Erhalten Sie Zugang zu diesem und mehr als 300000 Büchern ab EUR 5,99 monatlich.
Le feu apprivoisé n'est-il pas doux ? Le feu sauvage n'est-il pas fascinant ? De ton regard à l'orage le plus violent, il y aura comme toujours cette lumière et cette chaleur. Ce que j'attends de toi : que tu découvres mon feu et que tu en fasses ta clarté et ton ombre. Les anges viendront à nous le chandelier à la main dans ces nuits d'amour baignées par tes yeux doux et fascinants, auquel je réponds par mon sourire, qui par ta royauté, devient quelquefois cosmique.
Sie lesen das E-Book in den Legimi-Apps auf:
Seitenzahl: 94
Veröffentlichungsjahr: 2022
Das E-Book (TTS) können Sie hören im Abo „Legimi Premium” in Legimi-Apps auf:
La licorne bleue aime et vit dans la lumière. Elle porte en elle la flamme inextinguible de l’humanité. Elle déroule le tapis des mondes sacrés. Cette gestuelle de toute éternité conduit les opposés à se confondre aux confins de tout enchantement dans la révélation de l’éclat du chandelier.
La Licorne bleue et le chandelier
Se sont souvent croisés.
La licorne a de grands pouvoirs,
Elle peut te parler de ce monde sacré,
Elle sait se taire quand vient le soir
Elle sait bénir l’aube éclairée
Par le plus grand chandelier.
Elle porte plusieurs noms, pour les hébreux : Menôrah1
Candélabre2, ou Luchnia3.
Elle a élu vie sur terre,
Elle est le support de sept luminaires
Elle est les sept yeux du créateur de la lumière
Confondue dans quelques prières.
Elle a une existence physique,
Et métaphysique.
Elle est l’étoile de la vision.
La réponse connue donnée implicitement à tes questions.
Elle est dans le ciel de tous ceux et celles qui fond le don,
De leurs connaissances et interrogations.
C’est aussi un regard d’imagination,
De création.
Les pouvoirs de la menôrah, métaphysiques
Sont spirituels
Et temporels
L’esprit du candélabre est directement cosmique
Représenté par Josué4,
(Vers une terre, enfin trouvée)
Et temporel
Incarné par Zorobabel5.
Ce prophète est issu du sang royal de Juda6.
Si le rêve est une interruption du temps,
Il donna,
Un instant
De son songe : il vit ce chandelier d’or à sept branches,
Et le temps du rêve devint une réalité incontournable et franche.
Dieu a placé dans son arbre aux sept branches, deux vents
Le vent de l’esprit
Qui observe la vie
Et le vent du temps
Qui ralentit la frénésie des mauvais semi-vivants.
Le chandelier voit ceux qui s’approchent de la vie et de la mort
Josué et Zorobabel jouent un rôle dans le salut humain,
Tout au bout de son destin.
Le salut : la bénédiction finale est déléguée par les flammes d’or
Qui appartiennent aux astres et au ciel,
Le chandelier est planté dans les sables du désert,
Où volent à la fois anges et poussières.
Nul ne sait ce que fut exactement sa fonction essentielle
Le mystère venu du ciel,
Se prolonge dans un chandelier à neuf branches pour célébrer,
La fête de Hanoukka7, qui veut dire inauguration.
Et c’est toujours cette lumière, cette célébration
Qui éclairent l’esprit et emmènent sur les sentiers
Des visions.
Dieu a donné à l’Homme, la faculté de voir
L’extérieur,
L’intérieur
Il a choisi de croire,
En lui, par le biais de cette puissance lumineuse.
L’homme sait si la femme qu’il aime est amoureuse,
Douce et vertueuse.
Il y a des moments où la lumière éclaire le regard
Lorsque l’amour s’approche avec espoir,
Et courage quand descend le soir.
D’où vient cette lumière ?
Jusqu’où plane cet oiseau fidèle ?
De son être,
Ou de L’être ?
Dieu et son être se confondent dans l’admiration mutuelle,
Et les précieux moments où l’alliance est réelle.
Y a t-il un intermédiaire entre Dieu, le jour et le bonheur ?
Dieu accompagne le bonheur jusqu’au jour,
Parfois jusqu’à de très grandes amoures,
Et qui soulage des peurs.
Voilà une des volontés de Dieu :
Maîtriser les instants de feu.
