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« Toi et moi » est ni plus ni moins qu'une histoire au diapason de ce bouleversant sentiment qu'est l'amour. Nous nous réjouissons à chaque instant. Pouvoir se donner toutes les énergies de désir, de plaisir, de joie et créer aux côtés de nos deux noms les fleurs qui tissent l'éternité. Une éternité parmi tant d'autre, mais la nôtre forte et riche de lumière et d'amour.
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Seitenzahl: 70
Veröffentlichungsjahr: 2021
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L’existence offre une multitude de sensations et de situations, dont la félicité est la plus aboutie.
La Joie en est le fruit. La Jouissance en est un sommet même éphémère. Alors l’existence devient un réel plaisir. Mais pour beaucoup les gens heureux sont toujours fautifs.
L’être humain plaide non coupable et « les juges » (entités divines ou autorités parentales et autres) rendent le verdict. Heureusement toi et moi vivons dans l’innocence.
Elle se souvient,
De cette jeune vierge qui l’a touchée
Laquelle des deux souriait sans oser se regarder ?
La licorne tremblait de joie, honorée
La jeune fille voyait toute cette pureté, toute cette beauté.
Elle était comme un enfant émerveillé,
Qui voit l’océan pour la première fois
Comprendre la liberté comme un éclat,
Du droit humain,
Tendre les mains,
Poser les fusils,
Rendre cet honneur que l’on doit à la vie.
En tant qu’habitant de la planète,
Proposer la trêve,
S’ouvrir à la quête
De nos rêves.
Je veux rêver à ma licorne et à mon roi,
Encore et encore une fois.
Si tu acceptes de me recevoir,
Dans l’avenir de tes bonsoirs,
T’embrasser, toucher tes mains,
Et te laisser sentir mon parfum.
Le soir, le matin,
Et tous nos lendemains,
Où j’irai vers ton rêve
Y sentir et y recevoir ta sève ;
Pour que tu oublies quelques instants la guerre.
Parfois, je suis une prière
Mais je serai toujours la première,
À te voir construire la matière.
Le rêve est mon désir de vie,
Pour toi à l’infini :
Tu sculptes l’énergie
De nos nuits.
Tu traverses le silence
Et tu comprends l’importance,
De mon amour pour toi,
Qui ne s’éteindra pas,
Ne serait-ce qu’une seule fois…
Toute ma vie, je serai heureuse d’être à tes côtés.
Puisque tu es l’unique homme que j’aime pour l’éternité.
Sans toi, l’éternité n’aurait aucun intérêt,
Tu me fais rêver à la danse des voiliers,
Qui flottent indolents sur l’océan des étés.
Tu es mon soleil de joie, d’amour et de liberté,
J’aime, j’ai besoin de rêver de toi, de tes mains
Et l’éternité s’est arrêtée, un jour secret, incertain
Où j’ai vu ta puissance,
Dont je n’ai qu’une part de connaissance.
Connais-tu toi-même la Force que tu détiens ?
Tu deviens,
Cet homme que j’aime de plus en plus loin,
De plus en plus fort
Parce que dans chacun de mes rêves, tu dors dans mon corps.
Et j’ai besoin de ton regard dans ces nuits,
Pour oublier que mon corps a été meurtri,
Depuis toi, je n’ai plus mal.
Il me semble avoir atteint un idéal
Et lorsque je m’emporte dans tes bras,
C’est pour être au plus près de toi.
Je te donne ma présence,
Qui s’inscrit dans ton espérance
Tel un arbre onirique,
Où chaque fruit a une puissance quasi-magique.
Je veux te nourrir
Te faire redécouvrir ton avenir,
De plus en plus glorieux, chaque nuit,
Tu es plus beau que la bénédiction de la vie.
Ta fatigue, je l’honorerai,
Et l’acte charnel, sera le miracle de certaines soirées,
Il sera la réponse de Dieu à notre éternité.
Il admire notre amour depuis le ciel.
C’est un pur instant réel,
Et en même temps irréel,
Lorsqu’ensemble, parfois nous fermons les yeux,
Tes yeux sont la réponse à mes vœux.
Un chant, un rêve si doux,
Que mes rêves te rêvent partout.
Tout le temps, je me couche dans tes mains,
Et je deviens,
Ta femme,
Te laisser sentir mon âme
Pour embellir de jour en jour,
Notre histoire d’amour.
Toi et moi, lovés dans notre bonheur alternatif,
Loin des êtres agressifs qui ne parlent qu’avec des superlatifs.
Tel est mon rêve le plus profond,
Le rêve qui me confond,
Dans une réponse à ton univers,
Tu deviens tout mon ciel, toute ma terre.
Je lave tes mains avec le sourire des fées.
Et de chaque matin, toutes les rosées.
C’est la continuité du rêve, la fleur bleue qui se nomme terre.
Immortelle, car les anges ramènent du système stellaire,
L’origine de notre vie.
