La Licorne Bleue - Sandrine Adso - E-Book

La Licorne Bleue E-Book

Sandrine Adso

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Beschreibung

Le monde du ciel est la source et l'aboutissement de la vie. Au-delà des religions, il offre aux humains la perception des étoiles et du soleil. De façon spontanée, les êtres vivants ont tendance à lever leurs regards vers ce qui les couvre, comme un drap bleu, d'un bleu ciel , le jour et d'un bleu nuit la nuit. L'humain dans sa vie est entouré de draps, comme des portes qui s'ouvrent poussées par un vent stellaire car le vent accompagne l'homme et la femme sur les sentiers de la vie. Vivre c'est être en liberté, c'est ne pas mourir. Le cheval ferme les portes de la mort par la passion et l'appétit pour la liberté. La mort est la seule prison dont on ne sort jamais, sauf pour quelques mystiques, quelques poètes, pensent la mort comme un voyage. Un voyage dont le point de départ serait le monde du ciel, et le point d'arrivée un autre point du monde. Comme la licorne bleue, gardienne de la vie, a comme ciel,les oiseaux et les anges. L'Homme connaît les oiseaux, et le monde séraphique, et par les chants. Mais pour la licorne c'est plus subtil la licorne invisible dans le monde étrange des enfants et de la nuit. La nuit,..., est claire de rêves, et la licorne ne serait qu'un rêve ? Ne serait-elle pas un miracle céleste, ou un mystère inventé par l'Homme, accompagné de chants et de muses, voir le centre spirituel de la licorne bleue, bleue comme le ciel. Le monde du ciel contient toutes les couleurs de l'univers, elles brillent car elles sont caressées par les étoiles. Les étoiles sont caressées par les ailes des êtres séraphiques du ciel. L'homme et la Femme sont entourés, d'anges, d'archanges, de chérubins, d'oiseaux, de chants de vie. Tout ce que les religions abrahamnesques ont apporté. Il ne s'agit pas de savoir qui a tort. Juifs, Chrétiens, Musulmans. À la base de ces religions poussent l'arbre de l'espoir. Saint-Paul a résumé dans une formule saisissante la puissance de cette foi : contra spem in spem credidit. Le monde du ciel, c'est le monde de l'espoir, de l'amour incarné par la figure du messie, ou tout simplement de la joie de vivre sous ce ciel, sur une terre qui lui est attachée et qui est la première merveille de la création.

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Seitenzahl: 185

Veröffentlichungsjahr: 2018

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Préface :

Par le ciel s’exprime des êtres doués d’une préscience et d’une sagesse infinies : une transcendance directe de ce que nul vivant de la Terre ne peut avoir. On peut cependant être moins restrictif et admettre l’ordre immanent de l’humain. L’ordre humain a son principe en lui-même, et qui est lui aussi fondamental et la transcendance indique un événement externe et supérieur.

Immanence, transcendance, sacré : le ciel est le symbole complexe de l’ordre sacré de l’univers qu’il révèle par le mouvement circulaire et régulier des astres.

Le monde du ciel, laisse suggérer des clés pour le comprendre lorsqu’il semble invisible. Par l’action du Ciel sur la Terre, tous les êtres se produisent : de la fleur, de l’arbre, de l’animal à l’humain, et les êtres qui sont tout cela à la fois. Le ciel qui couvre la Terre produit dans cesse des embryons immortels et infinis. Par exemple, le Ciel a épousé la Terre et le soleil est né.

L’éclair, le tonnerre, la foudre, éléments naturels fréquentent l’esprit, comme tout ce qui se passe dans la conscience.

L’inconscient retient le son, la lumière. Les ondes de la nuit coulent vers tes rêves, et ces rivières hertziènnes ne viennent-elles pas de la cohésion de quelques météores ? Mais pourquoi la nuit ? L’esprit humain est une puissance, on peut s’interroger d’où vient-elle ? La puissance spirituelle est aussi belle et complexe que le ciel. Les idées de l’esprit sont les étoiles du ciel, et le cœur qui bat en est la source de lieu de rayonnements, quelque soit l’esprit, l’humain est une créature intelligible et empirique qui s’appuie exclusivement sur l’expérience et l’observation sans suivre les méthodes, les principes scientifiques. Le vrai mystère réside dans le noème, l’homme perçoit son action. Agir, c’est sentir sa liberté, vivre, aimer, penser sont les merveilles de toutes sensations humaines. La capacité de sentir, de vouloir jouir de la vie n’est condamnée par des êtres qui ne sont résidents que dans les sphères ténébreuses. Il y a tellement d’autres choses qui se manifestent tous les rêves, toutes les pulsions de vie. Le ciel est comme l’arbre il s’élance dans la lumière. L’homme est l’arbre de la femme, et elle est encore plus douce que Le jardin des fruits évoqués par le poète perse Bustan.

