Erhalten Sie Zugang zu diesem und mehr als 300000 Büchern ab EUR 5,99 monatlich.
L'anneau porté par l'humain irradie de tout son mystère. Dans un enchevêtrement de lumière il propose union et pouvoir. C'est un objet sacré qui appartient au domaine de l'amour. Mais aussi, provenant de la Licorne un cadeau pour l'humanité, la paix dans le monde.
Sie lesen das E-Book in den Legimi-Apps auf:
Seitenzahl: 57
Veröffentlichungsjahr: 2022
Das E-Book (TTS) können Sie hören im Abo „Legimi Premium” in Legimi-Apps auf:
Cet éclat incomparable qui sacralise l’union de deux êtres se condense dans la promesse d’un amour auquel on offre sa destinée.
La licorne et l’anneau
La licorne possède plusieurs anneaux.
À l’origine de sa corne et au centre de ses yeux,
(Espaces miraculeux)
Elle les a attrapé,
Un jour en jouant
Au hasard d’un souffle de vent,
Dans un lac bordé de sourire et de bonté.
Près du lac, il y avait un grand feu
Des montagnes, des sommets,
Une forêt,
Et un étang très vieux.
Des fruits aux courbes souples et colorées
Les fruits du verger,
Où nous nous éléverons de la terre
Pour nous aimer pour faire taire les guerres
Inutiles,
Difficiles.
Les anneaux de la licorne n’ont pas de matière,
Ils tourbillonnent
Ils dansent
Ils chantonnent
Ils ont trouvé l’immense,
Dans le petit
Et le petit
Dans l’immense.
Du plus petit au plus grand
Depuis le commencement,
Il existe plusieurs anneaux sauvages,
Que la licorne découvre avec courage.
Parfois, dans des lieux très ombragés
Alors, elle appelle la clarté.
Pour délivrer la puissance prisonnière de l’obscurité,
Et la lumière vient.
Et tu seras accueilli avec une coupe de vin.
L’anneau de joie
Brille de mille éclats,
Et sa puissance apporte joie
À la licorne qui s’ébat.
La lumière a choisi de s’étaler sur tous les flots
Parce que c’est de là que proviennent les mots,
Ainsi que tous les anneaux.
On ignore combien ils sont
Mais ils proviennent tous de la même forêt,
On ne sait où ils sont
Ils sont enfouis à l’endroit où tu as rêvé
Exactement sous la protection de notre charme.
Il paraît qu’ils sont apparus dans la larme
Du même sourire.
Qui est le plus beau souvenir,
D’une fée solitaire,
Et de sa licorne fière
De caresser les étoiles et leurs anneaux.
Oui, les forêts peuvent s’élever très haut,
Lorsque la licorne et la fée parlent entre elles,
Il n’y a pas de traces visibles par l’humain,
Sauf s’il est magicien,
De cet irréel qui devient réel.
L’anneau est d’abord original,
Puis se divise en suivant les aurores boréales
Quoi de plus beau
Que cet anneau ?
Parmi ces couleurs à l’autre bout du pôle.
Qui se rejoignent dans la fusion d’un feu qui frôle
Le ciel et rejoint bien vite la terre.
Quoi de plus beau que cette forêt de lumière ?
Qui est un continent à elle seule, dont les frontières sont gardées
Par les esprits de : joie, gaieté, et tranquillité.
Le sourire de la forêt, ses murmures, ses chants,
Ses étonnements
Scintillent aux branches des arbres dont le sommet : éclaire,
Agrandit l’univers,
Et danse avec les étoiles délicatement,
Sur une musique
Féérique,
Douce et bénéfique.
La forêt n’est alors que le chant,
Accordé aux oiseaux par la fée :
Qui apprend à tous les enfants du monde à voler.
Elle chante avec virevoltant
Dans une mélodie dont le piano
Sait se faire alto
Et secret
Est accordé,
Par le petit lutin du bois,
Amoureux de la fée, mais la fée est réservée au roi…
La forêt de ce temps-là
Est d’abord un secret.
A-t’elle un roi ?
Qui aime la fée ?
