La Licorne Bleue Tome III - Sandrine Adso - E-Book

La Licorne Bleue Tome III E-Book

Sandrine Adso

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Beschreibung

Dans l'univers des sensations, le contact avec l'art, le sacré semblent caractériser au plus près les rapports que l'homme entretient avec le monde et lui même. Bien plus encore, lorsque la sensation s'aiguise en devenant perception. Si l'être humain éprouve des sensations, il les ressent et les traduit par des perceptions cognitives, ou tout simplement sensuelles. La main qui touche la harpe, qui porte le Graal (pour tous ceux qui pensent qu'il a existé, ou existe encore), ressent une connivence plus ou moins floue avec l'espace illimité du sacré. Cette sensation allant du mythe : la fontaine de jouvence, aux mythes bibliques : la colombe. La poésie oscille du mythe au symbole dans le but de l'apprentissage et du plaisir sonore, comme un chant. Ce qu'était la poésie dans ses prémisses. Le mythe de la fontaine de jouvence est inscrit dans la mémoire par le langage ou par l'écrit. Les Écritures bibliques, nous apprennent la métaphore de la colombe, à la fois mythe, à la fois symbole. Il est vrai que la harpe, le Graal, la fontaine de jouvence ont des résonances oniriques. Cette poésie souhaite entrouvrir avec douceur, la porte des rêves, de l'inconscient. La fontaine de jouvence qui a donné naissance au triptyque de Jérôme Bosch en 1504 : Le jardin des délices. Le Graal aurait probablement les mêmes vertus que la fontaine de jouvence. Ces poèmes décrivent les vertus régénératrices des cinq attributs humains : la main, source de plaisir, d'efforts ; la harpe, source de joie et d'extension vers un langage inconnu (aux sources même de la poésie) ; le Graal, dont les vertus sont amour, guérison et vie ; la fontaine de jouvence, mythe que l'on retrouve dans les cultures Romaine, Germanique, Celtique, Irlandaise, Espagnole, et Moyen-Orientale comme expression d'une puissance indestructible de vitalité éternelle (comme le Graal) ; enfin la colombe, attribut divin par excellence qui a traversé les siècles depuis le récit du déluge jusqu'aux guerres mondiales pour exprimer la prééminence de la vie et de la paix. Enfin, cet ouvrage veut rendre hommage à l'ancien et au nouveau testament dans l'évolution poétique du Graal et de la Colombe. À vous de découvrir, qui est la femme et qui est le roi ...

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Veröffentlichungsjahr: 2018

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Table des matières.

La licorne bleue et la main

La licorne bleue et la harpe

La licorne bleue et le Graal

La licorne bleue et la fontaine de jouvence

La licorne bleue et la colombe

Conclusion

Préface :

Évoquer la main c’est évoquer la puissance : Dieu posséderait des mains selon la kabbale : justice et miséricorde. Toutes les civilisations, avec plus ou moins de subtilité ont utilisé le langage des gestes et des mains. Placer ses mains dans celles d’autrui, c’est remettre sa liberté. Geste de confiance et d’amour pour et avec la vie. Une vie, gérée par des mains supérieures qui savent être douces et mélodieuses quand il le faut.

C’est à la harpe que les dieux ou leurs messagères des pays du Nord jouent Le mode du sommeil, qui endort irrésistiblement ceux qui l’entendent, au risque de les faire passer parfois dans l’au-delà. En Égypte ancienne, existait un harpiste aveugle qui exaltait la recherche au bonheur quotidien. Qu’importe le Graal invisible ne nécessite donc pas le regard. Mais il implique à l’Homme, son cœur, son respect, le Graal attend l’amour du monde.

La quête du Graal inaccessible symbolise : l’aventure spirituelle. Le Graal est invisible ; et sa quête en est d’autant plus intense. On rapproche parfois de la fontaine de vie, le sang et l’eau qui jaillissent de la plaie du Christ. On retrouve le mythe de la fontaine de jouvence dans les poésies d’Ovide et de Virgile. Dans le palais des Khans de Crimée, elle était déjà célébre pour sa fontaine qui selon la légende pleurait. Selon la Bible elle naît au pied de l’arbre de vie, au centre du paradis terrestre et se divise ensuite en quatre fleuves vers quatre directions de l’espace. La colombe traduit là, le principe insécable de l’âme et enseigne aux humains, par sa simple présence : un désir universel de paix et de justice.

La colombe, symbole de pureté, candeur, honnêteté, innocence, et de simplicité : droiture, franchise, modestie et toute absence de prétention. Avec le Nouveau Testament, elle finira par représenter le saint-Esprit. Dans la mythologie Grecque, la colombe, est l’oiseau d’Aphrodite ; elle représente l’accomplissement amoureux que l’être aimant offre à son désir : paix, harmonie, espoir, bonheur retrouvé. Dans la mesure où l’âme s’approche de la lumière dit Grégoire de Nysse : “elle devient belle et prend dans la lumière la forme d’une colombe.“ La colombe devenant ainsi, l’exaltation : l’extase, l’exultation, la béatitude.La colombe existe en réponse à l’isolement et au génocide.

