La Licorne Bleue Et L'Éssentiel - Sandrine Adso - E-Book

La Licorne Bleue Et L'Éssentiel E-Book

Sandrine Adso

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Beschreibung

Le monde est une polyphonie sonore, même dans les nuits les plus profondes il y a du bruit : les discussions des étoiles, le froissement des ailes des anges. Il y a deux sortes de bruits, le bruit agréable qui permet d'agir et de penser dans le calme et avec toute son efficience ; et le bruit désagréable, qui ne communique aucun message et contre lequel on éprouve sa patience en attendant qu'il cesse. Pour autant les secrets voient le jour dans le calme du silence et le bruit aurait tendance à les faire trahir, par la fatigue nerveuse. Le secret en étant, devient une vérité ; plus exactement, il est une vérité qui naît. Il est souvent le fruit d'un rêve, d'un désir... Tout le processus de la quête les laisse fleurir et apparaitre naturellement. C'est une des lois du monde : en cherchant, on désire ; en désirant on crée des besoins, et les secrets deviennent des secrets prêts à être dévoilés le plus tard possible. Quel est le degré de tristesse, de désappointement ou de joie lorsque l'on le dévoile ? Un secret peut-il rester secret éternel ou transpire t'il sur les parois du monde ? Et devenir une vague de nouvelles réalités. Le secret ne proposerait-il pas une vague de renouvellement et par là-même nécessaire à la réalité surprenante de chaque jour. La joie n'a pas de maître, elle apparait, bizarrement, soudainement tant dans le bruit que dans le silence. Elle fait chanter la réalité, le sourire, le rire deviennent l'essentiel... La joie existe chez toutes les populations du monde, et quand certains sourient à la vision d'un arc-en-ciel c'est qu'ils ont le coeur bien ouvert sur le monde. Le monde a été conçu dans sa beauté pour offrir de la joie. Le silence, le bruit, le secret, la vérité et la joie sont des éléments empreints d'une dynamique de feu, qui parfois se rattache aux passions : c'est dans le silence que l'on aime s'aimer, c'est dans le bruit que l'on aime le silence qui revient à nouveau, c'est dans la vérité que l'on se sent juste et irréprochable, enfin c'est dans la joie que l'homme et la femme laissent jaillir leur feu intérieur. Tu es partout autour de moi, je t'entends, tu me fascines, il n'y a que toi ; Source de ma joie et d'un feu qui ne s'éteindra jamais même lorsque la mort me prendra. Rien ne m'arrachera à toi. Tu es mon feu éternel.

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Seitenzahl: 102

Veröffentlichungsjahr: 2021

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La réalité est tellement complexe, elle est à la fois belle et cruelle, semblable à un long corridor avec des portes ouvertes et des portes fermées. Nous avons toujours les clés, il suffit de trouver la bonne porte au moment présent. La vie existe, par les rêves. Ils sont la porte dorée au fond de la réalité. Ils ouvrent toutes les perspectives que la réalité ne donne pas toujours. Rêver, c’est vivre selon un second plan, mais c’est toujours vivre… On a besoin de rêver et parfois le destin soulage, prend en douceur l’humain et l’aide à faire de son monde onirique, un nouvel espace de réalisation. Il est, souvent plus clément que la réalité.

Celle-ci et le rêve sont deux potentiels d’action liés par les vides et les besoins et les satisfactions qu’ils engendrent.

Percevoir la réalité est une nécessité, et quelque soit son niveau de perception elle autorise toujours le rêve. Heureusement, dans le monde des rêves, les hommes sont toujours égaux.

L’état de bonheur n’est jamais loin.

La réalité n’est jamais concevable dans sa totalité, et elle est envisageable au présent, on ne sait jamais ce qu’aurait pu être hier, et on ne sait jamais de quoi sera fait demain. On peut rêver, certes, rêvons, c’est une nécessité.