Créer le jour,
Pour créer l’amour ;
Il y a Dieu, le jour et le bonheur,
L’intermédiaire c’est nous :
Je t’accompagnerai jusqu’au bout,
T’aimer c’est honorer la création
Et la porter jusqu’à notre horizon.
Le jour existe pour la vie,
Le bonheur est encore plus simple qu’une fleur,
Il est joie et couleur
Pour les êtres qui sont en harmonie,
Je te regarde vivre dans la lumière
Et je suis en avance
Il n’y aura jamais de dernière danse,
De dernière
Prière.
Lorsque j’ai la chance de t’entendre parler,
C’est un enfant qui vient prier.
Comment peut-on être homme, enfant et roi à la fois ?
Tu es dans le cœur de beaucoup :
Parce que tu combats les loups.
Et que tu parviens à les rendre doux.
Avec les hommes, tu es bon
Avec les rois, tu es juste à chaque fois
Que l’on s’écarte de la loi,
Et cela est très difficile, de discerner
Si la faute est oui ou non commise et de quelle façon
C’est pour cela que la menôrah vient éclairer
Les fins fonds
De ce que nous ne pouvons cacher.
Tout cet amour qui fait l’amour
Avec les rêves de toi.
Et Dieu est heureux en ce jour,
Puisqu’il me dit combien de fois,
Tu rêves toi aussi d’être près de moi,
Et cela n’a pas de prix.
Je veux une prairie,
Pour courir en serrant ta main
Sous le soleil chaud d’un matin
Doux comme une biche, et laisse jouer la licorne bleue.
Je suis une vague qui cherche sa rive,
Je l’ai trouvée dans la douceur de la plage où tu reposeras tes yeux
Tu es l’instant où la justice arrive.
Avec la force et l’amour,
Tu es l’initiation à l’éclat du jour.
Sur nos corps,
L’aube ira jusqu’à l’aurore
Et la nuit sera parsemée de ton or.
Tu viendras avec le candélabre de ton âme
Et ta flamme se mêlera à ma flamme.
Tu éclaireras l’ombre
Pour qu’aucun de nous deux ne sombre
Dans l’obscurité.
Les gouttes de ma clarté,
Deviendront comme des lampes et je te verrai
Près des prêtres pour te concerter
Pour briller toute l’éternité.
Et en ce qui concerne notre amour, si l’éternité ne suffit pas,
Nous ouvrirons
De nouvelles dimensions.
Et nous irons raconter la terre pour que l’on ne l’oublie pas.
Parce que notre amour est comme la terre
Il écoutera toujours le vent sur la mer,
La terre est pleine de vie,
Elle sera la plus belle poésie.
D’abord nous parlerons de sa vision :
Bleue, ronde et qui tourne, emplie de voix, de chansons.
Ensuite nous chercherons à savoir comment protéger ses secrets,
Parce qu’elle est le premier enfant de Dieu
Et qu’il a conçu avec tant de soins ce monde définitivement sacré
Nous ne lui ferons pas d’infidélité.
Le monde vit encore parce qu’il est mystérieux
Et si j’existe, c’est pour te donner une part de mon feu.
Mais pourquoi la mer ?
Pourquoi mes prières ?
Pour une égalité encore possible pour le secret,
De celui condamné, enfin libéré et qui veut aimer.
Pourquoi la mer ?
Pour éteindre le feu de la lumière,
Et laisser la douceur simple du jour planer aux abords du monde.
Une douceur qui suivrait l’horizon, sa courbe ronde.
Je n’exige rien de toi, regarde mon amour et dis-moi,
Si tu vois dans l’océan, toujours ce même éclat,
C’est parce que cet éclat était déjà
Dans tes doux yeux.
S‘il peut être fêter par la licorne bleue,
Moi, je crois que oui,
Car l’océan vit.
La fête du feu,
Et la lumière de tes yeux,
S’unissent pour trouver enfin,
Un certain soir, un certain matin
Notre grain de sable dans l’univers entier,
Dans un hasard très émouvant, cette éclaircie, au coin du sentier.
La source d’où viennent nos larmes, nos joies,
Les frontières de l’émotion et de la source que tu portes à moi,
J’ai trouvé un vase assez grand : mon cœur,
J’ai trouvé mon premier bonheur,
Et je veux oublier les erreurs
Des mauvais choix.
Aujourd’hui tu es là,
Telle une menôrah.
