effondrent.
Dans ses rêves en haut des cimes,
Elle ne veut plus être victime,
Tout autour d’elle
L’appelle et l’appelle.
Elle a choisi
La vie ;
Lui murmure
Et efface le frisson de l’injure.
Elle a choisi de voler
Elle a choisi d’être une fée,
À la fois bleue
Et encore bleue.
Parce que le bleu est la couleur des fées
Détentrice des clefs les plus sacrées
Ancestrales et éternelles
Elle s’épanouit dans le ciel.
Et la Terre, vallée des larmes
Lance des alarmes :
Le cavalier de la nuit
Galope autour de la vie.
C’est un combat entre la fée
Et le cavalier de la nuit.
C’est le jour qui disparaît
Mais, la lumière qui survit.
Le capricorne des cieux
Attend avec ardeur
La victoire des bienheureux,
Il efface des yeux de la fée, les pleurs.
Et dans un ardent soleil
Ranime le jour,
Et dans un ardent soleil
Fait naitre l’amour.
Dès lors, le combat devient mystique
L’amour, et la haine féériques
S’aiment et se déchirent
Car du capricorne des cieux, tel est le désir.
Être une fée, un cavalier noir
Que le jour bleu, que la nuit noire
Entraînent dans le tourbillon de la Vie
Tourne, tourne chante et rit.
C’est toujours la vie :
Le capricorne des cieux.
Mais qui est le capricorne des cieux ?