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J’aime ma mémoire, et c’est pour cela que je n’oublie rien, et que je choisis de rester. C’est de ma mémoire que provient l’inspiration. L’inspiration ? C’est à la fois la nuit et le soleil, ensuite le choix des mots donne naissance au poème. Y inscrire ma bonté, pour évoquer le prochain partage. Car il faudra bien sortir du néant, oublier la peur du froid, oublier sa voix si l’on souhaite l’ascension contre la décadence. Pour cela j’observe les anges, les yeux d’un enfant, le bois des lions, la route qui longe la mer, l’arbre aux songes, la pluie sur les carreaux, le soleil de là-bas. Et je découvre la peur et la joie, la lumière incertaine, mais pour atteindre ton rêve, il me faut choisir le chemin, descendre la colline. Il y a la vision de l’étoile. Le printemps n’a jamais été aussi beau ; Merci.
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Seitenzahl: 36
Veröffentlichungsjahr: 2016
Je n’oublie rien
C’est à la fois la nuit et le soleil
Les anges
La peur du froid
Je choisis de rester
Il faudra bien
Le prochain partage
Ma bonté 1
Ton rêve
Ma bonté 2
Les yeux d’un enfant
L’inspiration
Il est là
Le choix des mots
Il y a
Le bois des lions
Le printemps n’a jamais été aussi beau
Sortir du néant
Choisir le chemin
Descendre la colline
La route qui longe la mer
L’amour du poète
La vision de l’étoile
L’arbre aux songes
La lumière incertaine
La pluie sur les carreaux
La peur et la joie
Oublier sa voix
Ton parcours
Le soleil de là-bas
L’ascension contre la décadence
Le premier pas
Au bout du quai
Ma mémoire
Pour ne rien oublier
Merci
Je garde en moi, le souvenir d’un éclat sur la mer
Je n’oublie rien, du vent et des rafales sur les terres.
Je sens encore le sable chaud sous mes pieds,
Et je redécouvre en moi, cette immensité,
Celle que j’ai connu en ouvrant mes yeux sur toi.
Je n’oublie rien, tu étais là.
Magnifique clarté, qui s’étend jusqu’à l’horizon
Tu m’as donnée de la lumière et des visions
D’infini et de réconciliation
Entre l’homme et le divin.
Je n’oublie rien de la naissance de ma force toujours fidèle,
Et mon âme entend les sons des vagues éternelles.
C’est une joie.
Que je garde en moi.
Avec cette mémoire,
J’oublie les matins sans espoir.
Et je galope dans une vie
Pleine de sursauts et d’envies.
J’oublie les sourires qui mentent,
J’oublie la douleur qui me hante,
Pourtant je conserve cette mémoire,
Telle une alchimie pleine d’histoires.
Qu’elles soient belles ou non ces histoires,
Elles sont miennes,
Et peut-être un jour tiennes.
Elles te parlent de mes victoires.
J’aime ma mémoire.
Peux-tu en partager
Certaines facettes,
Veux-tu m’aider à ordonner,
Les bruits des secrets ?
Il était une fois un jour d’exception,
Qui s’était levé, tel un cadeau, sans raison.
Le ciel brillait pourtant parsemé d’étoiles,
C’était un matin, c’était un soir.
Et mes pensées levaient leurs voiles,
Sur le firmament qui t’appelle à voir,
Et la lune et le soleil,
Qui l’un et l’autre réveillent,
Le bonjour du soir,
Et l’éclat clair du miroir.
Alors entrent à la fois l’obscurité et la lumière,
Comme une union spontanée sans prières.
Réconciliation ultime et promise,
Qui offre un voyage sans valise ;
Autre que la nuit éclairée,
Pleine du jour espéré :
Un jour de silence universel,
Un jour où toutes les paroles sont belles.
Sans haine, ni violence…
Oui c’est possible,
Laisse au temps sa chance.
Oui c’est possible.
Même si c’est à la fois la nuit et le soleil,
Même si c’est à la fois le soleil et la nuit,
Tu peux percevoir l’éclat vermeil,
Les étoiles dans l’infini.
C’est ainsi que tu peux saisir
De la nuit, le désir.
Et le pouvoir de quitter les tourmentes,
Retrouver les champs de blé,
Les instants de lumière étonnante,
Que je te donne sans troubles matinées.
Et je grandis en même temps que toi,
Ce que je te donne n’est soumis à aucune loi.
Juste s’il en est de l’amour,
Qui naît avec le jour.
Aphrodite était bien l’ami d’Hélios,
Dans le matin clair jusqu’au soir profond,
Seul l’Amour donne cette force,
Qui va du silence au tourbillon.
Ainsi du jour à la nuit,
La vie est ici.
Hic et nunc !
Ils ne font qu’offrir,
Ils vivent dans le monde du rire.
Ils protègent et veillent pour le maintien du monde,
Tous les matins à l’ouest des étoiles
Ils font la ronde
Et posent leur lumière sur la toile.
Les anges n’ont pas d’âge
Leur beauté signe la vie,
Et leurs sourires sont visages,
Et ils t’invitent à attendre la nuit,
Pour prier,
Et faire voler,
Les rêves.
Ils offrent le vent sur la grève.
Ils offrent la pluie sur la mer,
Ils dansent dans la clarté des rivières.
Souvent, on les entend chanter,
Et le soir frais, ils viennent te réchauffer.
Ils offrent le soleil dans les forêts,