Le destin… , quel est-il ? Existe-t’il des divinités clémentes qui posent au coeur de la vie des fleurs magiques, des instants de bonheur.Si la réalité est la même pour tout le monde, le bonheur est aussi multiple qu’il y a d’êtres humains. Il y a des milliards d’êtres humains et des milliards de bonheur différents, mais la réalité est toujours la-même..

La réflexion intellectuelle est la petite soeur du rêve. Pourquoi l’homme pense ? Pourquoi l’homme rêve ?

L’homme ne peut vivre sans penser, imaginer, quelque soit le degré d’intelligence qui est le sien. Il y a des scientifiques qui élaboraient leurs théories dans la nuit. Ceci pour dire, que la pensée est une fonction naturelle qui appelle à la réflexion. Penser n’est pas la même chose que réfléchir, mais l’une ne va pas sans l’autre.

L’homme pense pour comprendre et pour réagir, l’homme rêve, comme pour combler des besoins, il est très très proche de l’espoir, et d’une façon comme d’une autre le rêve est plein d’espérance, l’espoir est plein de rêves.

Il est essentiel d’avoir envie d’agir pour assumer le mieux possible cette réalité, en y laissant s’infiltrer nos rêves et nos espoirs. Justement pour diminuer le degré d’angoisse que peuvent provoquer les cauchemars et les tragédies de la vie. Agir est un passe-partout. Et si le rêve est solidaire de l’espoir, agir est solidaire de la communauté humaine. Les plus grandes réussites de l’humanité ont toujours eu lieu dans le regroupement le bloc solidaire d’êtres humains qui en aspirant à la même réalité font de leur rêves, une force intuitive, et demain peut parfois exister par le biais de l’action humaine et non par la fatalité : osons ! rêvons !

Table des matières

Le silence

Le bruit

Le secret

La vérité

La joie

Le feu

Le silence

Il y a tous ces instants,

Qui, installés dans le temps

Scandent la présence délicieuse de ton amour

Alors, j’écoute le silence de tes jours

Qui se prolongent jusqu’à mes rêves, la nuit

Et mes songes se prolongent le long de ton visage qui me sourit.

Alors dans le silence, il y a tes murmures, le son léger de ton pas

Que j’imagine venir vers moi.

Et ces frémissements je les reconnais à chaque fois

Et, je pense : “toi“

Parce que j’ai besoin d’être “moi“

Et que sans toi je pénétre le néant.

Tu es la joie, l’instant.

Tu es la première fois éternelle,

Tu es la vie qui choisit de chanter dans les silences les plus fidèles.

Tu es souvent le moment providentiel,

Tu es ce silence qui n’est qu’à nous

Où, seul se fait entendre le rêve de notre amour fou.

Et j’aime écouter dans la nuit

Le chant majestueux où danse notre folie

Tu n’as aucune limite et tu parcours les infinis

Et tous les domaines que tu as conquis

Dans la noblesse du plus grand silence

Tu as posé en moi, cette merveille qui se nomme : espérance.

Le silence qui entoure ton être, est fait de la puissance du soleil et des étoiles

Et, bien plus sacrée que celui des cathédrales,

Parce que tu portes la lumière à chaque mouvement de ton corps

Et je n’ai pas besoin d’en demander encore

La clarté est ton sixième sens

Et je pose en toi, toute ma confiance,

Parce que tu es calme, doux, patient

Parce que tu es cet homme que j’attends depuis le début de mes temps.

Je suis née, je ne sais pas quand

Dans un grand instant

Entre les couleurs de l’horizon

Et je crois bien, y avoir lu ton prénom…

Le plus doux prénom du monde,

Celui qui en moins d’une seconde

Me réveille la nuit dans le silence le plus merveilleux :

Je ne vois que tes yeux sur mes yeux

Et je crois comprendre ce que tu veux,

Sans que tu aies besoin de me le dire.

