La Licorne Bleue et les Hauteurs - Sandrine Adso - E-Book

La Licorne Bleue et les Hauteurs E-Book

Sandrine Adso

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Beschreibung

L'arc, depuis la Terre fait monter le soleil, les couleurs, l'énergie, parce que ses flèches sont portées par le vent. Cette puissance invisible a comme définition et comme finalité l'harmonie universelle. L'arc est l'une des premières armes du monde, il a été massivement utilisé comme arme de guerre dès la préhistoire et a conservé une efficacité, jusqu'à l'avènement des armes à feu. L'arc distingue de par un animisme probable, tous les niveaux de l'univers et rejoint par cet intermédiaire ce qui est censé constituer le cosmos et et l'être humain, ainsi c'est l'unification de la vie et de l'espace. C'est ce dont les habitants de la Tour de Babel rêve d'atteindre. Pouvoir créer un langage commun dans l'espace, parmi les étoiles, pour que l'avenir s'ouvre comme une fleur. Pourquoi cette fascination pour l'espace ? La fascination, de la Terre ou de l'espace, est normale puisque l'être humain est attiré par l'inconnu. L'arc, l'espace, l'horizon, constituent l'infini qui sont voulus plus ou moins visiblement. Cette volonté est-elle spontanée ? De nombreux astrologues ont eue cette volonté : Hipparque, considéré comme le plus grand astronome d'observation du mouvement de la lune et du soleil. À un certain moment, c'est la période synodique : la Terre-planète-Soleil, restent à la même place dans le ciel par rapport au soleil, vu de la Terre. Le zénith est-il visible même si le soleil ne passe jamais au zénith ? L'imagination est la porte semi-ouvrée de l'intelligence. Il est possible de supposer que l'intelligence provient de l'univers et de l'A.D.N. Y aura-t'il un jour un être qui synchronisera l'amplitude de l'univers et les secrets de l'univers ? Cet être atteindra certainement les hauteurs de la volonté divine. Si nous posons comme hypothèse, la possibilité gnostique ..., pour les chrétiens, et tous ceux qui se penchent sur certaines doctrines, de la notion de connaissance outre les sectes. (Peut-être le manichéisme, le marcionisme, ou le bogomilisme). De fascinants penseurs de ce monde, comme Albert Einstein qui, il y a cent quarante ans, a connu les deux guerres mondiales, puis les deux paix, nous a laissé un patrimoine dans lequel il explique que l'imagination active l'intelligence. L'imagination, le rêve de tous ces hommes qui se sont battus pour la paix, concorde avec la pensée de Paul Vincent Couturier, pour qui l'intelligence a horreur de la guerre.

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Seitenzahl: 132

Veröffentlichungsjahr: 2019

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Ce qui existe depuis des temps immémoriaux : l'Arc, la Tour de Babel, l'Infini (bien évidemment), ainsi que le Zénith sont superposés sur l'échelle du temps et injectent au monde continuellement leurs caractéristiques fondamentales : pour l'arc, atteindre les hauteurs ; pour la Tour de Babel, le désir d'un langage qui atteint le Dieu d'Abraham, et des quatre grands prophètes : Isaïe, Jérémie, Ézéchiel et Daniel ; l'infini, qui ne se mesure pas : comme la portée des paroles des prophètes, qui ne disparaîtra et n'a jamais disparu ; pour le zénith, un amour de cette clarté majestueuse, qui concentre en elle toute la vie.