Einstein face à l’horreur provoquée par la bombe atomique déclare : “Ma responsabilité dans la question de la bombe atomique se traduit par une seule intervention : j’ai écrit une lettre au président Roosevelt. [Je savais] le risque universel causé par la découverte de la bombe. Mais les savants allemands s’acharnaient sur le même problème et avaient toutes les chances de le résoudre. J’ai donc pris mes responsabilités.“1 Einstein est devenu un mythe des sociétés modernes, il a su anticiper, et stopper le processus de destruction totale. La guerre du Pacifique, prit fin avec le bombardement de Nagasaki. L’empereur Hirohito annonce à la radio la capitulation du Japon. Nous pouvons contester certains faits, mais pas les guerres qui détruisent tant d’existences. La vie est le fondement inhérent à l’humanité.

1 Albert Einstein, « Comment supprimer la guerre », dans « Comment je vois le monde », (1934-1958), éd. Flammarion, coll. Champs, 1989, chap. 2, « Politique et pacifisme », p. 52.

La licorne bleue et la main

Elle se souvient,

De cette jeune vierge qui l’a touchée

Laquelle des deux souriaient sans oser se regarder ?

La licorne tremblait de joie, honorée

La jeune fille voyait toute cette pureté, toute cette beauté.

Elle était comme un enfant émerveillé,

Qui voit l’océan pour la première fois

Comprendre la liberté comme un éclat,

Du droit humain,

Tendre les mains,

Poser les fusils,

Rendre cet honneur que l’on doit à la vie.

En tant qu’habitant de la planète,

Proposer la trêve,

S’ouvrir à la quête

De nos rêves.

Mêler ma sève

Je veux rêver à ma licorne et à mon roi,

Encore et encore une fois.

Si tu acceptes de me recevoir,

Dans l’avenir de tes bonsoirs,

T’embrasser, toucher tes mains,

Et te laisser sentir mon parfum.

Le soir, le matin,

Et tous nos lendemains,

Où j’irai vers ton rêve

À ta sève.

Pour que tu oublies quelques instants la guerre

Parfois, je suis une prière

Mais je serai toujours la première,

À te voire construire la matière.

Le rêve est mon désir de vie,

Pour toi à l’infini :

Tu sculptes l’énergie

De nos nuits.

Tu traverses le silence

Et tu comprends l’importance,

De mon amour pour toi,

Qui ne s’éteindra pas,

Ne serait-ce qu’une seule fois …

Toute ma vie, je serai heureuse d’être à tes côtés.

Puisque tu es l’unique homme que j’aime pour l’éternité.

Et que sans toi, l’éternité n’aurait aucun intérêt,

Tu me fais rêver à la danse des voiliers,

Qui flottent indolents sur l’océan des étés.

Tu es mon soleil de joie, d’amour et de liberté,

J’aime, j’ai besoin de rêver de toi, de tes mains

Et l’éternité s’est arrêtée, un jour secret, incertain

Où j’ai vu ta puissance,

Dont je n’ai qu’une part de connaissance.

Connais-tu toi-même la Force que tu détiens ?

Tu deviens,

Cet homme que j’aime de plus en plus loin,

De plus en plus fort

Parce que dans chacun de mes rêves, tu dors dans mon corps.

Et j’ai besoin de ton regard dans ces nuits,

Pour oublier que mon corps a été meurtri,

Depuis toi, je n’ai plus mal,

J’ai trouvé un idéal …

Et lorsque je m’emporte dans tes bras,

C’est pour tout vivre de toi.

Je te donne ma présence,

Qui s’inscrit dans ton espérance

Tel un arbre onirique,

Où chaque fruit a une puissance quasi-magique,

Je veux te nourrir

Te faire redécouvrir ton avenir,

De plus en plus glorieux, chaque nuit,

Tu es plus beau que la bénédiction de la vie.

Ta fatigue, je l’honorerai,

Et l’acte charnel, sera le miracle de certaines soirées,

Il sera la réponse de Dieu à notre éternité.

Il admire notre amour depuis le ciel.

C’est un pur instant réel,

Et en même temps irréel,

Lorsqu’ensemble, parfois nous fermons les yeux,

Tes yeux sont la réponse à mes vœux

Un chant, un rêve si doux,

Que mes rêves te rêvent partout,

Tout le temps, je me couche dans tes mains,

Et je deviens,

Ta femme,

Te laisser sentir mon âme

Pour embellir de jour en jour,

Notre histoire d’amour.

