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Le tonnerre apporte au monde des manifestations qui viennent de sa couronne : le ciel. Couramment les hommes prétendent qu'il translate une colère divine, ou une joie, en tout cas une exaltation. Les larmes, ou la sueur divines l'accompagne pour le bonheur des sources qui se régénèrent en quantité mais aussi en substance. Les fées ont envie d'y jouer pour clarifier le monde, de par leurs ailes brillantes ... Les amants aiment les sources car les flux les réunissent constamment. Les flux qui contiennent les poissons, compagnons de D.ieu : source de bénédiction, c'est toujours dans les flots que les rois sont consacrés à une terre, un peuple, un ciel. Ce qui est magique est secret, en tout cas les sources connaissent les secrets des amants : l'intensité, la transparence de leur amour comme une prière, un appel à la vie. Il existe des amours si purs que les fées réclament pour eux l'éternité. Voilà la magie, le secret, mais le plus beau secret, c'est que leurs pensées et leurs corps sont en totale osmose, comme la licorne est en osmose avec l'univers. C'est elle qui décide où poussent les roses, et de façon miraculeuse lance des éclairs d'amour à certains oiseaux, heureux, libres qui chantent des vrilles de lumière qui dans l'orage se sédimentent et deviennent des éclats de cristal. Le cristal, comme la parfaite fusion du jour et de la nuit, de la lumière et des êtres qui s'aiment. Ces roses ont un secret, elles savent où se trouvent le cristal. Le cristal extraordinaire qui contient toute la lumière, qui aide l'Homme à sortir des ténébres et à chercher plus loin que sa vie la paix.
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Seitenzahl: 167
Veröffentlichungsjahr: 2018
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Qu’est-ce que la beauté ?
Une qualité attractive que toutes formes de vie possèdent, à différents degrés. Que ce soit des humains, des plantes, des poissons, des divinités. La Bible fait référence à Avshalom, comme le plus bel homme du royaume, parce qu’il est fils fils du roi David “père de la paix.“
On ne peut parler de beauté sans évoquer : Vénus, déesse grecque ; Hathor, divinité de la joie et de l’amour ; Lakshmi est la déesse de la prospérité et de la beauté.
La beauté est un concept qui appartient à toutes les mythologies : reflet sanctifié du monde. Un monde où le jour se lève de plus en plus beau, parce que les étoiles ont chanté et dansé toute la nuit. Comme les hommes et les femmes le feront après.
Phœbus “le brillant“ à la beauté que l’on voit et la beauté que l’on sent : la Binah, pilier de l’intelligence par identification.
L’Homme porte dans sa conscience, ce besoin d’exister et de s’identifier en tant qu’humain en partageant les fleurs de sa pensée.
Chemed, cependant peut-être un visage du malin, mais lorsque l’on voit dans les yeux la lumière Nehara, on espère que la beauté peut s’étendre à l’infini… Puisse la vie t’offrir les portes de l’infini, pour compléter le monde d’amour et de paix.
La beauté est parfois invisible, elle penche son visage dans les rivières près des saules. Avec elle, on accède plus facilement à la la Liberté, suprême beauté de l’humanité … Beauté incomparable.
La licorne bleue et le tonnerre (l’orage)
La licorne bleue et la source
La licorne bleue et le secret
La licorne bleue et la rose du secret (complément)
La licorne bleue et le cristal
La licorne bleue et la paix
Lorsque j’entends le tonnerre,
Je te vois chanter pour l’éclair.
Car c’est la seule preuve que Dieu nous aime magistralement :
Il ouvre le ciel, quelquefois la pluie se retire doucement.
Et j’entends, sans avoir peur,
Même si je sens mon cœur,
Trembler, en pensant à toi,
Tu es les orages de la première fois.
Tu m’entoures de cette étrange lumière,
Qui ne vient pas de l’astre solaire,
Mais directement de son créateur :
Quel bonheur !
