Pour Demain - Sandrine Adso - E-Book

Pour Demain E-Book

Sandrine Adso

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Beschreibung

Pour demain, est un long présage vers un chemin de joie, de tristesse, d'humilité et de songes. Quand le pluie se cache et devient mots, les parchemins prennent la couleur des lacs ombrés sous les saules. Pour demain, c'est l'espoir d'un retour à la "vraie vie", une vie douce et calme et ouverte vers le respect de chacun. Pour demain, c'est aussi aujourd'hui qui se construit vers un chant d'espoir intemporel.

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Seitenzahl: 35

Veröffentlichungsjahr: 2015

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Table des matières.

L’arbre qui aimait l’eau

Petite goutte de lumière

J’aime te voir

Elan

Quoi ?

L’éveil

Transmutation

La Corse

Bris de mer

Glace où je fonds

Magie

Le jardin du bois

La mer et le rêve

Air

Voyage ensoleillé

Comme c’est bon l’amour sur un parchemin

Dans mes nuits, je vois des fleurs

Nuit d’ébéne, portée par l’éclair

L’air était pur et bleu

L’Atlas

Soirée d’hiver dans une nuit d’été

Si un jour tu t’en vas

Si tu pars, ne m’oublie pas

Chance

Une prière

La nuit même bleue

Lui

La neige

Pour toi

Le soleil qui pleure, la lune sourit

La pluie

Limoges, le 15 février 2015

La licorne du soleil

L’horizon

Je vole

Pour toi

Pour le temps

Pour lui

La vie

L’arbre qui aimait l’eau

La pluie a vibré une fois encore

Sur les cimes des fleurs et des arbres morts.

Laissant sur son passage des soleils et des astres.

La pluie a senti la lumière et brilla dans tous les astres

Et dans un nuage d’arc-en-ciel

La chanson a jailli de l’eau du sel,

Des océans et des marées.

Feu d’éléments liquides et diaprés

Des couleurs du frisson de la pluie.

La chanson chantait la vie.

Les longues cordes d’eau ont su

Raviver les êtres du jardin des nues

Emportant sur leurs tiges, les profondeurs du ciel.

Pour la ramener au premier pas de la pangée

Et laissérent à ce flot de couleurs emportées

Flot qui monte et qui descend,

Qui s’étale dans le temps.

Jusqu’au jour où l’orage éclata

Où l’orage éclata et brisa

Les cimes des fleurs et des arbres morts

Laissant au sol, une onde qui nous dévore.

Les premiers souvenirs

Des flots et du plaisir.

Quand l’orage partit

Le feu resta près de la vie

Emportant la mort et la vie,

Le faisant renaître et mourir

Dans son brasier de soupirs.

Les fleurs blanches et la lumière bleue

Créant marée silencieuse et désert lumineux.

Mais là-bas sur le sable, la pluie

A vibré une fois encore.

Laissant fleurir la vie

Dans le creux d’un arbre mort

Avec la peur de l’orage, mais avec le sort

De la beauté et de l’ondée.

Petite goutte de lumière

Sur la porte en bois.

Eclat d’eau,

Sur la porte de l’arbre-roi.

Chant d’oiseau

Au-dessus des balustres bleus.

Regard d’eau

Pour une nuit d’orage au son creux.

Juste une petite goutte de lumière

Sur la porte en bois.

J’aime te voir

Crever dans le noir

Ô douleurs, voux n’êtes pas la magie,

Et vous angoisses infinies,

Sombrez dans le lac sans fond.

J’aime ta douce sensations,

De laisser mourir les agonisantes.

Et voir jaillir dans une houle de voûte

Le chaos laisser place au désordre ;

Et le désordre obéir aux ordres.

Du noir, de la magie et du profond

Pour laisser fleurir au bord de l’horizon

Les jours nouveaux.

Je te vois en éclair

Fleurir dans la lumière.

Bonheur, tu es la magie.

Et vous, joies infinies

Etalez-vous sur les abords,

Des bouches de l’ennui.

J’aime.

Elan

Il coure vers toi,

Pour se couvrir de ta loi.

Plus que la liberté

Et l’étendue de l’éternité,

Son chant rime avec vie

Que d’un dieu ou dise l’infini.

Quoi ?

L’éternité reprendra sa chance

Parmi son regard plein de charme.

Aux couleurs salées de l’ondine,

Lumière astrale, tu plonges ta bise sanguine.

Le fluide rose glisse quand je dors

Veux-tu de ma vie un décor ?

Pour que je te raconte ce que j’ignore.

Un doux mystère a croisé en toi son chemin,

Sur son passage, il a laissé des chants ;

Un doux mystère te porte à jouvence.

L’éveil

J’attendais que le jour se lève

Pour venir te raconter mon rêve.

Il m’a fallu de la patience,

Ainsi que beaucoup d’espérance.

La nuit fut claire

Et, là les ténébres permirent à la lumière

D’être parmi le cosmos et nous.

Dans cette nuit claire, ma parole secoue

Tes dernies éclats de terreur.

Non, la nuit il ne fait pas peur