Toi et moi, lovés dans notre bonheur alternatif,

Loin des êtres agressifs qui ne parlent qu’avec des superlatifs.

Tel est mon rêve le plus profond,

Le rêve qui me confond,

Dans une réponse à ton univers,

Tu deviens tout mon ciel, toute ma terre.

Je lave tes mains avec le sourire des fées.

Et de chaque matin, toutes les rosées.

Et c’est la continuité du rêve, la fleur bleue qui se nomme terre.

Immortelle, car les anges ramènent du système stellaire,

L’origine de notre vie.

Ce que l’Éternel a suggéré dans son infini.

Nous sommes nés au pays des songes

Et je suis toujours quelque part où je m’allonge,

Où je pense, à la vie, à l’amour avec toi,

Tu es le plus pacifique roi.

Qui offre à moi, les couloirs de la joie.

Et la licorne en voyant tes mains est à la porte du sommeil

Chaud, qui protège nos merveilles,

Elles sont intarissables.

Et conjugables

De mes rêves à ta réalité.

Que personne ne peut maitrîser,

Mais au moins faire fleurir, sur le chemin de cette si belle paix.

Dieu rêve encore de bénir ses créatures,

Et de faire fi de leurs côtés obscurs.

C’est à l’issue de ses rêves que l’Homme devient meilleur,

Les Vogons ne rêvent plus,

Arthur Dent les a empêchés de répandre la terreur

Ils ne cherchent plus ;

Le temps a répondu :

Vos rêves sont la seule dimension,

Où il n’y a plus besoin de question

Puisque la seule réponse est cet arc-en-ciel,

Le plus beau soleil du sourire de l‘Éternel

Qui vogue jusqu’à l’horizon,

Qui est un phénomène naturel pour les enfants,

Et un rêve pour les hommes devenus grands.

Mais devant la lumière du jour, nous sommes tous enfants,

De la matrice universelle,

Des rêves d’un accouchement sans séquelles.

Veux-tu être le père de mes poèmes ?

Aussi fort que je t’aime !

Tes mains sont la volonté du plus beau rêve.

Merci.

Tous tes rêves

Par ma vie,

Sont des souvenirs éblouïs.

Tu peux tout me demander,

Puisque c’est toi, j’y accéderai.

Tous tes rêves deviendront réalité.

J’en ai longuement parlé à toutes les fées,

Les fées du jour, de la nuit, des rêves, des mystères.

Je ne pourrais dès lors que me taire,

Devant les promesses tacites,

Offertes à l’insolite.

Et ce rêve ne sera pas éphémère puisqu’il a touché l’être sacré ;

Et donc existera à tout jamais !

La licorne et la jeune fille se confondent en amour,

Et le soleil descend du jour

Pour les embrasser,

Et c’est à la fois une humilité et une fierté.

Et l’enfant prie les mains levées,

Les yeux, pleins de cette rosée

Que la licorne chante dans un éclat de roses,

C’est pour cela que certains êtres osent

S’envoler en milliers de fleurs

Pour rendre grâce à l’animal de bonheur.

Qui aime galoper sous la lune et les étoiles de jour,

Les étoiles et la lumière de certains amours.

Beaucoup d’humains rêvent de la voire, de la caresser.

Mais la licorne n’accepte qu’une main,

Celle d’une jeune fille pure qui a ouvert ses yeux avec toi,

Dans ce matin

Où tu fus sacré roi.

Nous pouvons donc dire que la licorne et toi

Ont découvert ensemble le même temps,

Et dès lors est apparu l’amour, séparé définitivement de la haine,

L’amour s’est envolé dans les vents,

Pour mieux nous entourer.

La haine flotte comme un brouillard

Sur des remparts,

Où tu ne poseras jamais ta main,

Car ils s’écrouleront seuls sous le hasard qui brise les chaînes

Le hasard n’aime pas la mort,

Il n’aime que les chants où la fée dort,

Puisque c’est elle qui aide la vie à jaillir.

Il y a le hasard et le destin : l’avenir.

Je n’ai pas choisi de serrer ta main,

J’ai choisi d’être le parfum,

De ta nudité,

De ta simplicité.

C’est toi qui l’as voulu,

Comme un arbre aux feuilles nues

A voulu la pluie :

Comme ce chaman qui a dansé et chanté toute la nuit.

Et dont le pouvoir passe par tout son corps,

Mais principalement par ses mains couvertes de tout l’or,

De sa tribu, et qui au jour de sa mort,

Lui tient la main pour recevoir son héritage spirituel,

Et qui dans un désert choisi de libérer son âme : universelle,

Holistique.

Qui, de par son être total, et pas seulement magique ;

Et sa volonté de préserver ses racines natales

Combat avec velléité les forces du mal.