Et je chante moi aussi,
La partition du début de ma vie …
Elle a commencé tout près de toi,
À l’arrière d’un sous-bois
J’ai vu des yeux magnifiques, qui m’ont foudroyée si près du jour
L’amour est la porte de l’existence, mais TON amour
Veux-tu la pousser entrer et cesser ton errance ?
Tu découvriras de nouvelles permanences.
Tu trouveras des souvenirs heureux,
As-tu déjà joué sur la mer dans le feu ?
As-tu déjà chanté juste avant que l’éclair n’arrive ?
Toi qui sens la deuxième rive de la première rive.
Le tonnerre a pour toi, un langage
Il décrypte la théorie des flux de conscience des sages
Qui crée ton expérience, ton émotion,
Tu vibres jusqu’à moi en toutes saisons,
Et chaque fois je découvre ta puissance,
Il n’y a pas d’ignorance,
Il n’y a que l’absence d’amour,
Le désir de te savoir a toujours commencé par l’amour.
Parce que tu es un homme qui sais le désir amoureux
Et quand l’orage embrase les cieux,
Ma nuit est de plus en plus belle,
Tu es cette vie, cette étincelle
Qui emmène les vies vers de merveilleux cheminements intérieurs
Je sens ton rythme d’homme qui s’allonge près de mon cœur,
Et l’orage,
Multiplie à chaque instant ton visage,
Tu es une fleur évanescente dans le ciel,
Le baiser d’une hirondelle.
Nous sommes l’un pour l’autre une dynamogénie,
J’adore quand tu ris
Parce que dans ces instants là, ton cœur fleurit.
Chaque nuit orageuse je vois ces fées qui dansent et qui sourient
Elles veulent nous voir nous aimer davantage,
Oui, elles ont écoutée la voix des sages.
Qui tourbillonnent dans le ciel d’orage
Et je suis plus heureuse que la licorne bleue
Parce que j’espère que tu m’aimes un peu,
Parce que la foudre quelquefois raconte de vieux
Parchemin : comme le livre de Néhémie,
Qui vers Jérusalem, va consoler sa vie.
(La terre de Jérusalem,
Est semblable à toutes les autres
Lorsque l’on aime,
Avec douceur, patience et honneur l’autre).
Nous avons tous, une partie de Jérusalem en nous.
Une lumière qui se ravive et devient de moins en moins floue.
La présence du sacré nous emmènera jusqu’au bout
De ce que certains appellent le temps
Et qui parfois s’en va tranquillement,
Il n’a rien d’un vampire,
Quelquefois il a un très joli sourire
Et l’intelligence de la raison et du plaisir.
Il a souffert à la mesure,
De cet espoir qui jusqu’à maintenant dure,
Et soulève toujours plus haut ses rêves,
Cet homme a un frère qui élève
L’amour que je porte dans mon cœur,
Peut-on m’en tenir rigueur ?
C’est si rare d’avoir belle âme,
D’être un homme, une femme
Qui se correspondent sur la gamme,
De l’intelligence affective qui partage ses éclairs,
Tu es la terre
De ma lumière.
Nous sommes nés sous les yeux
De Dieu,
Et je t’aimerai toute ma vie,
Aussi loin que peut aller l’infini.*
Tu es cet ami,
De Néhémie,
Qui lui a proposé de reconstruire les murailles
Après la captivité babylonienne
Le premier rempart est l’œuvre temporelle incertaine
Du roi Ézéchias, détruites failles par failles,
Par Nabuchodonosor II.
Les prêtres ont-ils demandé pourquoi à Dieu ?
Le second rempart est construit par les Hasmonéens
Protégeant le Temple et le mont saint.
Mais en mille trente trois, la plupart des murs construits
Dans un tremblement de terre sont détruits.
Le livre de Néhémie couvre une période de douze ans,
Mais le temps dépasse le temps,
Dans certaines contrées,
Dieu a posé l’empreinte du renouveau et de l’immortalité.
