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Le monde est une polyphonie sonore, même dans les nuits les plus profondes il y a du bruit : les discussions des étoiles, le froissement des ailes des anges. Il y a deux sortes de bruits, le bruit agréable qui permet d'agir et de penser dans le calme et avec toute son efficience ; et le bruit désagréable, qui ne communique aucun message et contre lequel on éprouve sa patience en attendant qu'il cesse. Pour autant les secrets voient le jour dans le calme du silence et le bruit aurait tendance à les faire trahir, par la fatigue nerveuse. Le secret en étant, devient une vérité ; plus exactement, il est une vérité qui naît. Il est souvent le fruit d'un rêve, d'un désir... Tout le processus de la quête les laisse fleurir et apparaitre naturellement. C'est une des lois du monde : en cherchant, on désire ; en désirant on crée des besoins, et les secrets deviennent des secrets prêts à être dévoilés le plus tard possible. Quel est le degré de tristesse, de désappointement ou de joie lorsque l'on le dévoile ? Un secret peut-il rester secret éternel ou transpire t'il sur les parois du monde ? Et devenir une vague de nouvelles réalités. Le secret ne proposerait-il pas une vague de renouvellement et par là-même nécessaire à la réalité surprenante de chaque jour. La joie n'a pas de maître, elle apparait, bizarrement, soudainement tant dans le bruit que dans le silence. Elle fait chanter la réalité, le sourire, le rire deviennent l'essentiel... La joie existe chez toutes les populations du monde, et quand certains sourient à la vision d'un arc-en-ciel c'est qu'ils ont le coeur bien ouvert sur le monde. Le monde a été conçu dans sa beauté pour offrir de la joie. Le silence, le bruit, le secret, la vérité et la joie sont des éléments empreints d'une dynamique de feu, qui parfois se rattache aux passions : c'est dans le silence que l'on aime s'aimer, c'est dans le bruit que l'on aime le silence qui revient à nouveau, c'est dans la vérité que l'on se sent juste et irréprochable, enfin c'est dans la joie que l'homme et la femme laissent jaillir leur feu intérieur. Tu es partout autour de moi, je t'entends, tu me fascines, il n'y a que toi ; Source de ma joie et d'un feu qui ne s'éteindra jamais même lorsque la mort me prendra. Rien ne m'arrachera à toi. Tu es mon feu éternel.
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Seitenzahl: 102
Veröffentlichungsjahr: 2021
La réalité est tellement complexe, elle est à la fois belle et cruelle, semblable à un long corridor avec des portes ouvertes et des portes fermées. Nous avons toujours les clés, il suffit de trouver la bonne porte au moment présent. La vie existe, par les rêves. Ils sont la porte dorée au fond de la réalité. Ils ouvrent toutes les perspectives que la réalité ne donne pas toujours. Rêver, c’est vivre selon un second plan, mais c’est toujours vivre… On a besoin de rêver et parfois le destin soulage, prend en douceur l’humain et l’aide à faire de son monde onirique, un nouvel espace de réalisation. Il est, souvent plus clément que la réalité.
Celle-ci et le rêve sont deux potentiels d’action liés par les vides et les besoins et les satisfactions qu’ils engendrent.
Percevoir la réalité est une nécessité, et quelque soit son niveau de perception elle autorise toujours le rêve. Heureusement, dans le monde des rêves, les hommes sont toujours égaux.
L’état de bonheur n’est jamais loin.
La réalité n’est jamais concevable dans sa totalité, et elle est envisageable au présent, on ne sait jamais ce qu’aurait pu être hier, et on ne sait jamais de quoi sera fait demain. On peut rêver, certes, rêvons, c’est une nécessité.
Le destin… , quel est-il ? Existe-t’il des divinités clémentes qui posent au coeur de la vie des fleurs magiques, des instants de bonheur.Si la réalité est la même pour tout le monde, le bonheur est aussi multiple qu’il y a d’êtres humains. Il y a des milliards d’êtres humains et des milliards de bonheur différents, mais la réalité est toujours la-même..
La réflexion intellectuelle est la petite soeur du rêve. Pourquoi l’homme pense ? Pourquoi l’homme rêve ?
L’homme ne peut vivre sans penser, imaginer, quelque soit le degré d’intelligence qui est le sien. Il y a des scientifiques qui élaboraient leurs théories dans la nuit. Ceci pour dire, que la pensée est une fonction naturelle qui appelle à la réflexion. Penser n’est pas la même chose que réfléchir, mais l’une ne va pas sans l’autre.
L’homme pense pour comprendre et pour réagir, l’homme rêve, comme pour combler des besoins, il est très très proche de l’espoir, et d’une façon comme d’une autre le rêve est plein d’espérance, l’espoir est plein de rêves.
Il est essentiel d’avoir envie d’agir pour assumer le mieux possible cette réalité, en y laissant s’infiltrer nos rêves et nos espoirs. Justement pour diminuer le degré d’angoisse que peuvent provoquer les cauchemars et les tragédies de la vie. Agir est un passe-partout. Et si le rêve est solidaire de l’espoir, agir est solidaire de la communauté humaine. Les plus grandes réussites de l’humanité ont toujours eu lieu dans le regroupement le bloc solidaire d’êtres humains qui en aspirant à la même réalité font de leur rêves, une force intuitive, et demain peut parfois exister par le biais de l’action humaine et non par la fatalité : osons ! rêvons !