Il est juste et agréable de reconnaître que la vie existe partout, et qu'aucune guerre ne pourra jamais l'eradiquer. Puisque ce soit, au niveau du macrocosme ou du microcosme, de l'univers à l'être humain, un arbre, couramment appelé arbre de vie s'élève depuis les racines du sol terrestre jusqu'aux hauteurs, ... inaccessibles. Précisément le macrocosme, un monde en tant qu'organisme analogue à l'homme, vers une totalité unie dont les parties sont en correspondance, et le microcosme (petit cosmos) où les fleurs, les forêts et le tout aquatique se sont posés là, un jour sur le monde pour donner à la vie, le maximum de possibilités d'existence. Démocrite d'Abdère évoque ce terme vers -460, av. J.C. de cosmos d'un Univers constitué d'atomes et de vide. Le microcosme serait donc à la fois : multiplicité et néant. Cet homme fut ainsi, métaphysicien, mathématicien et astronome. Il avait peut être songé à la Kabbale, qui a commencé avec Adam. Galien confirme : "Des anciens versets dans l'étude de la nature disent que le vivant est comme un microcosme."

Démocrite, fragment B : 34 : Galien, De l'utilité des parties du corps humain, III, 10 ; trad : Les présocratiques, Gallimard, coll, "Pleiade, 1988, p.862.

Table des matières

La Licorne bleue, et l’arc

La Licorne bleue et la Tour de Babel

La Licorne bleue et l’infini

La Licorne bleue et le zénith

La Licorne bleue, et l’arc

Rend certains hommes fiers

Comme l’arc, la guerre est une tension,

Elle propose toujours cette flexion

Entre la vie et la mort ;

Et dispose de nos corps.

Ton arc est un longbow

Il est puissant et beau,

Et fera de toi un intemporel héros.

Tu es un roi si héroïque,

Que tout ce que tu touches est magique :

Tu restitues l’énergie comme un ressort,

Ton corps et ta vie sont lumineux comme de l’or,

Mais ce n’est que ta vie, le plus beau trésor

Qui fait la guerre en même temps que la paix ;

Tu es la justice incarnée,

Et tu es l’Homme à qui je suis destinée.

C’est mon amour qui t’incite à faire régner la paix

J’ai entouré le protège-bras de fleurs,

Et dans l’offensive, c’est ton œil qui est directeur.

Les yeux d’un roi,

Ne se décrivent pas.

Ils voient les yeux fermés,

Et c’est dans ce secret,

Que je t’envoie les baisers que tu ne peux même pas imaginer.

Pendant que tu fais l’amour,

Ton arc veille sur la citadelle du jour.

Tu es le seul roi qui englobe l’univers,

Qui le protège par ta lumière.

Et la terre fait de chaque pierre sous tes pas,

Une mélodie que j’entends à chaque endroit :

Un tapis de mousse,

D’où ma bouche t’envoie les caresses les plus douces.

Et nous sommes entourés d’une nuée,

Qui nous protège et nous emmène au-delà des extrémités

Tes bras qui ont porté l’arche, sont plus purs que la clarté du matin

Et ils avancent toujours loin.

Tes mains bâtissent des temples, des citadelles, des cités,

Et je te regarde émerveillée.

Je demande au vent de tracer une route bordée de saules

Pour que la rivière divine te donne la parole,

Elle passe par ma voie, et je chante dès mon réveil,

La merveille

De tes psaumes, et la chokman de ton arc

Ton archerie ne porte pas de marques.

Ton univers est un champ où le grain pousse dans la graîne

Il n’y a que pour toi, que je me ferai reine,

Par la force immense de ton désir,

Qui me fait jouir de la vie et rire.

Parce que tu es plus doux que le miel

La douceur et la force, voilà en deux mots ce qui fait Israël.

Je te demande solennellement de pardonner mes péchés,

Car j’ai en moi ce feu de vitalité,

J’ai tellement peur de blesser,

Ton arc, je ne fais que le dresser.

Aussi loin que ton amour peut l’emporter

Depuis Baalé de Juda jusqu’à la maison d’Achinadab, je te suivrai.

La main sur tes yeux, l’Éternel me laissera te toucher

Sentir ta peau, deviner tes mots

Et les lancer sur les flots

Le plus bel endroit

Pour faire d’un homme un roi.

C’est si difficile de comprendre un homme, mais j’arriverai

À enchanter ton palais.