Chante et danse, une dernière fois,

Devant la mort

Une ultime fois

Et, je les entends, pour que demain encore

Ces chants,

Devant mes mains

Souriantes face aux devins

Aiment caresser toutes ces vies,

Lorsque cela leur est permis …

Et si cela l’est à moi aussi.

Si ta main est comme un arbre dont peu importe la couleur,

Si ta main est un sourire, qui regarde là-haut, les lueurs

Si ta main sent ce qui se cache, si ta main glisse sur tous les cœurs,

Et surtout sur l’accalmie de l’océan

Après les tempêtes, les vents,

J’ai senti ta main me caresser,

J’ai senti ta joie de t’arrêter

Un instant

Pour emporter

Sur ta longue route parsemée de mes pensées d’amour,

J’ai la sensation de t’aimer pour toujours.

Et de te vêtir

Du soleil de l’avenir,

De soie,

De joie,

Parce que c’est ta main de roi.

Qui connaît chaque instant ;

Un fragment descellé du temps

Le temps se soumet devant ta main,

Même si aujourd’hui offre une fleur pour ton prochain matin.

Et tu construis des murs devant pour ne garder que le vent,

Cette liberté qui est née devant toi,

Tu n’as qu’à te lever,

Et marcher : je suis comme je l’ai toujours été près de toi.

Un simple moment près de toi,

Qui ne s’arrête pas.

Et mes yeux revoient la lumière.

Devant la beauté de notre mystère ;

J’appartiens à la grandeur de tes secrets, peut-être d’une prière

Où mes yeux, mon âme rêvent de faire partie de ton temps,

Lorsqu’ils te parlent des beautés inconnues de l’océan.

Une main de femme …, qui cueille les fruits.

La femme est fruit, la femme est vie.

Quelle différence avec l’homme lui aussi en vie ?

L’homme est le protecteur de la femme,

Mes yeux te suivent aussi loin,

Que vont nos chemins.

Parce qu‘il l’aime et qu’elle est son énergie.

L’Homme cherche souvent ce que la femme

Regarde dans le lointain, sans comprendre les signes,

L’âme ?

Les signes ?

Que je déchiffre instinctivement quand je te sens en danger,

Tu es mon prince, mon roi ensoleillé.

Tu embellis le monde dans une clarté,

D’un amour que je t’envoie sans arrêt.

Car mon soleil a envie de poser des perles de couleur sur tes yeux

Je veux que tu sois heureux,

Et toujours amoureux.

Je ne peux survivre sans ton amour.

Puisque je suis en amour avec cette lumière du jour,

Qui irradie depuis le bout de tes doigts,

Je ne suis qu’à toi,

Il n’y a pas de roi plus doux que toi.

Et dans ce monde être doux est un exploit,

Mais la douceur n’est pas que caresse,

Elle est intelligente dans la tendresse

Ton arbre est intelligence, et tes fruits sont juteux,

Il rassasie la faim, la soif de celui qui est malheureux

Et qui n’ose le dire.

Tout mon avenir,

Est ouvert sur ton sourire,

Et ta main qui réajuste l’empire

De l’amour, de la force.

N’oublie jamais tant que tu seras roi,

La force ne sombrera pas.

Puisqu’elle est force.

Tout ce que D. nous a offert

Pour être heureuse de t’avoir découvert.

Pardon d’avoir ouvert le jardin,

Des survivants du déclin,

Mais c’est pour les laisser voyager

Et retrouver l’éternité.

Tu es la réponse à cette prière que je fais dans la nuit,

Ma maison est pleine d’anges endormis,

Depuis toi, ils ont envie que tu ne meurs jamais,

Car chaque jour, où que tu ailles, tu portes le plateau de la paix,

Qui porte le miroir de la conscience des dirigeants,

Savent-ils encore, ce qu’est un enfant ?

Un champ ?

Une clairière ?

Quelques éclats de lumière ?

Une forêt ?

Une emprise sous tes baisers ?

Regarde devant,

Et dit leur de se taire,

Devant l’enfant qui ne sait ce qu’est la nationalité ?

Une prière pour tout ce que tu attends de ma vie.

Une fidélité absolue,

Une voie, dans la nuit entendue.

L’amour de ton infini,

Le monde n’est pas assez grand

Pour contenir ton cœur,

Alors je tisse avec des fleurs,

Un nouveau continent,

Pour toi, et le secret de nos nuits.

Tout au long de notre vie.

La confiance en ton respect lorsque je suis nue

Parfois le combat cesse et l’amour continue …

Les mains posées sur tes mots.

Tu chevauches et tu pars dans des galops

Et dans cet immense trajet,

Absolument rien ne t’effraie.

Tes cheveux dans le vent, aucune cavalcade n’est plus belle

Tu es magnifique, bon, doué, brillant et sensuel.