Le numineux s’exprime par la présence de l’objet religieux, il se trouve aussi selon Otto dans l’art. Le numineux prend racine dans la conscience de notre petitesse, la seule façon de s’élever est d’utiliser ses sens aux maximums de leurs capacités et de créer, de vivre. La vie est une création.

Lorsque l’amour attend l’amour s’élève la plus belle chanson : c’est la naissance du premier mot : oui ; des premiers mots : je suis là pour toi. La providence laisse toujours la vision d’un soleil qui réchauffe la nuit. Le ciel n’est pas le principe suprême, mais le pôle positif de sa manifestation. Le ciel n’a jamais fait la guerre.

Le ciel a souvent porté l’espoir, (et l’espoir a-t’il porté le ciel ?). Des milliers de peuples sont portés par l’étrangeté de la religion, parce que l’empathie qui les habite cherche une maison. Où va mon amour ? Dans les fleurs de tes yeux, dans le plus profond de ton cœur, comme des baisers sur tes mains.

Combien de fois l’amour s’est-il manifesté ? Depuis aussi longtemps que l’homme et la femme ont embrassé le ciel du regard. Ils y ont probablement vu leur reflet.

Je suis née avec le soleil, avec l’amour : je t’offre ce miroir.

Table des matières.

La licorne bleue et les étoiles

La licorne bleue et la voie lactée

La licorne bleue et le vent solaire

La licorne bleue et le soleil

Conclusion : le hasard ou le ciel

La licorne bleue et les étoiles

Les étoiles ont la belle appellation de luminaire,

Elles sont pour l’univers entier, source de lumière.

En tant, que luminaires elles sont représentées sur les voûtes,

D’une église, ou d’un temple,

Sur la route

De la signification céleste,

Elles sont ancrées dans le ciel, elles y restent.

Tu peux, tu contemples,

Avec tes yeux, réceptacle de l’espoir

Discerner dans ce qui te semble obscur et noir,

La puissance divine de ces luminaires

Qui réunit les Hommes dans la prière,

La contemplation au bord de la mer,

Là où les étoiles volent,

Pour devenir paroles … ,

Et dans le sillon divin de son océan sur la terre de lumière bleue,

Les yeux des humains se croisent quelquefois heureux.

Les luminaires se rassemblent en un seul cœur,

Pour porter à ta vie, la joie de chaque jour meilleur …

J’espère moi-même ressentir la force de ces luminaires,

Et si ce que tu vois dans mes yeux est assez clair,

Nous aurons tous envie de danser sur la terre.

Au rythme doux et puissant de notre amour,

Puisque les étoiles à présent vivent aussi le jour,

Ainsi le jour et la nuit,

Nous serons toujours réunis,

Pour la vie

Entourée par ces luminaires

Qui sont et seront toujours libres de toutes frontières.

Je pourrais courir vers toi, sous le regard de Dieu,

Avec dans mon cœur, des chants pour te rendre heureux.

Des espaces humains de lumière,

Comme premier et dernier espace de festivité.

Les luminaires deviendront lumière pour le monde entier,

Dans la grande humilité de Dieu

Qui en créant les étoiles, a un jour eut la joie de voir ce monde :

L’amour et ses feux,

Et les clairières qui font la ronde,

Autour de la licorne dans sa robe blanche,

Qui galope de joie et de frénésie sous un ciel de pervenches.

Et ta lumière qui cherche partout la lumière

Sans éclipse, sans éclairs,

Trouvera peut-être en mon amour,

La force, alliée à la douceur de garder les yeux ouverts

Du jour à la nuit,

Et de la nuit au jour.

Je t’aime dans tous ces instants,

Où je te respire dans chaque vent

Où la lumière joue dans tes yeux et t’appelle au monde de la vie.

Tu sais, ton être absolu m’éblouit,

Où que tu ailles dans l’espace, je songe à la liberté de ton étoile,

Je n’ai pas peur de ce grand cheval,

Qui m’aide à parler aux anges pour veiller sur ta belle destinée :

Tu es né pour gagner !