J’ai grandi dans la joie, je t’envoie des milliers d’oiseaux

Qui déplacent,

L’espace,

Et s’y envolent de plus en plus haut.

Ton palais est inaccessible, au bord de ton arc, il y a les clefs,

Cachés près de la forêt,

Je te protégerai d’Oza,

Et l’arche ira dans la maison d’Obed-Emon de Gath pour trois mois

Dans cette maison, ton arc est posé sur la fenêtre, vers le ciel

Et les fleurs qui y vivent sont de plus en plus belles

Pour remercier l’Éternel de t’avoir fait guerrier.

Je te vois rentrer du combat, je te lave les pieds,

Je change tes vêtements.

Et tu deviens mon amant

Avant tous les commencements,

Samuel a fait de toi un homme d’amour,

Pour la joie de milliards, voire plus, de jours.

Et je serai là devant l’océan,

Et je serai là devant le vent,

Et je serai là devant l’un des plus grands.

Les chérubins te font asseoir sur un fauteuil d’or et d’argent,

Mais je crois bien que tu préfères t’asseoir à côté de moi …

Je te raconterai comment l’arc est venu jusqu’à toi

J’ai choisi son bois et je t’ai même trouvé une arbalète

Qui dans sa détente, ne pense qu’à faire la fête

En lançant des jets en l’air

Je les suivrai, cavalière

Et la jolie licorne bleue fera quelques prières,

Pour que notre amour couvre la terre entière,

Une armure indestructible contre les Aliens,

La rivière qui descend d’Hébron absorbe toutes les haines.

Ton arc est vivant, intelligent,

Il sait lire les messages du vent,

Il porte avec lui le brouhaha des ennemis,

Mais aussi les couleurs de ma folie,

L’histoire, de …toi, de toutes mes vies.

Tu fais pousser des fleurs autour de moi

Et ta joie entre en moi,

Et ne me quittera pas.

J’entends partout ton rire,

Est-ce un rêve, ou un désir ?

Rêver d’un roi,

Chanter ses lois

Je suis dans les élévations de ta pensée,

Mais je n’ai pas ta connaissance extraordinaire

De tous les temples, tu connais toutes les entrées

Tu marches le regard clair, en écoutant le vent.

Tous les enfants rêveraient de t’avoir pour père,

En entendant ta mélodieuse voie, le plus difficile devient un jeu

Et l’unique justice, jaillira comme un feu …

Et l’arc s’élance dans les cheveux du temps,

Ensemble nous n’avons peur de rien.

Puisque nous comprenons les chansons du matin,

Toi et moi dans le même instant.

Juste aimer car c’est l’Éternel qui veut que nous soyons heureux

Car nous sommes de ceux qui adorent la planète bleue.

Je voudrais être la fleur qui apaiserai ton arc de roi guerrier,

Je voudrais être l’océan n’obéissant qu’à toi, dressé,

Comme une muraille où les coquillages écrivent ton prénom,

Et qui cherche le mien sur le sable blond.

Tu viens vers moi constamment

Et je danse en chantant,

Et je ris en te regardant,

Tu es le bonheur de nos vies,

Qui ondule comme une rivière

Tu es l’amplification de l’esprit,

Le plus magnifique symbole de la vie ;

Le certain mystère de certaines prières.

“Mon peuple habitera dans un séjour de paix,

Dans des demeures bien protégées

Et dans des retraites tranquilles.“i

Voilà le rêve du roi David quand il regarde son île.

Il pose son arc quelques instants,

Et regarde le firmament.

Alors je monte au ciel pour lui envoyer un sourire,

Car il est mon passé, mon présent, mon avenir ;

Je fais glisser sous ses yeux, des nuages d’amour,

Pour qu’il garde courage, toujours.

Sa terre devient Wahat as Salam, “un oasis de paix“

Où boire est une magie qui nous fait avancer.