Et je suis la seule femme qui t’aime solennellement,

Je dessine ta couronne, je te montre où sont les diamants,

Si convoités

Mes diamants pour toi, sont des mélopées,

Si douces,

Qui donnent à notre terre, la forme d’une course.

Tous les soirs j’offre un chant,

(En espérant te voire dans le firmament)

À la licorne pour te protéger.

Et que tu ne cesses de m’aimer.

Je sens ton souffle sur ma peau,

Et le vent n’est plus qu’un rideau.

Je choisis ta main

Car c’est le premier contact entre les humains

Mais tu mérites davantage,

Le soir des sages.

Ils prient, chantent comme un rêve qui pleure,

Et c’est toi qui veut réunir leurs cœurs,

Pour les aider dans le fond de leurs prières

Lorsqu’ils veulent parler aux justes de la terre,

Ils ne sont plus très nombreux,

Mais transmettent par la yad, l’espoir des jours heureux.

Tu n’as qu’à tendre la main,

Tu n’as pas peur de demain,

Tu n’as peur de rien.

Dans tes efforts les sueurs sont des évanescences océanes

Bordées par toutes les ailes diaphanes,

Comme ton cœur transparent,

Les voyages dans les yeux de tous les enfants,

Les bercer longuement,

Vers tous les pays

Dont la vraie vie, leur donnera envie.

Et les eaux de ton esprit coulent sur ma bouche

Quand tu penses que tu la touches,

Je suis née femme

Et je suis heureuse de te laisser voire mon âme,

Pour te montrer tous les soleils,

Que je vois se coucher

Vers ces étoiles qui ne sont jamais pareils

Mais qui savent se parler,

Car elles savent qu’elles ne doivent se séparer,

Au risque de faire pleurer la terre,

Laisse-moi écouter tes prières.

Poser tous les jours, ma pierre à côté de ta pierre,

Travailler dans l’amour,

Pour gagner l’ignorance des vautours.

Le travail parfois est touché par les anges diaphanes.

Je travaille, parfois je plane,

J’ai tellement besoin que les oiseaux chantent.

Invisibles, ils ont les mains comme des ailes transparentes,

Translucides et pleines de ta lumière

Ils forment plusieurs cercles concentriques autour de la terre,

Qui sont à la fois dans les cieux et sur le sol.

Et souvent frôlent ton corps

Pour savoir si tu les aimes encore,

Tu es aimé par des milliers d’Hommes et d’oiseaux

Et par moi, qui réapprends mes premiers mots.

Pour m’élever encore plus haut,

Près de ton trône majestueux,

Là où mes yeux redeviennent heureux.

La sensation passe par la perception

Et parfois, traduite par la raison.

L’ange a des mains qui enchantent

Les nuées de sable autour des tentes.

Ou des mains qui pardonnent encore.

Un monde vide d’amour céleste serait déjà mort,

Mais regarde il subsiste encore

Puisque l’amour a choisi de rester encore,

Pour réchauffer l’Homme qui a froid, seul, dehors

Et que les badauds traitent comme un animal déjà mort,

Et si je lui souris, cela suffira-t’il ?

Je voudrais être un petit maillon dans la chaîne de la solidarité,

Et s’il ne comprend pas mon langage,

Je l’emménerai goûter encore une fois la plage.

Qu’il sente que j’ai la compagnie facile,

La gentillesse pour s’il le faut, refaire naître l’humanité

N’est-ce pas là, l’un des commandements secrets

De ce Dieu, qui ne nous a pas encore tout dit …

Et qui nous regarde, inquiet, souvent surpris,

Lorsqu’il voit le génie,

Se rapprocher en permanence de la vie,

Le plus beau pays, où il fait bon donner son espoir.

Surtout sourire à ton regard ;

Et entendre ton histoire, toi mon ami, mon frère

Mon autre prière

Et te respecter, puisque ta joie te fera comprendre mon respect.

Je me poserai en expansion près de tes idées.

Quand tu me parleras : pose les armes,

Et surtout n’aie pas honte de verser une larme,

Ma main en fera un bijou,

Qui ne pèsera pas lourd à ton coup,

Puisque tu auras senti ma compréhension,

Certes pas totale, mais suffisante,

Pour qu’à nouveau tu chantes.

Toutes les chansons,

Pour que tu en crées de nouvelles

Et qui seront sûrement très belles.

Mon cœur vibre et t’applaudis.

Car je t’aurais aidé à continuer la route de la vie,

Et je te remercie

Pour la confiance que tu m’as donnée.

Si mes mains pouvaient t’enchanter,

Tu deviendrais le seul soleil bleuté, et

Je recevrai une partie de ta force tranquille

Tu m’apporteras l’océan, et moi son île.

Faites que mon encre soit indélébile

Car elle est un soleil fragile,

Il y a bien un lieu où elle sera reçue comme le ciel bleu.