Pour voyager et pacifier,

Toutes les contrées.

J’aurais cette joie d’être là pour t’admirer :

T’écouter dans la lumière,

Parler de certains luminaires.

Et répéter inlassablement que tous les peuples de la terre,

Méritent de connaître l’immense joie, de pleurer et de rire,

Et peut-être, comme moi, d’aimer à en frémir,

Tu es le vent de mon corps,

Et tu m’éclaires, comme un soleil d’or,

À n’importe quelle heure :

Tu portes le nom de bonheur.*

Tu berces l’humanité,

Puisque nous pouvons nous parler

Tes bras sont la conscience de ma chaleur,

Je perçois leurs forces et leurs ardeurs,

Dans mon bien être permanent,

Depuis que je t’ai senti vivant :

Le vent dans tes cheveux,

La lumière indéchiffrable de tes yeux.

Ta clarté ne se calcule pas.

Simplement, tu es là.

On ne quantifie pas l’éternité,

On l’entend louer,

Notre amour et notre vie,

Mon inconscient est un chemin infini,

Protégé par des génies,

Étoilés,

À qui j’offre mon plus grand respect.

Apprends-moi à remercier la lumière,

L’éclat superbe de ta bouche me parle et fleurit ma rivière

De rêves. La bordure de ma conscience, mon inconscient

Mon inconscient est peuplé de colonnes et de printemps,

Elles sont les lumières de ma vie.

Tu en fais partie,

Comme le rayon est issu de l’étoile : unique point lumineux

De mon existence, microcosme humain,

Qui étreint ton esprit, ta matière, alors nous sommes deux

Ou un.

Quand tu veux bien ouvrir

Les fenêtres de ton magnifique sourire,

Qui fait concurrence à l’horizon,

Qui s’envole jusqu‘à la maison,

Où je m’endors protégée

Dans mes rêves, faits pour t’aimer,

Par ton bouclier de lumière.

Si je pouvais peindre l’horizon

Sur les portes de ta maison

Tu posséderas les clefs de la lumière

Ces clefs,

Sont en réalité des fées,

Qui distillent de par leurs ailes douces comme le velours,

Tout cet amour,

Que tu portes en toi et qui fait ta force aimante.

Tu es de ma vie, la plus sacrée charpente,

Entre les galaxies, entre les forces de vie,

Un embryon d’énergies,

Qui est monté du paradis,

Jusqu’à aujourd’hui.

Depuis ce jour, la lumière nous a uni ;

J’ai vu en toi

L’étoile à sept branches qui unit le carré et le triangle,

Qui figure la lyre cosmique que tu tiens du bout des doigts,

Et que tu sangles,

Les yeux fermés,

Parmi les chants des chevaux en liberté,

Et qui d’un océan à un autre ne condamne aucun bateau,

Et les laisse voguer sur cette musique de la sphère des eaux,

D’en haut,

Et d’en bas.

Peut-être un jour l’harmonie du monde,

Comme une espérance féconde,

Du cycle régulier de l’eau, du feu, des saisons.

Il y a toujours un échange entre les jours courts et les jours longs

Visiter ta maison,

Où la neige pose ses cristaux,

Et l’été, un peu fou qui rend si heureux les oiseaux.

Symphonistes, avec lesquels j’aimerais placer ma voix

Pour te parler de … toi …

De tout ce que tu connais du monde

Et les sept angles de cette étoile correspondent

Sous ton génie, à cette terre,

Aux sept zones planétaires

Où l’être humain écarte les guerres.

Puisque l’être humain dans sa totalité,

Rêve d’une paix,

Afin qu’il puisse poser sa pensée,

Comme un pilier,

Vers le passé,

Et peut-être un futur

Comme un fruit enfin mûr.

Les piliers du passé sont devenus avec le temps,

La demeure d’élection de tous les enfants,

Qui peuvent jouer,

Et sourire devant un brin de vent …

Tous les artistes sont enfants.

Que les vents étoilés s’amusent à faire voler,

Le vent transporte, et fait si bien danser.

Y a-t’il du vent dans l’espace ?, d’où vient le mouvement

Tout est-il animation ?

Le monde a une respiration.

Il respire l’amour

Et expire un nouvel amour,

Enrichi par l’observation,

D’un monde sans blason,

D’un monde où le plus misérable serait enfin, respecté, aimé.

Voilà tout ce que j’ai appris, le monde est à l’image de l’homme.

