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The come back of the unicorn. L'écriture n'a qu'une loi : l'envie d'écrire des mots que tout le monde peut comprendre, (prendre avec). Il s'agit d'un échange entre l'auteur et son lecteur. J'ai écrit cet ouvrage durant une période d'hospitalisation, et tous les matins avant la venue des infirmiers, je prenais avec soin un crayon et une feuille de papier, et je m'envolais loin de l'hôpital pour retrouver mes amis imaginaires. Alors je m'évadais au pays du rêve, et je me retrouvais pour un bref moment dans le monde privilégié de la Licorne, qui chasse rien que par sa présence, la douleur et le mal. Venait sur le papier une quinzaine de licornes qui se couchait au creux de mes bras pour m'apporter un réconfort dans ce lieu, loin des gens que j'aimais. Seule, avec l'espoir de la lumière, et de la guérison à venir. Mon esprit se déployait dans des spirales de tendresse et de douceur, qui n'existent pratiquement pas dans ces lieux. Je pensais à La Licorne dans tous ses états : avec le soleil, dans le Jour, en relation avec l'énergie cosmique, dans la Joie, dans le Salut, sous la voute céleste, couverte de satin, endormie dans les chants, réveillée dans le matin, surtout amoureuse ..., de l'expression de la danse, de son pouvoir, de sa mémoire, de ses rêves, de la découverte de certaines merveilles, la Vie, l'Amour. Enfin, la licorne heureuse que je retrouvais chaque matin.
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Seitenzahl: 39
Veröffentlichungsjahr: 2019
La Licorne évolue dans tous les espaces, elle occupe l’arrière plan des forêts : la partie la plus éloignée de la perception.
Elle peut être éloignée dans le temps, l’espace ou l’intensité, c’est-à-dire le passé, le futur ou l’avenir lointain. La licorne fréquente les terres distantes, les étoiles éloignées.
Elle peut parcourir toutes les distances, toutes les longueurs qui séparent deux points, sans faire intervenir le temps humain. Elle a une connaissance implicite de l’orthodromie (arc de grand cercle passant par deux points). La distance s’entend à vol d’oiseau, et la géodésique devient naturelle. Elle est toujours proche du monde mais invisble, nous ne pouvons que sentir son souffle de vie. Elle est l’amie des poètes parce que le mot et la lumière peuvent jaillir depuis ses sabots sur les pierres et se disperser dans la forêt, l’arrière-plan.
Pour le poète se pose la question de la proximité sémantique, il s‘intègre parfois pour lui deux concepts qui appartiennent à deux hiérarchies distinctes, souvent présents ensemble dans un même univers perceptif. Ou qu’une part importante de leurs relations les unit. Pour le poète, parler de la Licorne dans le lointain, c’est trouver le vol d’oiseau de toutes les distances : l’intensité.
Cependant les notions de proximité et de similarité sont bien distinctes. Il s’agit de la théorie Gestaltiste fondée par trois chercheurs : Kurt Koffka, Wolfgang Köhler et Max Werteimer. Ils ont défini la loi de proximité et la loi de similarité dans l’impact du cerveau.
La Loi de proximité, indique que le cerveau regroupe les éléments qui apparaissent souvent ensemble, qui sont proches dans une même zone perceptive … (les lettres formant un mot).
La Loi de similarité, indique que notre cerveau regroupe les éléments qui paraissent semblables.
Dans l’univers ces Lois se rassemblent autour la joie de retrouvaille, un nouvel épanouissement, l’apparition de bonnes nouvelles … Dans le retour du printemps, le retour de la vie.
Ce que le naturaliste Émile Édouard Charles Antoine Zola (1840-1902) a exprimé dans Le rêve en 1888 à la page 57 : “La poussée des feuilles tendres, la transparence des soirées chaudes, tout le renouveau odorant la terre.“ Le printemps est intrinsèquement : le radoucissement progressif de la nature, la fonte des neiges, le bourgeonnement, la floraison des plantes, le réveil des animaux hibernants, le retour de certains oiseaux migrateurs, l’arrivée du prince-charmant.
C’est surtout l’espace dans lequel la licorne se régénère dans sa proximité et sa similarité avec le rêve de l’Homme qu’elle fleurit sans cesse.
La Licorne et ton soleil
La Licorne et le jour
La Licorne et l’énergie cosmique
Unicorn, la Licorne et le jour
La Licorne qui te salue
La Licorne et la voûte céleste
La Licorne satin
La Licorne et les chants
La Licorne du matin
Poème sans titre
Révélation
Vendredi premier février 2019
La Licorne et la danse
La Licorne bleue et le Pouvoir
La Licorne, amie de Gérard
La Licorne et la nouvelle histoire
La Licorne et les rêves
La Licorne bleue et la merveille
La Licorne et la première
La Licorne et la matinée
La Licorne de la Vie :
Le premier oiseau
La Licorne heureuse
Francis Lai : “Comme une pierre que l’on jette.“
Autorisent une nouvelle merveille :
La lumière du soleil, ne s’éteindra jamais ;
Car il s’agit, de la clarté.
La seule, unique et dernière vérité.
Comme un vent léger qui vient de très très loin,
Aussi doux que tes yeux satins ;
Qui protègent mes jours, mes nuits :
C’est-à-dire la vie,
Qui jour après jour se lève.
C’est le plus beau rêve
Surtout quand il franchit les barrières
De l’imaginaire
D’un sommeil profond … des millénaires.
À penser à Toi, que je n’oublierai jamais !
Tu m’as tout pardonné,
Tandis que moi je t’ai toujours aimé.
Tu es la plus belle étoile de mes nuits
Le soleil qui se couche près de l’horizon, chaque envie !
Dans l’univers entier.
Oui, la lumière est la première identité
De la Vie,
Cette vie que l’Éternel a choisi …
Par hasard,
Entre l’oubli et l’espoir.
Je t’ai connu,
Je t’ai vu,
Volant parmi les nues
Portées par le souffle de l’éternité.
Je ne cesserai de t’aimer …
Au-delà du temps,
Sur tous les océans
Caressés par tous les vents
Que ce soient les alizés, les brises.
Que plus rien ne brise
Jamais notre arche d’alliance.
Ce n’est qu’une question de confiance.
De temps, parmi le temps
Mon temps qui t’appartient
Jusqu’à tous les lendemains.
Nous avons tant de fois mêlés nos destins,
Et pourtant je n’ai connu que tes mains,
Ta voix, ton regard