Le silence
Le bruit
Le secret
La vérité
La joie
Le feu
Il y a tous ces instants,
Qui, installés dans le temps
Scandent la présence délicieuse de ton amour
Alors, j’écoute le silence de tes jours
Qui se prolongent jusqu’à mes rêves, la nuit
Et mes songes se prolongent le long de ton visage qui me sourit.
Alors dans le silence, il y a tes murmures, le son léger de ton pas
Que j’imagine venir vers moi.
Et ces frémissements je les reconnais à chaque fois
Et, je pense : “toi“
Parce que j’ai besoin d’être “moi“
Et que sans toi je pénétre le néant.
Tu es la joie, l’instant.
Tu es la première fois éternelle,
Tu es la vie qui choisit de chanter dans les silences les plus fidèles.
Tu es souvent le moment providentiel,
Tu es ce silence qui n’est qu’à nous
Où, seul se fait entendre le rêve de notre amour fou.
Et j’aime écouter dans la nuit
Le chant majestueux où danse notre folie
Tu n’as aucune limite et tu parcours les infinis
Et tous les domaines que tu as conquis
Dans la noblesse du plus grand silence
Tu as posé en moi, cette merveille qui se nomme : espérance.
Le silence qui entoure ton être, est fait de la puissance du soleil et des étoiles
Et, bien plus sacrée que celui des cathédrales,
Parce que tu portes la lumière à chaque mouvement de ton corps
Et je n’ai pas besoin d’en demander encore
La clarté est ton sixième sens
Et je pose en toi, toute ma confiance,
Parce que tu es calme, doux, patient
Parce que tu es cet homme que j’attends depuis le début de mes temps.
Je suis née, je ne sais pas quand
Dans un grand instant
Entre les couleurs de l’horizon
Et je crois bien, y avoir lu ton prénom…
Le plus doux prénom du monde,
Celui qui en moins d’une seconde
Me réveille la nuit dans le silence le plus merveilleux :
Je ne vois que tes yeux sur mes yeux
Et je crois comprendre ce que tu veux,
Sans que tu aies besoin de me le dire.
Oui, je partage tes silences, que je remplis de mon rire
Et souvent, je sens que tu penses à l’avenir.
Un temps qui se couche devant ma porte ;
Et dont les anges font l’escorte.
Ma vie est pleine de tes silences où je me repose
Comme le font dans les orées toutes les roses
Aux couleurs de l’amour
Qui portent la vie sur leurs jours.
Alors, on entend le silence des ailes des papillons
Qui ne connaissent que les fleurs et la lumière,
Même si quelquefois, ils sont pris dans des tourbillons
De vent et de poussière…
Ils posent leurs couleurs, tout autour d’eux
Certains ont même sur leurs ailes, de très troublants yeux.
À l’heure de mon amour, je te pose mon silence
Et mon simple sourire
Un silence, et un sourire…
Quelquefois des mots d’amour intense
Dont je ne parle qu’à mon poème
Puisque par dessus tout tu sais que je t’aime.
Dans les silences les plus profonds
Seules les couleurs de l’horizon
Font fleurir cet amour
Aussi puissant que l’aube et son jour.
Entends-tu la lumière du jour
Qui lentement te caresse pour t’éveiller ?
Entends-tu le silence du jour
Que porte la voie de toutes les fées ?
Ce n’est que le chant de l’éternité
Qui recommence chaque fois que le soleil se pose
Sur le calice des fleurs nouvellement écloses :
Il y aura toujours la beauté
Qui attend d’être aimée,
Que le silence qui flotte, souple nacelle
Sur l’océan de ta splendeur éternelle ;
Tu es un homme-roi
Un roi, juste et puissant, auquel je crois.
Qui sait quand parler et se taire
Qui écoute et entend mes prières,
Comprend la foulée des chevaux
Lancée au galop,
Ou rythmée par un trot
Qui veille à ranimer la fleur qui s’est perdue dans ses parfums,
À lancer des cristaux
Dans l’eau des ruisseaux…
Ils s’écoulent un par un,
Pour se rejoindre dans la déesse-océan1.
Cette mère accueille ses enfants dans des rouleaux de silence
Dans des écumes de joies et d’insouciances
Et les ruisseaux grandissent
Dans le fond des abysses.
Le silence des fonds marins, ennivrants
Dont on ne revient pas souvent vivants.
Mais qui a vu la naissance des héros
Océan obtient la coupe en or de son beau-frère Hélios et la prête à Héraclés
Demi-dieu doué de nombreux cadeaux
De beauté, d’intelligence et d’adresse.
Le héros peut ainsi naviguer sur l’océan et ramener les troupeaux de Géryon.2
Héraclès est un homme aux divines missions.