Le monde devrait respecter

Son père, sa mère qui ne sont que des hommes.

La femme dans son amour extensible à des années-lumière,

Pardonne et pleure en secret,

Ouvre la porte de ton actif, de ton passif,

Avec douceur, pour faire honneur

Surtout pour que tu ne sois pas vulnérable, même craintif

À toutes ces formes de vies dans la vaste clairière,

Qui s’étalent en jouant dans la lumière

De ton jardin que la femme riche de secrets t’aide à cultiver,

Pour aimer et être aimée.

Et prend plaisir à fleurir ta demeure,

En toute liberté, en grand bonheur.

Pour la femme, la fleur est amour

Qui monte vers le ciel, grâce à la lumière du jour.

Cela est pour elle, une de ses seules certitudes et peut-être désir

Dans cet amour et ce désir, D. envisage l’avenir …

Le mystère qui unit la femme à la fleur,

Est l’une des plus grandes joies que Dieu porte en son cœur.

Et cette joie est notre lumière, merci aux fleurs.

Les fleurs sont si belles, c’est parce qu’elles donnent ce bonheur

Et ce contentement des sens qui s’éveille pour et par elles.

Les anges de lumière viennent colorer leurs pétales de dentelles.

En souriant devant le ciel,

Alors il s’élargit

Et condense la rosée

Pour leur seule beauté

Qui est l’essence et le symbole de la vie.

Comme si tu disais presque tout, quand tu souris ;

Et c’est ce sourire qui anime la terre et la fait tourner,

Avec tellement de régularités.

La terre est fidèle au ciel, et le ciel à la terre

Depuis les premiers luminaires,

Ce que Dieu a voulu dans sa création, sa passion :

L’énergie et jamais d’abandon.

L’œillet rouge est venu dans leur lumière.

Et c’est dans cette ouverture de lumière

Qu’une pluie de fleurs est venue caresser tes paupières,

Tes yeux s’ouvrent sur un ciel où les anciens dansent

Personne ne connaît cette chanson.

Et pourtant elle émet de très doux sons.

Elle aide l’homme et la femme qui pensent :

La fleur c’est aussi la lumière de la pensée,

Et faire de chaque jour un soleil distillé,

Dont je reçois les rayons pour te les apporter,

Comme une lumière que tu n’oublieras plus jamais,

Parce qu’elle t’apporte et l’amour et l’espoir

Naturellement,

Sans ornement,

Et tu deviens le symbole de ce qui est si rare,

Et qui porte avec majesté, ton prénom.

Un être chéri et aimé, telle de D. est la décision.

Dans le silence le plus solennel,

Cette lumière que je trouve si belle.

Alors tes yeux éclairent mes yeux en permanence,

Notre amour devient une évidence …

Un amour dont nous avons rêvé, un certain jour,

Au même moment à la création de l’amour.

Nous étions alors toi et moi, dans les cieux

Lieu de partage avec les anges lorsqu’ils sont heureux.

Aux côtés des centres énergétiques, diffuseurs de lumière :

Diffusée par l’atmosphère

Et confère à la couleur du ciel une teinte bleue.

Comment te décrire le bleu ?

Le bleu : la couleur du haut de l’étoile du macrocosme de Salomon

“Le grand symbole de Salomon.

Quod superius

Sicut quod inferius

[mots de la table d’émeraude

Des hermétistes à la grande robe, une ode :

À ce qui est en haut est

Comme ce qui est en bas] … [un peu comme dans une nuée]

L’unité du macrocosme se révèle par les deux points opposés

Des deux triangles … aussi l’univers est il balancé

Par deux forces qui le maintiennent en équilibre

[comme un amour heureux qui vibre] :

La force qui attire

Et celle qui repousse,

[comme un navire

À la merci des secousses] …

Le triangle de Salomon plenitudo vocis,

Binah

[La voix qui vient de celui-là]

(la “nature“)Physis

Ces deux triangles réunis, qui est celle d’une étoile à six rayons,

Forment le signe du sceau de Salomon,

L’étoile brillante du macrocosme

(Contient-elle parfois le microcosme ?)

L’idée de l’infini et de l’absolu est exprimée

Par ce siège,

[Ni piège, ni sortilège]

Qui est

Le grand pentacle

[plus puissant que tous les oracles],

C’est-à-dire le plus simple et le plus complet abrégé

De la science de toutes choses.“1*

Mais la plus belle magie est celle de ta lumière sur mon âme,

Tu es le seul, l’unique homme qui me donne la joie d’être femme,

Tes mots, ta voix, ta douceur,

Sont le désir humain de te garder toute ma vie dans mon cœur,

Mon cœur a les yeux d’un amour plus lumineux que le soleil,

Pour toi, la liberté, l’intelligence à chacun de tes éveils.