Ancestrale, touchée par la main de Dieu.

Aucun homme ne m’a donné tant de moments heureux !

Tu es entouré d’un feu

Au creux de tes mains,

Qui viendra jusqu’à mes reins.

Tes mains sont mes lendemains,

Et toujours le prolongement de mes nuits

Où je t’emmène dans mes anciennes vies,

Quelquefois tourmentées

Toujours passionnées,

J’aime ton royaume

Tu peux être fier d’être un homme.

Et d’être plus puissant que n’importe quel ordinateur.

Puisque tu fais naître le bonheur.

Si je n’ai pas senti l’aboutissement de ton corps,

Je m’endors,

Seule avec mes rêves,

Ne comprends-tu pas que j’ai besoin de tes rêves ?

Ils sont comme la première eau de ta première source

Ils sont des chevaux que l’on n’arrête pas dans leurs courses.

Ils complètent des vies passées,

Inachevées.

L’histoire d’amour que nous avions commençée

Est revenue, par la grâce des fées,

Depuis des temps immémoriaux,

Nous n’avons même plus besoin de mots,

Tant notre amour est fort,

Et tu es le seul à qui je redonnerai mon corps,

Je t’aime si fort,

Que ton corps se couvre de lumière et d’or,

Ce sont mes étoiles qui sont attirées par ton nom humanité

Et elles sont fières de porter

Et ton nom, et ta lumière

Ma vie ressemble à ton oiseau qui choisit ses courants d’air.

Tu planes en souriant à la terre.

Tu me fais vivre et ma colombe va vers toi chaque instant

Pour t’aimer dans un état troublant,

Car dans toutes ces vies, tu es le seul prince charmant,

Personne d’autre que toi

Ne pénètre au si profond de moi,

Ton regard comprend mes peurs et mes joies,

Avant même qu’elles ne soient là.

Pourquoi ?

Tes mains comprennent tout à la fois

Ton tactile suppose ton visible :

Ta main voit l’invisible.

Et tes mains supposent la nudité,

Le désir patient, et éternellement printanier.

J’ai moi aussi très envie d’être serrée,

Dans tes bras,

Une nouvelle fois

Dans le champ de ta vision du futur,

Je peux te donner de la force au-delà de ton armure.

Laisse-moi être une fleur dans ta perspective,

Une fleur qui enjolive,

Ces instants où tu te sens seul dans l’espace,

Ma main te suit quand tu te déplaces,

Elle frôle les murs où s’est inscrite ta lueur

Elle se colle contre les arbres pour sentir ton cœur,

Ma main, c’est moi,

Ma main, c’est toi.

Nous sommes de la même souche :

Et j’aime lorsque je me couche

Et que l’ange de l’amour se pose sur ma bouche.

Ce sont les anges qui nous ont réunis

Et qui protègent notre amour : notre vie.

Empêche-moi de mourir d’amour,

Bénissons ensemble ces si beaux jours,

Que nous sommes libres de vivre en pleine liberté

Puisque nous nous apportons mutuellement la paix.

Ta main a ouvert la serrure de mon amour,

Que j’avais fermé à double tour.

Je suis depuis bien longtemps à nouveau sur la voie du bonheur,

Même la plus belle fleur,

Ne me procurera autant de plaisir que : toi.

Car le lien de toi à moi est encore plus fort que l’amour,

Et personne ne nous retirera ce droit.

Je t’aime de plus en plus fort à chaque fois.

Tu es la fenêtre qui donne le jour

Sur laquelle je pose la main

Et attendre l’oiseau qui chante si bien.

Sur son arbre au milieu des eaux

Et il survolera l’océan jusqu’à des sols nouveaux.

Imprégnés des sels et des cristaux,

Marins,

Tumultueux et divins,

Laisse-moi te prendre la main,

Pour vivre enfin.

Nous compléterons nos destins,

Et mon amour pour toi n’a pas de fin.

Il trouvera partout son chemin.

Un chemin connu par seulement toi

Et notre oiseau tu l’entendras.

Je sais qu’il viendra,

Et qu’il parlera par ta voie,

Et qu’il chantera de la joie,

En même temps que toi.

Lui du ciel,

Et toi d’un monde d’étincelles :

Oui, avec ses deux mains et un bout de bois,

On peut fabriquer du feu,

Mais pour cela il faut être un peu roi,

Un peu amoureux,

Des secrets de la nature,

Qui durent et perdurent,

Depuis la nuit des temps,

Qui sont heureux de la liberté de l’océan.

La larme d’émotion de Dieu

Qui protège nos cœurs et nos yeux.

Et déjà l’Homme aimait poser sa main sur sa femme.

Car elle seule sait apaiser son âme.