Oui, je partage tes silences, que je remplis de mon rire

Et souvent, je sens que tu penses à l’avenir.

Un temps qui se couche devant ma porte ;

Et dont les anges font l’escorte.

Ma vie est pleine de tes silences où je me repose

Comme le font dans les orées toutes les roses

Aux couleurs de l’amour

Qui portent la vie sur leurs jours.

Alors, on entend le silence des ailes des papillons

Qui ne connaissent que les fleurs et la lumière,

Même si quelquefois, ils sont pris dans des tourbillons

De vent et de poussière…

Ils posent leurs couleurs, tout autour d’eux

Certains ont même sur leurs ailes, de très troublants yeux.

À l’heure de mon amour, je te pose mon silence

Et mon simple sourire

Un silence, et un sourire…

Quelquefois des mots d’amour intense

Dont je ne parle qu’à mon poème

Puisque par dessus tout tu sais que je t’aime.

Dans les silences les plus profonds

Seules les couleurs de l’horizon

Font fleurir cet amour

Aussi puissant que l’aube et son jour.

Entends-tu la lumière du jour

Qui lentement te caresse pour t’éveiller ?

Entends-tu le silence du jour

Que porte la voie de toutes les fées ?

Ce n’est que le chant de l’éternité

Qui recommence chaque fois que le soleil se pose

Sur le calice des fleurs nouvellement écloses :

Il y aura toujours la beauté

Qui attend d’être aimée,

Que le silence qui flotte, souple nacelle

Sur l’océan de ta splendeur éternelle ;

Tu es un homme-roi

Un roi, juste et puissant, auquel je crois.

Qui sait quand parler et se taire

Qui écoute et entend mes prières,

Comprend la foulée des chevaux

Lancée au galop,

Ou rythmée par un trot

Qui veille à ranimer la fleur qui s’est perdue dans ses parfums,

À lancer des cristaux

Dans l’eau des ruisseaux…

Ils s’écoulent un par un,

Pour se rejoindre dans la déesse-océan1.

Cette mère accueille ses enfants dans des rouleaux de silence

Dans des écumes de joies et d’insouciances

Et les ruisseaux grandissent

Dans le fond des abysses.

Le silence des fonds marins, ennivrants

Dont on ne revient pas souvent vivants.

Mais qui a vu la naissance des héros

Océan obtient la coupe en or de son beau-frère Hélios et la prête à Héraclés

Demi-dieu doué de nombreux cadeaux

De beauté, d’intelligence et d’adresse.

Le héros peut ainsi naviguer sur l’océan et ramener les troupeaux de Géryon.2

Héraclès est un homme aux divines missions.

Océan est représenté comme un vieillard dont l’urne qu’il tient à la main

Déverse naturellement la mer, les fleuves et les fontaines

Toute l’eau est proposée par ses soins

Du calme Olympien,

Jusqu’à la fureur de sa haine.

Ce vieillard, fort de ses années

Connaît le silence particulier

Il a généré trois mille filles : les océanides, et trois mille fils les dieux fleuves

Qui seront à l’origine de nombreuses épreuves.

Il y a donc le silence de la terre

Des mers,

Du ciel et des étoiles

Et de tout ce que je détiens de cachés au fond de moi, et pâle

Donne-moi les couleurs les plus franches des nuits qui s’étalent

En dévorant le jour : du bleu à l’or matinal.

Et le soleil qui envahit le monde quotidiennement propose chaque fois

La douce paix, d’arbres immenses vêtus de branchages d’or

Ce mystère qui apparaît tous les matins, encore une fois…

Toujours et encore

Et je suis là

Et je vois

S’avancer avec ma vie, l’étrangeté de la lumière divine de son aura

Jusqu’à son cosmique :

L’aura est l’ambiance psychomentale et bioélectrique

Qui nous enveloppe, nous et le monde,

Aussi l’aspect et la luminosité auriques différent-elles d’un être à l’autre

Créant les mondes

Pour aboutir au notre…

Un certain cosmos, une organisation harmonieuse

Ce terme qualifie les forces organisatrices et souvent généreuses

Et les entités de puissance émanées par la chaîne divine

“Ce grand fleuve issu d’une source intarissable peut-on l’imaginer ?