Neve Shalom, fondée en mille neuf cent soixante neuf, terre

Qui a retrouvé la lumière,

De paix après la guerre des six jours

En espérant à chaque fois que c’est pour toujours.

Neve est sur une colline en bordure de la vallée d’Ayalon

Se reposent les terribles lionnes,

Auxquelles l’Éternel avait fait appel

On ne sait si le vent fut réel,

Mais les nuées étaient partout depuis Latroun : la majesté

Quand la nuée se levait1

La paix fut décidée, espérée

Pour quelques années.

Depuis pour toujours on célèbre la Kina de David, poète :

Pour sa vie, je suis toujours prête.

Dans les cimetières militaires

Pour ces hommes qui moururent à la guerre.

Que la terre du paradis leur soit ouverte …

Je te propose yom hazikaron, jour du souvenir.

Pour toutes ces pertes.

Où dans le monde entier on n’entendit plus aucun rire.

L’indépendance d’Israël fut perçue comme un miracle,

Digne d’être célébrée par des louanges, des rêves d’oracles

Pour l’éternité, nous espérons … la fraternité

La paix éternelle et le miel pour tous les yeux fermés

C’était le jeudi huit mai

Un jour où les hommes et les femmes chantaient,

Il y a dix années.

Mais il y a des miracles encore plus secrets :

Le jour où nos regards se sont croisés,

Où j’ai vu en toi, tous les jours se lever,

En même temps que le fond des océans.

Où l’arc d’Eros a traversé tous les temps,

Pour faire de nos vies deux printemps,

Deux fleurs des champs

Où la guerre n’aura jamais versé de sang.

Aucune guerre, ne nous empêchera de nous aimer,

Nous sommes nés sous l’étoile du bonheur, de la prospérité

Et de la longévité.

Nous espérons grandir

Pour protéger les étoiles qui sont notre avenir.

Il y en a bien une qui nous accueillera

Toi et moi,

Où nous pourrons réapprendre l’amour, pour la terre

Je te l’avoue ‚c’est la fleur que j’ai cueilli dans ta lumière,

Cette envie de voler

Parmi les fées,

Et de partager de très nombreuses étreintes.

Tu es la conque qui entend toutes les plaintes,

Tu ouvres les portes de l’espoir

À ceux qui veulent bien s’asseoir,

À tes côtés sans toucher ton arc voilé

Par le feu de la vérité.

Ta vérité chante sur les montagnes, d’où tu peux voir

Tout tes fervents qui pensent à toi chaque soir.

Je pense à toi, donc à la vie et à l’amour,

Tu es roi chaque jour

Et tu es l’homme qui plante son arc dans la terre

Le son de ta voie est la plus belle prière.

Car elle prie pour la force des jours et la douceur des nuits,

Tu es l’intensité lumineuse de toute ma vie,

Même les yeux fermés je vois ta lumière,

Car ton intelligence est extraordinaire,

Et je sens un amour qui fait pousser ses fleurs en moi,

Dans mon être qui n’aime que toi.

Tu conçois et tu attires la liberté,

Parce que tu as connu des innocents prisonniers.

Et tes fléches divines leur ont donné l’envie de vivre :

Elles les ont atteint en plein cœur, siège où l’amour ennivre.

Là où se dirigent tous les rayons divins.

Tu tends tes mains vers ton arc et il bondit à ton service,

Puisqu’il est fait pour rassembler tous les humains,

Et les diriger vers un nouveau monde de justice.

Un espace où la mer restera bleue,

Où le ciel sera heureux,

De voir que son peuple cherche à vivre dans l’amour.

Toi, chaque jour,

Tu écris des poèmes,

Qui encouragent l’homme, cet être qui a créé les mots “je t’aime“

Tu écris des louanges,

Portés par les anges,

Dans les jours de joie, comme les jours où tu es loin de moi.

Faut-il que ton arc me parle de tes bras ?

Je sais déjà :

Ils sont chauds comme les étoiles qui me racontent ton prénom,

Je le prononce et ma devient joyeuse comme l’horizon,

Comme une traîne de couleurs que tu laisses derrière toi.