Ce que l’Éternel a suggéré dans son infini.
Nous sommes nés au pays des songes
Et je suis toujours quelque part où je m’allonge,
Où je pense, à la vie, à l’amour avec toi,
Tu es le plus pacifique roi.
Qui m‘offre, les couloirs de la joie.
Et la licorne en voyant tes mains est à la porte du sommeil
Chaud, qui protège nos merveilles,
Elles sont intarissables.
Et conjugables
De mes rêves à ta réalité.
Que personne ne peut maitrîser,
Mais au moins faire fleurir, sur le chemin de cette si belle paix.
Dieu rêve encore de bénir ses créatures,
Et de faire fi de leurs côtés obscurs.
C’est à l’issue de ses rêves que l’Homme devient meilleur,
Les Vogons1 ne rêvent plus,
Arthur Dent2 les a empêchés de répandre la terreur
Ils ne cherchent plus.
Le temps a répondu :
Vos rêves sont la seule dimension,
Où il n’y a plus besoin de questions
Puisque la seule réponse est cet arc-en-ciel,
Le plus beau soleil du sourire de l’Éternel
Qui vogue jusqu’à l’horizon,
Qui est un phénomène naturel pour les enfants,
Et un rêve pour les hommes devenus grands.
Mais devant la lumière du jour, nous sommes tous enfants,
De la matrice universelle,
Des rêves d’un accouchement sans séquelles.
Veux-tu être le père de mes poèmes ?
Aussi fort que je t’aime !
Tes mains sont la volonté du plus beau rêve.
Merci.
Tous tes rêves par ma vie,
Sont des souvenirs éblouis.
Tu peux tout me demander,
Puisque c’est toi, j’y accéderai.
Tous tes rêves deviendront réalité.
J’en ai longuement parlé à toutes les fées,
Les fées du jour, de la nuit, des rêves, des mystères.
Je ne pourrais dès lors que me taire,
Devant les promesses tacites,
Offertes à l’insolite.
Et ce rêve ne sera pas éphémère puisqu’il a touché l’être sacré ;
Et donc existera à tout jamais !
La licorne et la jeune fille se confondent en amour,
Et le soleil descend du jour
Pour les embrasser,
Et c’est à la fois une humilité et une fierté.
Et l’enfant prie les mains levées,
Les yeux, pleins de cette rosée
Que la licorne chante dans un éclat de roses,
C’est pour cela que certains êtres osent
S’envoler en milliers de fleurs
Pour rendre grâce à l’animal de bonheur.
Qui aime galoper sous la lune et les étoiles de jour,
Les étoiles et la lumière de certaines amoures.
Beaucoup d’humains rêvent de la voir, de la caresser
De l’approcher à pas feutrès.
Mais la licorne n’accepte qu’une main,
Celle d’une jeune fille pure qui a ouvert ses yeux avec toi,
Dans ce matin
Où tu fus sacré roi.
Nous pouvons donc dire que la licorne et toi
Ont découvert ensemble le même temps,
Et dès lors est apparu l’amour, séparé définitivement de la haine,
Si puissant qu’il libère de toutes les chaînes.
L’amour s’est envolé dans les vents,
Pour mieux nous entourer
Nous enlacer, nous encercler
La haine flotte comme un brouillard
Sur des remparts,
Où tu ne poseras jamais ta main,
Simplement, ton regard de félin.
Car ils s’écrouleront seuls sous le hasard qui brise les chaînes
Vidés de mémoire vive, reine.
Le hasard n’aime pas la mort,
Il n’aime que les chants où la fée dort,
Puisque c’est elle qui aide la vie à jaillir.
Il y a le hasard et le destin : l’avenir.
Je n’ai pas choisi de serrer ta main,
J’ai choisi d’être le parfum,
De ta nudité,
De ta simplicité.
C’est toi qui l’as voulu,
Comme un arbre aux feuilles nues
A voulu la pluie :
Comme ce chaman qui a dansé et chanté toute la nuit.
Et dont le pouvoir passe par tout son corps,
Mais principalement par ses mains couvertes de tout l’or,
De sa tribu, et qui au jour de sa mort,
Lui tient la main pour recevoir son héritage spirituel,
Et qui dans un désert choisi de libérer son âme : universelle,
Holistique.
Qui, de par son être total, et pas seulement magique ;
Et sa volonté de préserver ses racines natales
Respecter ses origines fondamentales
Chante et danse, une dernière fois,
Devant la mort.
Une ultime fois
Et, je les entends, pour que demain encore
Ces chants,
Ces troublants instants
Devant mes mains
Souriantes face aux devins.
Aiment caresser toutes ces vies,
Lorsque cela leur est permis…
Et si cela l’est à moi aussi.
Si ta main est comme un arbre dont peu importe la couleur,
Si ta main est un sourire, qui regarde là-haut, les lueurs