Peut-on le dénommer ? “3

Ce fleuve rejoint ses origines marines.

Aucun humain, ne peut percer le silence des éternités

Qui parfois se confondent en une seule nuit

Où le miracle jaillit…

La première vie.

Les prophètes voient dans le silence

Entendent dans la nuit

Alors, ils écrivent sur des parchemins qui dansent

Dans une immense aura d’énergie :

Ils écrivent ce qu’ils pressentent

Aussi simplement, que les oiseaux qui chantent

Dans des langages codifiés

Aux seuls initiés qui acceptent de parler au silence

Ou quelquefois chantent et dansent

Devant le miracle : le summum de la création,

À l’aube d’une nouvelle passion

Ou plus simplement devant : toi

Sacré depuis ta présence physique : roi…

Tu gouvernes un monde silencieux,

Un monde calme et heureux

Dans lequel je me balade avec ma poésie,

Une poésie qui dépose des lauriers sur ta vie.

La couronne de lauriers4

Que tu portes en secret,

Fait toute la joie de la licorne sacrée

Qui t’a vu naître et accéder à la royauté.

Ce sera Apollon qui fera du laurier

Son arbre, consacré aux triomphes, aux chants et aux poèmes

Et en cet instant, les amants du monde entier se chantent “je t’aime“

Si j’étais poète, je pourrai te le dire aussi

Mais je ne suis qu’une enfant endormie

Contre le flanc de la licorne bleue.

C’est elle qui m’a montré tes yeux

Qui m’ont lentement réveillée

Et conduite aux premiers sentiers

De l’immense forêt silencieuse

Et apporte sur l’inconscient, une lumière heureuse.

Dans la Rome antique

La couronne de lauriers est utilisée sous la République

Comme distinction honorifique

Décernée à un triomphateur.

Au moyen-âge se sont les mêmes honneurs

On parle alors de lauréats poétiques, la tradition se perpétuera

Et tracera sa voix.

Les poètes sont tes messagers,

À travers leurs symphonies, tu perçois les silences du secret

Ou le silence des secrets.

La nuit tu sens les étoiles, qui se parlent en jets de lumière

Avec elles, tu découvres de nombreux univers,

Et dans la nuit, tu voies clair

Et dans le jour, revient le jour.

Chacune de tes nuits

Te ramènent un souffle du paradis,

Baigné par le silence et une douce torpeur.

Qu’en est-il du bonheur ?

Adam et Ève avant le péché originel

Connaissaient-ils les sentiments essentiels ?

Ou, a-t’il fallu la présence du mal, pour savourer la fibre de la joie ?

De ce pays là, tu es le roi

Dans le silence le plus profond, tu vis une passion

À laquelle, personne n’a encore donné de nom.

Et j’aime cette passion, qui m’emmène au pays des oiseaux

Alors, je monte sur le rocher le plus haut

Et je regarde loin, loin devant moi

Et je découvre le cantique, une première fois

Puis, celui chanté par Salomon au XIe av J.C.

À travers les huits chants de l’ancien testament, dans le silence des nuits.

Le silence : le nom de Dieu n’y apparaît pas

Pourtant la présence de Dieu est ancrée dans ces mots là ;

Ces mots là sont amour, agapé.5

Un amour qui rime avec éternité.

Selon des exégètes juifs, le Cantique est un poème exprimant

L’amour de l’Éternel,

Pour Israël.

Selon une exégèse chrétienne, le texte est une allégorie exprimant

La relation d’amour qu’entretiennent le Christ et son église

(Ou entre le Christ et l’âme humaine)