Tu as appris les couleurs,

En regardant les fleurs.

J’ai appris l’amour,

Le jour où tu m’as souri pour me dire bonjour.

Et ces mots infiltrent tout mon corps,

Tout simplement parce que je t’adore.

Et qu’avec toi la vie rassemble les chevaliers

En colonne un par un derrière toi, pour l’éternité.

Si un homme ou une femme te manque de respect,

Ne serait-ce qu’une fois,

Dans ce monde ou dans l’au-delà

On peut pardonner,

Mais cesser d’aimer.

Comment respecter un roi lorsque l’on est une femme ?

Baisser les yeux devant sa flamme.

En offrant à ton âme le jaspe de Benjamin

Tout passe par ton arc et surtout tes mains,

Tu donnes à ceux qui font partie de ta vérité,

Un très doux vent de sécurité :

Les gens sont heureux de t’aimer.

Je fais chaque jour l’amour à ta vie

Et j’ai des visions d’amplitude que personne n’a jamais compris

Je vois ton sourire et tes larmes en même temps,

Je sens ton cœur battre chaque instant,

Tu es le centre fusionnel du soleil,

Et tu découvriras toutes les merveilles.

Qui jalonnent le pont d’amour de toi à moi ;

Cette lumière avec laquelle nous faisons trois.

Un pont de jaspe qui va dans le sens inverse de la mort

Vers une vie qui glorifie la beauté de nos corps.

Je ne t’ai pas choisi, D.ieu t’a mis sur mon chemin,

Et je te vois en ouvrant les yeux chaque matin.

Tu es tout au bout du ciel, et mon arc t’appelle

En lançant des bouquets de flèches pour t’apprendre et te garder,

Je te dessinerai les lettres que D.ieu a mis sur ma bouche,

Des lettres aussi réelles,

Que le feu de ma volonté :

Qui touche

Les vingt-sept lettres, mon souffle Hé, qui a grandi près du Shin

Et qui a naïvement pris racine

Dans le sheddar, nom sacré de Dieu,

Qui jusqu’à la fin des temps nous aimera amoureux,

Il nous aidera dans l’épreuve et sourira.

Car il aime que ses créatures renouvellent les fleurs de l’univers,

Nous vivons, nous nous aimons pour cela,

J’ai soif de toi, je ne veux pas d’autre enseignant que toi,

Ta bonté, ta douceur extraordinaire.

Parce que tu es l’homme le plus pur qui a bien voulu

Descendre la vallée,

Pour venir me proposer,

Ce baiser, nue

Qui t’aidera à détruire les fils d’Ammon,

Et pour assiéger Rabba, dans le gouvernorat de Karak,

Et tu sauveras l’attaque.

Et qui depuis Rabbat Moab, nous laissera nous aimer

Et célébrer l‘été

Dans les océans profonds

Où je pourrai chanter ton prénom.

Dans ton palais sur les piliers sont placés des lions

Portant des bannières, du nom de celui qui leur obéit

Le roi du palais qui brille dans la nuit,

Par les cinq lettres de son prénom,

D A V.I D peut-on lire et trouver le frisson

De peur ou enfin de douceur et d’amour,

Et chaque jour j’attends de trouver ton amour,

La vie de David gravite autour de Jérusalem,

Et de Bethléem.

Son amour immense remplit tout le pays

Et la totalité de mon étrange vie.

Ce qu’il y a d’étrange dans ma vie, ce sont mes rêves

Et je les promène jusqu’à l’aube qui se lève

Depuis les hauteurs de mon âme,

J’ai le souvenir onirique d’être ta femme.

Et la puissance de certains n’est rien à côté de ta douceur,

Ton cœur est un jardin de fleurs.

Je déclare la guerre à la violence

À ces géants, ces faux héros qui par peur des dieux

Réclament des pouvoirs monstrueux,