Veux-tu imaginer pour lui, les prières
Que, jusqu‘à toi a porté le tonnerre ?
Ce que Néhémie a entrepris,
D’autres l’ont poursuivi,
Et d’autres l’avaient envisagé
Néhémie, c’est la fin de la captivité,
L’expérience religieuse établit une émotivité
Entre l’invisible et le divin,
Il nous aime et a semé les premiers grains,
Son amour est certain.
Cet invisible ne s’hypoestesie jamais.
Le tonnerre influe sur la vie,
Il retire ou produit de l’énergie
Et personne ne peut empêcher cela,
Puisque le tonnerre vient d’Éa.
De sa colère ou de sa joie,
Il répond dix mille fois
Dans l’enthousiasme
De ne jamais avoir honte de ses fantasmes
Dans l’éclat du soleil sur l’eau,
Dans nos premiers et derniers mots,
Un amour si rayonnant,
M’atteint à chaque instant,
Et je sais que c’est toi :
Celui dont les bras
Sont plus chauds, que mes rêves, de la splendeur de ton corps
Mes chevaux intérieurs, ont bien souvent envie de tes encore
Tu es le cheval de la merkava,
Le cheval céleste est heureux d’entendre ta voie,
Comme moi lorsque je t’entends penser à moi.
Pardon de t’aimer, c’est plus fort que moi :
Je ne comprends pas,
J’aime ta vie dans sa totalité
Et mes chevaux suivent ton cheval,
Il sait comment ne pas succomber au mal,
Puisque nous sommes vivants dans, par et pour l’amour
Et que pour toi, j’ai créé la fleur du jour ;
Et que nous ferons toujours vibrer le ciel,
Le tonnerre nous guidera toujours vers l’essentiel
L’harmonie, le plaisir, la confiance mutuelles.
Merci de chasser la peur, et de faire revenir l’océan.
Pour me montrer comme le monde est là : devant. *
Je ne veux pas devenir kabbaliste, je rêve d’un monde imaginaire,
Un monde où le tonnerre fera rire et la terre parler d’hier,
Je veux danser avec toi, sur la musique du ciel,
Je veux vivre pour l’essentiel,
Et vouloir pour toi, ce qui te semble trop silencieux ;
Un parfum de femme, une fleur posée sur la mer
Tes yeux,
Qui attisent mon feu,
Pour que le tonnerre reconnaisse l’amour qui chante avec la vie
Nos âmes vibrent sur la même spirale, dans les deux sens,
Je veux être toutes tes spires et ton infini
Nous avons le même point central, un amour qui s’élance
Comme un oiseau aux couleurs du ciel, lorsque la nuit vient,
J’imagine que pour toi, tout est et sera bien,
Et que tu me caresses les mains
Près de l’oiseau du bassin.
Sur les ailes de son grand frère l’orage, il chante pour nous
Il plane toute la nuit dans cette chambre suivant des sons doux :
La musique de mon cœur, le fait voyager
Et ma chambre devient ton centre d’immortalité.
C’est un immense honneur,
De colorer tes jours, tes nuits d’un tranquille bonheur,
Et puis, il y a toute cette sensualité,
Le désir permanent auquel je ne pourrai jamais échapper.
T’aimer spirituellement, physiquement,
Parce que tu construis des empires doucement,
En écoutant, le vent, le tonnerre,
Et le bruit de la mer.
Je nage dans ta splendeur,
Toujours plus loin, là où le soleil va cacher son ardeur.
Il faudra bien revenir sur la plage,
Pour contempler nos visages,
À la lumière du jour
Et vivre pour toujours, l’amour,
Si puissant que nous serons entourés d’éclairs,
Des éclairs qui vont du mystère sur la terre.
Et la mer deviendra le diamant : le yahalom
Porté par le père de l’homme.