La fée porte en son cœur les anneaux de la licorne
La fée s’endort avec la chaleur de l’unicorne,
Et pendant ce temps-là le lac se fait de plus en plus profond
Et c’est dans cette eau que plonge l’horizon.
Le lac n’est pas obscur, il est plein de lueurs
Les lueurs des couleurs.
Dont le roi se souvient,
Lorsqu’il s’est senti guidé par le désir de ses mains
Lorsqu’il a plongé dans l’eau pour sauver
La fée,
Les anneaux, la forêt.
Et le roi et la fée se sont promis de n’être jamais trop loin,
De se parler tout près des roses,
En se tenant par la main.
Alors le roi propose
À la fée de se regarder dans le même miroir,
Sous la clarté du soir.
Sous la clarté de l’anneau qui diffuse jusque dans le lointain,
Dans notre espace, de joie et d’esprit serein.
Non sa puissance,
Parce qu’encore méconnue
Mais le silence
De son métal inconnu.
Un silence où la licorne va parfois se reposer
Un silence où rien ne vient troubler
Les naissances des souhaits
Que la fée
Sème au pied des fleurs.
Parce qu’un jour l’humain y cherchera son bonheur.
Il existe plusieurs fleurs :
La fleur des fées
Et toutes les autres.
Celles qui dans la hiérarchie de la luminosité
N’atteignent pas notre
Promesse, se dit le roi,
Notre émoi, notre joie.
Lorsqu’il a fendu les eaux pour conférer
À la fée,
Son éternité.
Les fleurs sont les enfants du roi et de la fée,
Certaines portent un anneau,
D’autres ont laissé le hasard décidé :
La licorne qui a choisi de quel saut
Le vent aura porté la graine de l’anneau de la fleur.
Anneau de la forêt des premiers bonheurs
Entre un premier roi
Et une première fée.
Le premier roi
Aimait,
Cette fée,
Connue un soir, étoilé.
Sous le regard fasciné
De la licorne bleue,
Qui portait l’anneau heureux
Au fond de chacun de ses yeux.
C’est l’amour qui donne à l’anneau sa puissance
Le courage, la vaillance
Fleur de l’espérance, comment t’appelles-tu ?
Comment s’appelle ton oiseau nu ?
À cet instant là,
Le roi n’ose pas
Toucher l’anneau
Car ce qu’il éprouve est si beau,
Qu’aucune forme connue de l’anneau à ce jour
N’est capable de contenir autant d’amour.
C’est dans le lac que le roi surprend
Sa joie,
Et chante de sa plus belle voie
Dans le lac de la fée aux yeux si grands.
Il trouvait souvent
En se promenant
Quelques lois,
Capables de soigner la blessure de la fée
De la mener sur les rivages enchantés,
Inquiète du destin de l’anneau.
Le roi comprend le silence de ses mots
Il trouve les onguents
Les rêves lents.
Et son soupir,
Se mêle au désir
À la fois doux et fort
Dans son éternité qui se prolonge encore
Vers un baiser
De soie blanche irisée.
Le roi ne sait pas lui mentir,
Il lui adresse ses sourires
Pour fortifier son avenir
Et dans son âme
Voyage avec le regard de cette femme,
Devenue fée,
Au détour d’un sentier.
La licorne avait bien choisi de l’inviter,
La licorne savait qu’elle aussi aimait
Ce roi,
Cet homme sacré roi
Par qui ?
Par une fleur très jolie.
Et la licorne se couche devant la fée
Car elle ne veut pas troubler
La naissance d’un tel amour sacré.
L’anneau peut-être…
Qui pénètre
La symétrie, de deux corps
Faits exactement pour l’accord,
D’une femme qui devient fée
Sans l’avoir demandé
D’un homme qui devient roi.
D’une simple femme,
Qui clame
Présentée devant toi
Son innocence,
Sa transparence
Son courage venu de toi.
Se sont-ils aimés
Avant d’être roi et fée ?
Quel anneau le sait ?
La licorne les voit en secret
Mais ne révèle pas sa vision.
Elle lit dans leurs pensées