Je me dresse contre le mensonge, je sais lire
Certains sourires,
Pourquoi l’homme conçoit des stratagèmes
Pour pallier à son ignorance devant ses blasphêmes.
Dieu me voit,
Je ne peux que le remercier
De m’avoir donné un toit,
De quoi manger,
Surtout les pensées pour ceux qui m’ont recueillie
Quand je cherchais seule, les portes du paradis,
Et tu as vaincu ma mort par ta ténacité (à m’aimer ?)
Je rêvais à toi, marchant dans mon errance,
Et le candélabre a dit : « elle doit vivre » car un immense
Amour
Est à la porte de ses jours ;
Et ces portes doivent être ouvertes par celui qui a trouvé la clé
Et dès que tu l‘a touchée
Le soleil et l’amour m’ont éveillée,
C’est par ton silence de lumière,
Que j’ai compris la volonté de ta prière.
Tu as les yeux d’un ange
Et tout ce que tu regardes et que tu aimes
Devient une clarté que plus rien ne dérange.
La menôrah que tu portes en ton cœur parsème
Un calme intense,
Une totale confiance ;
Des colères toujours justifiées,
Portant le sceau de la vérité.
Mais qui les yeux dans les yeux,
Se transforment en échanges vers des moments heureux.
Dès que tu ouvres le passage, c’est ma chance
Parce qu’intelligence, parce que non-violence.
D’être comprise, d’être protégée,
J’ai besoin de tes yeux pour être en paix.
Il y a des visages, des voix
Qui répandent la joie,
Je souhaite qu’ils s’inscrivent dans ta vie,
Pour t’entraîner vers les roulis de l’infini.
Tu as toutes les clefs,
Elles t’ont été offertes durant ton premier été.
Ma clef est quelque part derrière ma peur,
Et je la cherche pour faire notre bonheur :
Tu sais foudroyer si l’on touche aux trésors de ton cœur,
Parce que ton amour est l’éclair qui voit,
Il vient du ciel, comme toi.
Les étoiles te suivent comme des filaments de sourire,
Tu entends les pas des anges de ton avenir,
Tu leur fais promettre de reprendre chaque soir,
Dans un grand rire leur place
Pour que leur espoir te laisse ses traces
Et reviennent jusqu’au prochain soir.
Elles t’aident chaque instant à te laisser aimer,
Et à aimer à ton tour,
Le chandelier
Est le chandelier du jour (?)
Parfois,
Puisqu’il voit,
Il te montre les clefs.
Aujourd’hui j’ai acheté des fleurs,
Pour semer du bonheur,
Et pour admirer la beauté
Le chandelier,
Dit : « ce que tu appelles bonheur est toujours une clef. »
Je suis heureuse parce que la belle plante va pousser,
Et devenir un arbre de fleurs blanches, j’en prendrai soin
Tous les matins.
Les fleurs vont s’épanouir,
Elles te feront sourire
Je les ai choisies parce que je veux que le chandelier
De ma maison soit plein de nuages de fées.
C’est fondamental pour moi, que les fées te saluent,
Puisque tu viens pour trouver des réponses à l’inconnu.
Je suis un baiser, un chant
Je fais partie d’un monde puissant,
Sur lequel tu poses tes yeux et déploies ton courage.
Je t’entourerai d’un très doux nuage,
Pour que ta liberté soit totale,
De moi jusqu’aux étoiles
Je voudrais juste comprendre comment se sentir protégée,
J’ai besoin de me sentir aimée,
Par toi,
Car tu es en symbiose avec moi.
Sans toi, je deviens du vent
Mais je reste proche de ce temps.
Parfois trouver la dimension où la peur n’existe pas,
C’est apprendre à faire de grands pas.
Alors, j’appelle ma licorne et elle me dit que j’ai raison de t’aimer,
Puisque tu es bon comme les douces vallées,
Parce que tu respectes, celui ou celle qui sait protéger tes yeux
Qui sait comprendre quand baisser les yeux,
Et le remplace par un sourire.
Un sourire que tu verras durant tout ton avenir.
Ce soir, je vais rêver au silence des anges et à la douceur
De ta protection puisque mon amour est égal à ton bonheur.
Tu m’as aidée cette nuit à allumer notre menôrah
Et je remercie, la vie encore une fois,
De m’offrir l’amour qui se pose comme un voile,
Le mal se tait, seules brillent les étoiles.
J’ai dormi dans l’amour de mes rêves et de ce que je peux espérer,
J’ai dormi et j’ai rêvé,