Je ne porterai sur mon corps que l’écume de cette vie,
Le bien, le mal n’auront pas lieu ici :
Il n’y aura que toi,
Et nous nous endormirons, bercés par le ressac et l’orage.
La vie est faite pour être vécue et tous les jours espérée.
Je n’ai besoin que de toi,
Et des bénédictions de mes ancêtres sages,
Je suis amoureuse de ma réalité.
Parce que c’est toi qui me l’a créée,
Une certaine nuit d’orage sur une certaine île,
Les feux autour de nous étaient tranquilles :
Il faisait chaud et doux,
Tu étais là, partout,
Et le tonnerre
Était fou amoureux de la mer,
Il était là comme une présence extraordinaire :
Parce que tu es de toutes les âmes, la première,
C’est toi
Qui aies caressé le soleil dans mes bras,
C’est moi qui aie cherché les fleurs jusqu’à toi …
Et j’ai trouvé la première fleur, qui n’existe pas,
Car elle est colorée et et parfumée de tous les pas
Que tu fais dans le matin,
En espérant que c’est chez moi que tu viens
Les yeux pleins de cette fleur,
Que je dépose à tes pieds avec mon cœur,
Tu marches si vite, et tu t’arrêtes quand tu dois venir chez moi,
Tu commences à comprendre, c’est de l’amour fort sur mes mains
Plus fort que l’orage, tu es mon souverain,
Gentil, raffiné : je rêve de m’endormir avec ton parfum.
Pour que mes bonheurs te suivent un par un,
Tu es au-dessus de moi, léger comme un jonc
Cortège de licornes, heureuses de connaître ton prénom,
Elles savent qu’ensemble la vie sera le fruit
D’un amour, d’une passion,
Et ce seront tes amis, qui lui donneront un nom.
Les licornes ouvriront les broussailles, pour tes journées fleuries,
Où tu découvres une multitude de pays,
Le plus accueillant est celui que je te tends,
Car la connaissance te ressent.
Par cette lumière qui s’allume en moi, quand surgit ton prénom,
Il te définit comme un être doux, beau et bon.
Dans mon esprit, siège de l’espoir quand tu es mélancolique,
Mon esprit t’entend chanter, des larmes, des sourires,
Sur cette musique,
Qui vibre à la fréquence du rire
Où je passerai des heures à t’emmener sur le seul océan
Où la lumière traverse sous une pluie de fleurs
Le pardon des géants
Tu es devenu depuis toujours la source de mon bonheur,
Vivre sans toi !
Je ne veux pas.
C’est la raison pour laquelle je prie,
Tes anges de beauté infinie
À danser, à célébrer chaque instant
La fête de ce tout premier moment
Où nous nous sommes retrouvés
Après l’orage du rêve revenu,
Où j’étais nue,
Dans tes bras enchantés.
Tu es mon jardin de fleurs perlées,
De roses et de rosées,
Tu es le seul à savoir les regarder
Sans les laisser un instant jamais seules.
Ton regard est un frisson que les sages veulent.
Parce que je t‘aime exclusivement, en permanence,
Tu vis dans le génie, ton aisance.
Ton intelligence dépasse celle de bien des héros,
Tu parles aux prophètes avec les mots,
Sacrés,
Toujours incomplets.
Il en est ainsi de la volonté divine :
Rassembler dans un verre de cristal, les mêmes origines,
Que le tonnerre pourra, ne voudra jamais briser :
Le tonnerre, c’est la conscience de D. dans son éternité
Hayom imbékolo hishmaou : j’entends sa voix,
J’entends sa joie.
Quoi que je fasse, il ne me parle que de toi,
Parce qu’il m’a vu croire en toi,
Et je crois en toi, comme la fleur croit en ses racines.