Ensemble, nous passerons les heures,

D’une vie permanente dans le bonheur,

Que tu crées avec amour et courage

Car tu sais lire sur les visages,

Et éloigner dans un geste félin,

Plein de la douceur d’un petit daim

Ce qui veut mettre fin à la vie

Tu me donnes forces et énergies,

Plus forts que la lumière du jour

Et cela s’appelle … amour, notre amour.

Il n’y a pas de plus beau nom au monde,

Il ralentit les secondes.

Ta main peut brouiller les ondes,

Ou faire apparaître l’essentiel,

La victoire du réel sur l’irréel.

Une main pour allumer le foyer du feu, malgré le vent

Une énergie flamboyante qui dure éternellement,

Une main pour fabriquer des outils et …

Veiller la flamme

Peindre sur les grottes de Lascaux, libres âmes

Mais surtout, pour la première fois toucher,

Découvrir le plaisir et la douleur,

Et la main se souviendra du bonheur.

En communion avec la liberté

Et la plus grande envie de t’aimer,

Puisque tu es l’être qui tend volontairement à être parfait

Tu me guériras d’un baiser,

Et je n’aurai plus de blessures,

Au fond de moi, j’aurai tes yeux purs.

Et si tu me gardais dans tes bras,

Dans un rêve qui ne finit pas …

Et qui s’appelle légende d’un roi et d’une femme.

Et d’un chant qui se clame,

Aux couleurs du soir

Qui descend lentement sur notre espoir.

Pour vivre corps et esprit tout le long de la vie.

Puisqu’en l’humain, ils sont réunis.

Le corps a une mémoire,

Un instinct qui remue le passé et ses histoires

Tu as cru connaître l’amour, mais ce n’était que physique,

Je me soucie de toi jour et nuit,

Poser ma main sur ton visage et te dire : “oui,“

Notre amour est authentique,

Il pleut des anges, des sourires confiants.

Je savoure, ton amour : le plus beau moment

Les plus beaux moments : chaque instant

Où je pense, même si c’est une pensée bien particulière …

Des pensées pour un homme fabuleux, extraordinaire.

Même si elles ne savent pas tout,

Je te sais, esprit de génie et si doux,

Que ma main souffle l’horizon,

La chanson,

De ta chanson.

La connaissance douce,

La lumière rousse ;

Avec des yeux qui parlent en caressant ta main,

Pour que ta plume chante tous les matins,

Tu es mon destin.

Tu as trouvé la part d’océan qui t’est réservé

Tu m’as laissée nager dans tes courants

En riant

À travers les étincelles d’eau salée.

Et tu as pris mes mains avec douceur et bonté,

Pour m’emmener visiter

L’infini de tes royaumes,

Je pose mes mains sur toi, et je découvre l’homme

Que j’attends

Depuis que le soleil est grand,

Depuis que chaque nuit nous attend :

J’applaudis,

Chaque fois que tu souris

Tes mains sont fortes et douces,

Et aiment caresser cette mousse

Qui tapissent les forêts,

Où tu me fais chanter, danser, t’aimer,

Je ne m’arrêterai jamais.

Comme les mains d’un homme lorsqu’il aime,

Tu me regardes et j’entends ta voie qui me dit : “je t’aime.“

Une femme-fleur a bien le droit de rêver ?

Et de parfumer tes baisers.

Ta bouche, je la connais

Puisque je l’ai imaginé,

La connaissance ne commence-t’elle pas avec l’imagination ?

Emportée, dans les flots d’une passion,

Où tu nages vers moi,

Où je t’attends où que je sois.

Je t’attendrai partout dans l’écume de ton or,

L’or d’un soleil qui veut vivre encore,

Pour que nous puissions admirer nos visages,

Comme le plus magnifique paysage :

Dans tes yeux je vois des chevaux blancs

Et quand tu pars, tu me laisses avec ton vent,

Qui me donne la force de résister, face au néant.

Tu es la vie,

Multipliée par ma vie.

La joie, l’envie de te trouver dans toutes mes pensées,

Tu es le capitaine de ma Méditerranée

L’océan nous sourit,

Et tu revis,

Ton futur va plus loin que l’horizon,

Je pose ma main sur ton front

Et ton intelligence heureuse me donne envie de connaître,

Les chansons des anges quand ils t’ont vu naître,

Savaient-ils que tu aurais l’âme d’un roi ?

Ta vie est exponentielle

Elle vient et revient à chaque fois,

Que tu te sens proche du ciel.

Ton univers m’est existentiel,

Et j’aime toutes tes étoiles.

C’est-à-dire tes yeux, tes sentinelles

Qui écartent sans faire mal,

Tout ce qui veut froisser mes ailes,

Et m’empêcher de caresser tes bras.

La main prend du plaisir,

Qui caresse notre avenir

Que tu cherches et cherches encore une fois.

