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Il y a des jours dans une vie qui sont tout simplement exceptionnels. La richesse de la vie ne se mesure pas pécuniairement. Le sourire, l'émotion, le désir, le plaisir, surgissent, alors : "comme c'est bon la joie d'aimer", cette force surpuissante pénètre la vie et donne "confiance", grâce à ces moments intenses sous les chandelles allumées, et brûlantes tout autour du lit de la "douceur". "La nuit" devient, pleine de songes étranges. C'est dans le silence de certains instants et le rendez-vous de chaque nuit que Dieu sourit aux hommes justes. Pour l'amour de la conscience humaine Il a créé la notion de "perfection", cette quête offre aux humains responsables la soif de faire de leur vie un champ d'amour et, ou d'"amitié", une dialectique créatrice. Ce désir est agencé par "le philosophe" qui respecte en premier temps "le secret". Alors "le voyage" poétique commence plein des "mots du rêve" et lentement se rapproche de "lui. «Alors pour aimer éternellement, comme il se doit "on attend tous un ange." Parce qu'un jour le miracle vint et je n'ose pas lui donner le nom de providence mais plutôt de hasard. Aujourd'hui cet instant est un souvenir mais dans mon présent il chante comme une impromptue. Tu es le fruit de toute l'exactitude du monde, de sa surprise jusqu'à ses miracles et même le hasard fait pencher les flots de ton existence sur le désir de ma bouche et de tout ton souvenir. *Les séquences entre guillemets correspondent à des titres de poèmes dans le recueil ici présent.
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Seitenzahl: 53
Veröffentlichungsjahr: 2019
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Parce qu’un jour la magie de l’amour t’a placé sur mon chemin et que les arbres alors ensemble ont chanté. J’ai senti ce jour là, la pluie douce et chaude comme après un orage. Les couleurs se sont versées dans tes yeux, et pour la première fois juste en te regardant j’ai vu l’arc-en-ciel. Toutes les lumières du monde dansaient dans le fond de tes yeux ; alors j’ai rêvé de tes bras pour la première fois parce que ce jour là tu étais heureux de me rendre heureuse. Ta visite apparaît comme un lit de fleurs sur ma vie.
Parce qu’un jour Dieu a créé l’homme et la femme, alors est venu l’amour. Pouvons-nous dire que nous sommes nés pour nous aimer ? Oui je le crois, sinon je ne pourrais pas passer ma vie à t’écrire. J’attends de toi, à nouveau le premier geste, parce qu’un jour (le jour de la fête de la musique) tu m’as pris la main. C’était si bon …, j’aimerai tant que ce jour revienne et se multiplie à l’infini : aussi longtemps que je t’aimerai.
Les jours de la création sont les jours de Dieu, les longs jours du monde. Six jours pour tout créer et le septième, un instant intemporel où l’Éternel veille sa création en espérant qu’elle sera toujours prospère et respectueuse. Ton rêve devient mon rêve : un monde sans guerre, dans la lumière du progrès parce qu’un jour il faudra bien accueillir nos amis extras-terrestres. Parce que le monde est fait pour s’ouvrir, comme le corps d’une femme, en permanence sous les mains des serviteurs de la vie.
Le jour c’est la lumière et le temps : toi, présent et toi lorsque je t’attends. Avec toi, et quand tu n’es pas là physiquement, je vis des moments d’une telle intensité qu’en pleine nuit je me réveille sous la lumière de ton regard, tu es mon astre de clarté qu’aucun astronaute n’a pu encore identifier. Tu es mon Païkan, je suis ton Éléa. Portés par la bienveillance universelle de l’Éternel, comme un trait de feu, nos destins nous emmènent vers le grand mythe des amants légendaires. La vraie vie, c’est là où je te rejoins chaque fragment de vie. Ma poésie te montre à l’univers et ton esprit brûlant de douceur et d’intelligence me fait boire le nectar des étoiles au bout de tes mains.