Tu es le seul qui met de la douceur sur mon prénom : Sandrine.*
Des racines qui parlent au cœur de la terre,
Des pétales qui s’envolent dans ton univers
Et qui font sourire nos malakhim,
Et défaire tous les abîmes
De la Géhenne ; notre chemin restera ce paradis
La beauté de l’humain c’est sa capacité d’accepter le temps,
Mais dans certains cœurs, le temps choisit l’infini,
Comme un printemps constant,
Parce que l’amour rend la vie trop belle,
Parce que tu es un fleuve de lumière, d’étincelles
Ma raison, mon jardin, ma folie existentielles
Le temps a peur de tes yeux
Car tu fréquentes trop souvent les cieux
Dans un monde perpétuellement ouvert,
Un monde qui s’appelle Terre
Habité par des esprits qui ne veulent pas de guerre !
Écoutons les refuser la déchirure du ciel,
Et n’accepter que l’orage de tes yeux, sur un lit de sel ;
Ainsi tu savoureras davantage le miel
Que les abeilles poseront sur ma bouche,
Pour ta bouche.
Dans notre premier baiser,
Qui guérira bien des blessures
Je veux te procurer des soins qui durent,
De ton lever
À ton coucher.
Et que tu m’imagines tout près,
À portée de main,
Jusqu’au lendemain.
Puisque notre vie aura une continuité
Sous un vent de soleil à l’horizon étoilé.
La brise qui soufflera sur ton corps,
Te fera désirer des émotions encore.
Tu es un assoiffé de la vie,
Qui a choisi d’aimer
Parce que l’amour est ta vérité.
Et je partage tous tes soleils fleuris.
Qui entrent en moi, dans un tourbillon de bonheur,
Et qui retournent à ton cœur, avec mon amour,
Pour toujours,
Reçus avec une telle douceur …
Que les oiseaux et les anges seront fous de joie,
Ce sont eux qui m’ont conduit vers toi
Dans un espace de feu, de lumière et d’océan
Tout ce qui a été créé sans que l’on sache comment,
Notre amour est le plus beau mystère,
Guidé par la puissance de l’arche dans le désert.
Sous la lumière des tonnerres.
Que les prophètes font sourire sur terre,
Personne ne comprend leurs prières
Mais, je sais que tu es embrassé à mon langage,
On m’a appris à être “sage“,
Dans l’amour.
Une fleur qui porte la connaissance de tes jours,
Je t’ai toujours connu, espéré, aimé.
Comme on attend le vent, pour partager nos baisers,
Un peu de souffle divin,
Dans nos mains,
Qui ne se lassent d’aucune caresse,
La force est aussi ta tendresse,
Tu es mon incommensurable,
Le sens de ma vie : adorable.*
Ta foudre est une sensation de la matière,
Ton esprit ressent toute la terre,
Tes yeux sont toujours pleins de lumière
Et il y a des jours où l’on voudrait tout refaire
Avec son tonnerre.
C’est ton plasma appelé aussi “quatrième état de la matière“
Tu es un homme de l’univers, qui aime caresser le tonnerre
Parfois j’émets des vibrations,
Pour porter le soleil à ton horizon.
Ce tonnerre qui loge en mon cœur
Est sublimé dans un ciel d’électricité en formes de fleurs.
J’ai connu le bonheur de sentir ton parfum,
Il partage la douceur de tes mains,
Et le tonnerre accroît notre connivence :
Tu es ma seule présence.
Et toutes les couleurs que la lumière décline sur ta peau veloutée,
Me laissent imaginer que tu as connu de fabuleuses beautés,
Dans le ciel qui t’a épousé pour te protéger,
Alors tu as appris comme la lumière
À voyager beaucoup plus vite que le son,
En une fraction de temps, tu connais toute la terre,
Alors tu comprendras que l’amour a toujours raison,
Laisse-moi t’aimer mon prénom,
Autant que je chéris le tien,
Ton cœur sent le vent frais du matin
Après une nuit où j’ai rêvé que tu étais mon orage,
Et moi un amour quelquefois pas assez sage,
Mais mon amour de femme pour toi, de plus en plus doux
Je suis comme un ciel d’été roux,
Où les frissons du ciel pleuvent et fécondent de joie la terre,
À chaque bruit du ciel, j’entends les oiseaux de ton tonnerre,
Ce n’est qu’un air musical de la lumière.