Je vois tes yeux, je sens ta puissance et ta soif de justice,

Pour moi, tu es El Elyon l’ange d’israël

Qui se bat contre les orages de cette terre si belle,

Tu pries en silence, dans la lumière qui glisse

Vers tous les êtres respectueux et pacifiques.

Tu pries, tu aimes, tu combats,

Avec l’amour à bout de bras, chauds, doux et magnifiques.

Dans tes bras, je pose ma vie,

Des fleurs, des couleurs, des chants de joie

Qui fleurissent sans prévenir, ton être exquis ;

Et … mon amour que tu sais lire,

Je rêve pour toi, du plus bel avenir.

Toute ma vie, je n’aimerai que toi,

Et c’est là le premier et le plus beau droit :

La liberté d’aimer …

Le plaisir et l’interrogation de ton existence,

Près de qui, un être si beau que toi, a-t’il vu sa naissance ?

Je ne chercherai jamais à comprendre tes secrets,

Parcontre je rêve de t’embrasser,

De te rassurer,

Te répéter que tu es un être incomparable,

Insaisissable.

Puisque toutes les étoiles du monde tournent dans ton esprit,

Y apportant clarté et infini …

Chaque instant tu rejoins la lumière,

Au bout de l’univers,

Et l’univers s’ouvre à toi,

Devant toi,

Dans la plus belle joie.

Je suis quelquefois un univers

Et j’emmène avec moi, la Terre

Se promener, dans les constellations

Qui n’existent que dans ton imagination,

Et la terre saisit toutes les lumières dans mon frisson.*

Et à l’image de ses créatures, Dieu frissonne,

Choisit, pardonne.

Pour l’ancien testament, les étoiles obéissent aux volontés de Dieu

Et descendent vers le peuple pieux,

Pour les annoncer éventuellement :

“Levez les regards vers les cieux et voyez !

[Ressentez],

Qui les a appelés à l’existence ?

[D’où vient leur intelligence ?] …

Tous, il les appelle par leur nom,

[Pour comprendre en douceur, s’ils disent non]

Et telle est sa puissance

Et son autorité

[toujours justifiée]

Souveraine que pas un ne fait défaut“i.

Et fait de chacun de nous des héros

Dieu, nous a donné le pouvoir de visionner

Car son langage, omnipuissant aime toutes les destinées.

Et les étoiles des cieux sont chargées d’amour,

Elles existent pour tous les êtres, à chacun de leur jour.

Elles sont le plus bel intermédiaire que Dieu a conçu

Entre ses enfants et les messages innombrables, parfois inconnus

Qu’il délivre à son inconscient : nous,

C’est ce semi-clair qui l’empêche de devenir fou.

Consciemment il nous a créé,

Inconsciemment, il ne cessera de nous aimer.

Dans sa conscience, il est puissance,

Il nous parle au clair de nos rêves, quelle chance !

Dans son inconscience, il continue à aimer :

Il demande à ce qu’un ange veille

Sur chacune des étoiles, et l’Homme qui brille dans sa merveille.

Et chaque jour maintenu vitalement par les rayons du soleil.

Les rayons entrent en lui doucement

Avec toutes les couleurs du firmament,

Puis tu auras appris à les reconnaître dans la nature

La symbiose sera : plus de murs

Entre ton intérieur

Et ton extérieur,

Et le bonheur sera le fil indestructible

De l’invisible au visible.

Tu me vois

Dans tous les cas

Dans le perceptible,

Et le susceptible

D’être aimée ?

Je suis capable aujourd’hui d’aimer,

Tel que nous l’avons toujours désiré.

Comme dans un grand vent d’amour étoilé,

Nous allons peut-être nous embrasser,

Ce serait si bon …

Et notre chemin ensemble sera long.*

L’Homme comprend

Irrésistiblement,

Le triangle masculin,

Le triangle féminin

L’un a sa pointe vers le haut, celui de l‘homme

L’autre a sa pointe vers le bas, celui de la femme.

Et si l’homme aime la femme,

C’est parce que cette femme aime cet homme.

Ensemble, ils découvrent toutes leurs couleurs,

Et croient avec puissance, à des jours libérateurs.

