Erhalten Sie Zugang zu diesem und mehr als 300000 Büchern ab EUR 5,99 monatlich.
Présent dans le texte biblique, il y a plus de deux mille cinq cents ans. Adam signifie humanité. Adam symbolise le premier homme. À l'image de Dieu, comme un chef d'oeuvre est à l'image de l'artiste qui l'a réalisé. Sa primauté est d'ordre moral, naturel et ontologique. L'argile très fine utilisée par Dieu est prise au centre de la terre, sur le mont Sion, considéré comme le nombril du monde. « Tout le temps qu'Adam vécut fut [...] de neuf cents trente ans ; et il mourut. » (Gn, 5.5). Le Midrash propose plusieurs commentaires sur le nom d'Adam : ADAM ED l'Ed siège de la terre, DAM, le sang, siège de l'âme. ADAMA, c'est ADAM MA, l'homme qui pose des questions. Adam donna un nom à chacun des animaux. Adam et Ève fréquentent la caverne des trésors. C'est la relation des vicissitudes d'Adam et de ses descendants, qui finissent par se réfugier avec leurs trésors dans une caverne voisine du Paradis puis au Golgotha. Cette caverne est farouchement gardée par la licorne, symbole de la fusion du bien dans l'univers. Elle est à la source de l'amour que propage l'arbre de vie.
Sie lesen das E-Book in den Legimi-Apps auf:
Seitenzahl: 71
Veröffentlichungsjahr: 2022
Das E-Book (TTS) können Sie hören im Abo „Legimi Premium” in Legimi-Apps auf:
La licorne et Adam
Annexe
La Licorne et Adam sont tous les deux des fondements de la création de l’humanité. En ce sens ils sont sacrés ; issus de la divinité. Ils sont les clefs et les mystères qui se cachent derrière la porte de la vie.
La licorne bleue qui fréquente souvent Les vents, Était là, Ce jour là…
Le jour où elle but au fleuve du jardin, Elle vit, elle effleura sa main, Il s’appellait Adam. Il était né à la fois homme et enfant, Il est le prolongement, Du commencement, Soleil descendu du firmament. Il allait régner Sur le monde créé : “Qu’il domine sur les poissons de la mer, Sur les oiseaux du ciel, [source d’étincelles] Sur le bétail ;“iEt ouvre aux animaux : le portail Et du monde, la terre.
Ce premier lien avec la création fut indispensable à l‘apparition de la terre, Première merveille de sol et de mer Du monde : La naissance du monde.
La licorne bleue galopait à travers ‚‘ylan1 et acacia Faisant danser chacun de ses pas. Le monde était silence et voix, À la fois vide et plein, Des matins, Des joies sans fin.
Le septième jour, la licorne bleue avait Le bonheur, de paraître ici et là, Gravant Dans les yeux d’Adam Une proximité Avec l’union d’Isha2.
Mais il était déjà vivant, Il était là, Présent, il faisait des pas. L’Éternel “fit pénétrer dans ses narines un souffle de vie, Et l’homme devint un être vivant.“iiAdam ne savait pas qui il était… un béni ? En effet, avait-il conscience autre de ce qu’il voyait ? Ce qu’il percevait, La conscience,… ? Étage supérieure de l’inconscience
Dans les deux cas, il s’agit du monde de la formation : La YéTsYRâH3 : pensée et création. Qui évacue tout songe loin de la mort, La licorne bleue… encore, Parmi les arbres aux feuilles d’or Frémissante comme autant de vent Dans la crinière de l’animal ?, plus vivant, Que la vie elle-même, Qui accompagne le suprême, Et nous questionne : D’où vient le vent ? Et nous fredonne D’où vient le premier chant, Du premier oiseau ? Comment fut-il mélodieux ? Pourquoi les oiseaux sont-ils merveilleux ? Pourquoi les oiseaux ont un chant si beau ? Comment est apparue la parole ? La licorne bleue eut probablement un rôle.
Elle sait que le vent Existe depuis bien longtemps, C’est de là qu’elle a offert aux oiseaux le chant, Pour les aider dans leurs envols. Il en est de même pour la parole Écrite, dessinée dans les grottes Orale, celle qu’Adam ne prononça sans faute, Dans le seul but d’aimer, De le dire, de le projetter, Que dit-il à son être d’amour, Avant que le serpent ne joue ses tours.
Quoiqu’il en soit Adam pardonna, Et “L’homme donna pour nom à sa compagne Ève, parce qu’[il signifie] mère de tous les vivants.“iiiAlors, ils travaillèrent et firent des campagnes, Alors, elle s’abandonna Tremblante dans les champs.
L’acte d’aimer ne fut pas interdit, Le ciel du sol devint un pays. Et Adam fut le premier humain à voir, Le monde sans cesser de croire Parce que le monde était splendide Parce que la lumière était limpide. Parce que la licorne bleue était la première compagnie d’Adam, Parce qu’elle ne divisa pas la lumière de l’attachement, De l’homme à la lueur de la correspondance divine. L’Éternel comprit et choisit de protéger les racines : “Ayant chassé l’homme, il posta en avant du jardin D’Éden les chérubins, avec la lame de l’épée flamboyante, Pour garder les abords de l’arbre de vie.“ivAdam posa sa main Sur la lumière rayonnante, Trembla et comprit Que désormais toute sa vie, Il aurait cette nostalgie De l’arbre de vie.