Avant toi, je ne savais pas que chantait la lumière
Tu es le rossignol du feu et de l’amour,
Chaque jour, nous échangeons nos instants, vers le plus beau jour
Un jour d’union totale, que nous saurons préserver
Si tu veux bien vivre à mes côtés pour l’éternité …
Qu’est-ce que l’éternité ?
Faire taire le temps,
Recommencer le jardin,
Main dans la main.
Où la vie m’a prêté son chant, pour éviter que tu débordes
Et canalisent en même temps l’amour, l’orage devient des cordes
Où toutes les fleurs qui existent s’enchevêtrent vers toi,
Tu es la source infinie de nos joies,
Et nous sommes tous là pour t’aimer.
J’envoie dans ton regard, des orages sucrés,
J’envoie sur ta bouche autant de baisers,
Qu’il te faudra pour être l’humain éclairé
Du ciel, de la terre de nos corps
Qui rêvent de se frôler encore.
Tu rivalises avec Zeus, lui-même,
Et si je t’aime
Et si je t’adore
De plus en plus fort,
Ce que tu es,
C’est que savoir que tu existes suffit à me combler,
Aucun être ne peut rivaliser avec ta beauté,
Tu es né pour protéger et accomplir des bienfaits
Et personne ne sait d’où vient ton tonnerre
Tu es mon mystère,
Je suis ton coffret,
Et tu vis en moi, dans mon esprit avec douceur,
L’esprit du poète amoureux est un pastel de couleurs.
C’est ta foudre qui m’est tombée dessus et fait danser,
Avec les mots,
Avec les oiseaux
Ta voix est si douce,
Quand quelques anges toussent,
Et quand tu penses à moi,
Ton orage foudroie,
Mes blessures, et devant moi, alors s’étendent des fleurs,
Je n’ai plus peur,
Sauf si je cesse de te faire rêver.
Où que l’on ignore ton extraordinaire vérité
Tu chantes les mains levées vers le ciel,
Tu sais comment remercier l’Éternel,
Et miraculeusement l’orage devient l’arc-en-ciel
De ton esprit aussi fort que les vagues qui implorent
L’or,
Du soleil, surtout quand il joue avec les éclairs.
La liberté, c’est aussi pour le tonnerre,
Il étend sa puissance jusqu’au fin fond des vent,
Là où je peux rêver que je t’embrasse tranquillement.
Il n’existe pas de plus grand orage que mon espoir de te garder
De t’aimer et de chercher tous ses mystères qui font ta beauté :
Tu es de ceux qui savent braver,
L’orage le plus fort, et tu brilles avec lui
Tu chauffes mes nuits,
Tu es le premier jour de ma première vie.
Tu fais monter les étoiles au tabernacle des prières,
Sur lesquelles dansent les prêtres et les prophètes
Tu leur apportes la lumière,
Et ils t’offrent un amour qui jamais ne s’arrête.
Je suis à chaque instant prête,
À prier pour toi, et te couvrir de baisers.
Et s’il y a environ deux mille orages dans le monde entier,
À chaque instant,
Le temps peut-il suffire à contenir tellement d’électricité ?
Quand je te sens, présent depuis si longtemps,
Tu connais plusieurs sciences en vérité :
Ton esprit suffit à détecter et la foudre, et l’amour et le vent.
Et c’est le cadeau de la déesse de la beauté,
Ashtereth qui aime ta force d’amour en vérité
Les poèmes ugaritiques l’ont vénérée
Et l’associaient généralement avec Baal, divinité de la tempête
Du matin au soir, je t’ai dans la tête.
Tu es profondément aimé de toutes les divinités
Je voudrai t’offrir l’éternité,
Pour que le monde reste sublime