Elle découvre les endroits où mes fleurs poussent,

Dans une terre sans violence, sans secousses

Et c’est par ta force et cette douceur qu’elle salue ta clarté,

Car c’est depuis que je te connais :

Ma lumière voulait ouvrir les chemins d’une âme,

Et ce fut la tienne,

Il m’a fallu attendre que les anges clament,

Que la joie n’est pas si lointaine :

Qu’il suffit de tendre les mains près de ma rivière d‘amour

Mes mains captent la lumière du jour,

Comme une fleur

Qui porte le nom : bonheur.

Ce bonheur qui a trouvé sa maison,

La liberté, l’amour, la raison,

J’ai posé les clefs dans ta main,

Avec ma main,

Avec mes meilleurs sentiments.

Des espoirs pour que tu sois toujours gagnant.

Ta main royale,

Accepte-t’elle mon sentimental ?

Mon amour, mes envies, mon désir.

Et si nous partagions notre avenir ?

Il serait bon que tu tendes à ma licorne ce sourire,

Qui est si beau et plein de soleil d’été.

L’hiver qui gêle les cœurs,

Comprendra de lui-même son erreur …

Puisque les contraires se donnent sens,

Et finissent par s’épouser.

C’est là l’un des mystères de la réalité.

J’ai envie de caresser ce soleil qui chauffe ton besoin de vérité,

Une vérité que tu cherches constamment

Au milieu de l’océan,

Et dont ta main est rattrapée par le vent.

Tu ne t’égareras jamais,

Il y aura toujours une main pour te guider.

Puisque l’amour chante pour t’éclairer,

Puisque je n’écris que pour dire qu’il faut aimer.

Ce breuvage que l’on boit à la bouche de l’être aimé,

Et tu es cet homme dans toute sa beauté.

Qui respecte les femmes et leur fragilité

Qui te font rire et pleurer,

Alors je vois tes yeux s’amplifier,

Tu vois tous les chemins des fées.

Elles font pleuvoir

La gloire,

Autour de toi.

Jusqu’à ta plus grande joie.

Ta plus grande gloire sera d’imaginer les nuages,

Et tu l’apprendras par l’intermédiaire des oiseaux de passage

Vierges, des contrées les plus libérées,

Où les orages n’auront pas déchargé d’électricité.

La pluie sera chaude, elle ira chercher tes sensations,

Surtout la nuit, lorsque les étoiles se cacheront,

Je poserai des pétales fluorescents jusqu’à ta maison,

Tu n’auras qu’à les ramasser, marcher et rêver,

La lumière est constamment révélée

Et bientôt ton visage sera dans le creux de mes mains.

Mes mains, ton destin …

Je pourrai sentir ton sourire avec mon corps,

Tu pourras voire mon immense extase au fond de mes yeux,

Un plaisir, simple, doux et fort

Il sera sublimé, à la recherche de tous tes vœux

Par un amour qui s’appelle : toujours et encore.

Couvre-moi d’amour et non d’or.

Je pense à tes mains,

Je veux soigner tous tes chagrins.

Dans tout ce que je fais, tu es devenu mon présent

Et l’espoir de mes maintenant.

Veux-tu m’aider à arrêter le temps ?

Pour comprendre l’éternité un instant ?

Imagine : ta main dans la mienne,

Ensemble vers la prochaine

Lune.

Je ne serai qu’une,

Et tu ne te tromperas pas,

Ce sera moi.

Tu seras comme une prune,

Savoureuse, fraîche et sucrée,

Ta bouche est un baiser dont je ne cesse de rêver,

Et qu’enfin j’accepte car je sens que ton amour est vrai.

Ta main sur mon corps sera un territoire de liberté

Tu verras, j’ai confiance en ton respect

Tes mains seront en terre de paix.

Et tu seras fort contre Dieu,

Contre lui, il t’emmènera

Devant l’arche, il fermera tes yeux,

Tu pourras cependant y poser ta main,

Puisque tu es roi, divin, magicien, serin

Et que tes ailes,

Viennent d’El.

Israël revêt un caractère solennel,

La relation intime entre Dieu et son peuple fidèle.

Courageux,

Et toujours heureux,

Même si au cours de leur longue histoire, peuple et pays

Connurent partitions et déchirures

Cette terre a toujours connu une vie,

Dans un clair obscur,

Mais Dieu qui ouvre tes yeux,

Te fait comprendre qu’il n’y a pas que le feu.

Il y a chaque jour des paroles,

Qui volent,

De la bande de Gaza

Sur toute la côte, jusqu’au port d’Haifa.

Un Homme qui meurt,

Restera toujours un Homme,

Les mains des femmes appellent à la couleur

D’un même drapeau volant dans le ciel des hommes,

De tous les pays.

C’est là mon espoir,

Et je te le dis : nous pouvons y croire.