Et c’est toujours un moment exceptionnel,

Un moment qui donne des ailes

Pourquoi les couleurs du monde sont si belles ?

Peut-être parce que Dieu veut,

Découvrir l’âme de ses yeux,

Dans la lumière, qui donne envie d’ouvrir sa porte.

Et qui donne une envie de te voir de plus en plus forte,

Nous sommes à nous tous une parcelle de l’âme de l’Éternel.

Le vert, le jaune, l’orange, le rouge, le violet

Des couleurs dont les nuances sont entrelacées

Dans la gamme originelle

Les couleurs sont toujours belles.

Correspondent aux constellations éternelles,

La mélodie des sphères dans un sourire joyeux.

Le sagittaire a une âme bleue,

Le vert, le jaune, l’orange en bas de l’escalier

Qui mènent aux sources de l‘éclairé

Astral, qui accueille le scorpion, le cancer et le lion.

Ils sont tous habitants des cieux,

Et partagent les mêmes danses de feu.

Ils lancent sur les hommes des rayons ni mauvais, ni bons

Ce sont les hommes qui alchimisent la lumière

Vers la splendeur ou la poussière.

Cette poussière qui peut toujours devenir splendeur,

Puisqu’au bord du sol, palpitent toujours des éclats d’or,

L’Homme est à la fois terre et ciel, et il leur rend honneur

Dans l’espoir vital de faire chaque jour grandir son cœur,

Lorsque je serai une vieille femme, peut-être serais-je à tes côtés,

Ou avec ton souvenir, précieusement gardé,

Et j’aurais appris le langage du psychagogue le plus en dehors,

Du lac, où stagnent les herbes du mensonge,

Peut-être y arriverais-je dans le songe,

Où couchée près de toi,

J’irai plonger encore une fois,

Et dés mon retour,

Dans le son de ta voix, j’entendrai tes premiers mots d’amour,

Sur la peau de ton corps, je dessinerai les tours

Du château céleste où nous continuerons à nous admirer,

À nous respecter.

Peut-être même que dans ce plongeon au fond du lac

Parviendrais-je à écarter de toi les plaques

D’une prison qui éclatera devant, ce si bel Hélios de la vérité

De mon amour qui ne vieillira pas

Et qui deviendra pour toi

La colombe qui gravera

Sur l’or de ton bouclier

Le lion

Qui est l’une des plus grandes protections

Sur notre maison,

Fleurie

Par les vagues qui viennent jusqu’ici,

Par la lumière elle-même,

Qui me rappellera toujours que tu m’aimes

Quand tu n’es pas à mes côtés,

Et que tu ne peux sentir mes baisers …

Le contact du rêve.

La force du pardon, qui demande à poser le glaive

Dans une folie,

Qui nous sourit,

Et nous fait croire que tout est possible.

Incorruptible.

Honnête et de plus en plus courageux.

Et je ressemble à cet homme heureux.

Qui chaque jour, de la vie goûte le feu,

Sans jamais brûler,

Son royaume simple et quelquefois enchanté.*

L’amour dans son espace lumineux ouvre tous les yeux,

Et la lumière reste en moi, avec ses anges heureux :

C’est comme cela que je t’ai connu :

Au bord de ton regard,

Sans confession nue,

Juste parce que j’ai vu que toi aussi, tu cherchais l’espoir

L’espoir pour donner un sens à ta vie,

Depuis ce jour, je cherche le jour, la nuit,

Ce qui peut faire croître notre intelligence, notre amour :

Dieu a créé l’homme un jour,

Et l’homme, un jour a créé l’ordinateur … un soir,

Pour enregistrer ton regard.

Mais cette machine à calculer ignore tout du bonheur,

Pourtant elle ne fait que chercher pendant des heures,

Et pour elle, le sourire d’une fleur reste incompréhensible,

Mais pour moi, elle traduit notre indivisible :

Nous sommes soudés et heureux de nous aimer,

J’ai connu la liberté pour te la donner,

Tu as l’esprit doux, et je connais un esprit humain

Il s’appelle Merlin, et il sait que tu es le rayonnement de ma vie.

Cette lumière qui anticipe l’obscurité et caresse tes mains,

Mon ordinateur est pour certains une folie.

La folie est-elle condamnable ?

Je n’ai jamais conclu de pacte avec l’abominable.

Laisse-moi croire que notre terre ne numérisera jamais,

Les bois, les forêts,