Lorsque nous sommes ensemble, que tu es près de moi, que je peux te toucher, t’embrasser (ce que je n’oserai jamais, alors ose !), le temps se fige au cristal de ton impatience, si patiente depuis maintenant six ans. Alors, nous pouvons dire : “Nous ne percevons donc pas le temps en train de passer ou de s’écouler. Ce que nous percevons , ce sont des différences entre nos sensations actuelles et nos souvenirs actuels de sensations passées. Nous interprétons ces différences à la fois de façon correcte, comme la preuve que l’univers change avec le temps, et de façon erronée, comme la preuve que notre conscience, ou le présent, quelque chose se déplace dans le temps.“1 Nos ombres s’enlacent au mur de nos pensées, et le temps tout entier s’enferme lorsque tu franchis le seuil de ma porte. Et, je n’ai qu’à tendre les mains vers toi pour cueillir des étoiles. Il est fort probable que notre histoire d’amour plaise à la jolie licorne, qui veille sur ton sommeil pour t’emmener au pays de ton enfance lorsque tu nageais au pays des sirènes. Maintenant tu nages dans mes pensées et à nouveau le jour viendra où un livre verra le jour, parce qu’un jour tu as eu la gentillesse de venir jusqu’à moi. Alors, ce sera, encore et toujours, la joie, toi !
Cette joie que nous venons toucher, même à notre insu, est une joie qui n’a pas besoin d’extériorité. Et pourtant tu aimes te chauffer à la flamme de mon désir de toi ; désormais la rose de mon amour est en toi. Sache qu’il y a des roses qui ne meurent jamais, ensemble célébrons la vie. Merci…
1 David Deutsch, L’Étoffe de la réalité, 2003, Paris, Cassini, traduit par Françoise Barbier.
Comme c’est bon : La joie d’aimer,
J’aime la vie
La confiance
La douceur
La nuit
La perfection
L’amitié
Le philosophe,
Le secret,
Matitia dis moi où tu m’emmènes
Le voyage
Les mots du rêve,
Lui
Le courage
Parce que le vent
On attend tous un ange
Joseph
Et de t’en parler dans le silence arrêté.
C’est si bon d’avoir ton soleil dans mon cœur,
Et c’est si bon de t’avoir connu de bonne heure.
À l‘aube de ma vie de femme,
Tu as mis l’océan dans mon âme.
Comme c’est bon d’aimer un roi ou un mendiant
Comme c’est bon de rester douce comme une enfant.
L’horloge pleine de cristaux,
À portée de plein d’oiseaux.
Au bord de la plage,
L’infini sentait l’amour du sage.
J’ai caressé tous mes destins,
Tu as mis des fleurs au rivage,
Juste à tendre les mains, tes mains.
Comme c’est bon, de se sentir tremblante sous l’orage,
Comme c’est bon, de se sentir libre de t’embrasser,
Et je sais écrire les plumes des pages
Qui volent dans l’éternité.
Comme un baiser, la bouche du brasier,
Et le feu, le feu, le feu si fort…
Aimer au fin fond des palais,
Au fin fond des rues du plein Nord.
Et je reviendrai dans la lumière
Chanter à ton cou les mélopées d’éclairs.
Parce que le matin au lever
L’eau, l’immense océan est : bleu, outre mer.
Et tes yeux sont une cascade, une plongée.
Outre mer, il y avait des roses
Aux embruns et aux parfums
Outre mer tes mains tendues vers mon petit matin
Outre mer, il y avait des roses.
Au bord de notre berceau
L’Amour est né, fou et feu, et fort
Mais calme grand ce berceau,
Protège, protège cet Amour… encore,
Car encore veut vivre,
Car comme c’est bon la joie d’aimer.
De ta bouche, je m’ennivre
Et mes songes sont plein de baisers.
Je t’ai rencontré le jour d’un certain temps,
Où la vie prenait le temps de fleurir ;
À chaque nuée du vent
Loin des hospices du satyre2.
Et c’est dans un vin sucré
Que la Licorne ira désormais galoper,