Océan est représenté comme un vieillard dont l’urne qu’il tient à la main
Déverse naturellement la mer, les fleuves et les fontaines
Toute l’eau est proposée par ses soins
Du calme Olympien,
Jusqu’à la fureur de sa haine.
Ce vieillard, fort de ses années
Connaît le silence particulier
Il a généré trois mille filles : les océanides, et trois mille fils les dieux fleuves
Qui seront à l’origine de nombreuses épreuves.
Il y a donc le silence de la terre
Des mers,
Du ciel et des étoiles
Et de tout ce que je détiens de cachés au fond de moi, et pâle
Donne-moi les couleurs les plus franches des nuits qui s’étalent
En dévorant le jour : du bleu à l’or matinal.
Et le soleil qui envahit le monde quotidiennement propose chaque fois
La douce paix, d’arbres immenses vêtus de branchages d’or
Ce mystère qui apparaît tous les matins, encore une fois…
Toujours et encore
Et je suis là
Et je vois
S’avancer avec ma vie, l’étrangeté de la lumière divine de son aura
Jusqu’à son cosmique :
L’aura est l’ambiance psychomentale et bioélectrique
Qui nous enveloppe, nous et le monde,
Aussi l’aspect et la luminosité auriques différent-elles d’un être à l’autre
Créant les mondes
Pour aboutir au notre…
Un certain cosmos, une organisation harmonieuse
Ce terme qualifie les forces organisatrices et souvent généreuses
Et les entités de puissance émanées par la chaîne divine
“Ce grand fleuve issu d’une source intarissable peut-on l’imaginer ?
Peut-on le dénommer ? “3
Ce fleuve rejoint ses origines marines.
Aucun humain, ne peut percer le silence des éternités
Qui parfois se confondent en une seule nuit
Où le miracle jaillit…
La première vie.
Les prophètes voient dans le silence
Entendent dans la nuit
Alors, ils écrivent sur des parchemins qui dansent
Dans une immense aura d’énergie :
Ils écrivent ce qu’ils pressentent
Aussi simplement, que les oiseaux qui chantent
Dans des langages codifiés
Aux seuls initiés qui acceptent de parler au silence
Ou quelquefois chantent et dansent
Devant le miracle : le summum de la création,
À l’aube d’une nouvelle passion
Ou plus simplement devant : toi
Sacré depuis ta présence physique : roi…
Tu gouvernes un monde silencieux,
Un monde calme et heureux
Dans lequel je me balade avec ma poésie,
Une poésie qui dépose des lauriers sur ta vie.
La couronne de lauriers4
Que tu portes en secret,
Fait toute la joie de la licorne sacrée
Qui t’a vu naître et accéder à la royauté.
Ce sera Apollon qui fera du laurier
Son arbre, consacré aux triomphes, aux chants et aux poèmes
Et en cet instant, les amants du monde entier se chantent “je t’aime“
Si j’étais poète, je pourrai te le dire aussi
Mais je ne suis qu’une enfant endormie
Contre le flanc de la licorne bleue.
C’est elle qui m’a montré tes yeux
Qui m’ont lentement réveillée
Et conduite aux premiers sentiers
De l’immense forêt silencieuse
Et apporte sur l’inconscient, une lumière heureuse.
Dans la Rome antique
La couronne de lauriers est utilisée sous la République
Comme distinction honorifique
Décernée à un triomphateur.
Au moyen-âge se sont les mêmes honneurs
On parle alors de lauréats poétiques, la tradition se perpétuera
Et tracera sa voix.
Les poètes sont tes messagers,
À travers leurs symphonies, tu perçois les silences du secret
Ou le silence des secrets.
La nuit tu sens les étoiles, qui se parlent en jets de lumière
Avec elles, tu découvres de nombreux univers,
Et dans la nuit, tu voies clair
Et dans le jour, revient le jour.
Chacune de tes nuits
Te ramènent un souffle du paradis,
Baigné par le silence et une douce torpeur.
Qu’en est-il du bonheur ?
Adam et Ève avant le péché originel
Connaissaient-ils les sentiments essentiels ?
Ou, a-t’il fallu la présence du mal, pour savourer la fibre de la joie ?
De ce pays là, tu es le roi
Dans le silence le plus profond, tu vis une passion
À laquelle, personne n’a encore donné de nom.
Et j’aime cette passion, qui m’emmène au pays des oiseaux
Alors, je monte sur le rocher le plus haut
Et je regarde loin, loin devant moi
Et je découvre le cantique, une première fois
Puis, celui chanté par Salomon au XIe av J.C.
À travers les huits chants de l’ancien testament, dans le silence des nuits.
Le silence : le nom de Dieu n’y apparaît pas
Pourtant la présence de Dieu est ancrée dans ces mots là ;
Ces mots là sont amour, agapé.5
Un amour qui rime avec éternité.
Selon des exégètes juifs, le Cantique est un poème exprimant
L’amour de l’Éternel,
Pour Israël.
Selon une exégèse chrétienne, le texte est une allégorie exprimant
La relation d’amour qu’entretiennent le Christ et son église
(Ou entre le Christ et l’âme humaine)