La nostalgie : les noces de l’espoir Et de la mémoire. Les mots pour la formuler, L’émotion qui les fait distinguer Viennent non de la souffrance, Mais de la transparence De la licorne bleue, Il n’y aura jamais d’adieux. Et la nostalgie reste douce De la mémoire, belle ressource.
Mais combien de temps Adam pourra-t’il prendre son élan Et comprendre toute cette téva4 ? La licorne bleue saura Lui faire discerner les chants (champs) de la vie, Par un échange de pensées, une forme de télépathie. Ce n’était qu’une compréhension d’amour, Une affirmation, une bénédiction de tous les jours Et de toutes les nuits… Où vers toi je m’unis.
Le monade5 d’Adam se forgeait, Un état de conscience supérieure : L’unité divine incarnée Le passage du souffle humain vers l‘esprit intérieur, Se fit sans douleur. Car la licorne bleue éloigne la souffrance. Adam avait trouvé la balance Entre la joie et l’endurance : “Mais pour lui-même, il ne trouva pas de compagne qui lui fût assortie.“vLilith n’était pas bénie. Il ne la trouva pas, Et pourtant elle était là, Sans mots dire, Dans un seul sourire.
Adam et Ève se sont-ils aimés charnellement Avant l’intervention du serpent ? Est-ce qu’Adam reçut un baiser De la femme qui lui était destinée ?
Peut-être qu’en pensant à son corps, Il créait la première union, D’un homme fort Doux et bon, Et qui n’avait pas encore connu la violence. Il n’était que dans la connaissance De l’amour et de la vie. Celle-ci si belle est présente à tous les infinis De l’infiniment petit : Le “oui“ À l’infiniment grand : Un amour qui vole dans le temps, Jusqu’à la fin Celui qui bondit hors des mains Et le recommencement Des temps Dans lesquels Adam Retrouvera toujours, Cet amour. À concevoir et espérer Dans le ciel et sur la terre habités, Par la licorne bleue.
Pourquoi la licorne bleue laissa-t’elle le serpent S’attaquer au glébeux Et à la paix dans son firmament ? Parce qu’elle savait qu’Adam et Ève ne se quitteraient jamais Et que leur amour brillerait Et deviendrait la première étoile du matin, Celle qui ferait le destin D’Adam, d’Ève et de notre univers Le destin de la lumière.
ADaM sera toujours régénéré, Une succession d’amour et de perfection Une des toutes premières vérités Au sein d’une existence de sable et d’horizon, Et l’Éternel-Cebaot6 “anéantira la mort, Et ainsi le Dieu éternel fera sécher les larmes sur tout visage.“viIl n’y aura que la contrée qui s’endort Et se réveille devant le paysage, De la vie. Celle qui commence avec le matin en disant : “oui.“
Du mystère d’Adam, Du commencement Pourquoi l’homme fut-il créé avant la femme ? … Pour la gloire de son âme (?) Peut-être parce que c’est l’homme, portée par la licorne bleue Au pied de l’arbre des jours heureux Qui rassembla Le bois, De l’acacia, Et en fit un feu, Permanent, Dans lequel la très douce licorne bleue lentement, Laissa de son corps émaner l’amour. Comme l’étoile laisse émaner le jour.
Adam conçut en lui Plus qu’un désir de vie, Un désir d’amour. Un besoin de voir le jour Dans le regard D’Isha Alors il chercha Proche et loin du hasard Quels sont les moments d’extensions De rétraction, De sa femme, Il voulut sentir son âme.
Pour l’élever au firmament De son premier et futur printemps Et élever la poussière De la terre. Adam était respirant Et laissa “pénétrer dans ses narines un souffle de vie.“viiCe souffle émanait directement du roi De ce pays Où coulent le lait, le miel, ainsi que mes yeux vers toi.
Je suis née avant toi Je m’apelle étoile du sagittaire Et j’ai des correspondances anatomiques avec la tradition d’il y a Longtemps, dans le ciel de la terre : Astralement mes Hanches, mes cuisses, mon sacrum, mon coccyx : mon corps extérieur, Mes voies respiratoires, mon système nerveux, mon nerf sciatique, Sont équidés Et mon arc monte vers ta demeure, Dans un ciel magique.
Car c’est là toute la généalogie de la licorne bleue, Adam était de correspondance uniquement dans l’amour, Car il ne souffrait ni de santé, ni d’argent, il n’avait que ses yeux. Soleil et Mars s’ouvraient tour à tour Les astres qui veillent sur tes jours. T’élèveront toujours au sommet de l’amour, Il y a des cieux qui naissent en toi, Chaque fois que tu laisses monter de moi, Le frisson délectable de la joie, de son émoi.
Et la licorne bleue qui réordonne chaque matin le chaos du ciel Reconnut en elle, Le cheval, mais pas l’être hybride, Puisqu’elle est d’abord une Puis candide. Alors du haut des dunes, Elle cherche la maison céleste d’Adam, Mais quelle(s) planète(s) Permette(nt) Les voyages du premier homme, sans défaut Dans les vents Dans les flots ?
Quel était le ciel astral du Bereshit7