5,99 €
Pour demain, est un long présage vers un chemin de joie, de tristesse, d'humilité et de songes. Quand le pluie se cache et devient mots, les parchemins prennent la couleur des lacs ombrés sous les saules. Pour demain, c'est l'espoir d'un retour à la "vraie vie", une vie douce et calme et ouverte vers le respect de chacun. Pour demain, c'est aussi aujourd'hui qui se construit vers un chant d'espoir intemporel.
Sie lesen das E-Book in den Legimi-Apps auf:
Seitenzahl: 35
Veröffentlichungsjahr: 2015
L’arbre qui aimait l’eau
Petite goutte de lumière
J’aime te voir
Elan
Quoi ?
L’éveil
Transmutation
La Corse
Bris de mer
Glace où je fonds
Magie
Le jardin du bois
La mer et le rêve
Air
Voyage ensoleillé
Comme c’est bon l’amour sur un parchemin
Dans mes nuits, je vois des fleurs
Nuit d’ébéne, portée par l’éclair
L’air était pur et bleu
L’Atlas
Soirée d’hiver dans une nuit d’été
Si un jour tu t’en vas
Si tu pars, ne m’oublie pas
Chance
Une prière
La nuit même bleue
Lui
La neige
Pour toi
Le soleil qui pleure, la lune sourit
La pluie
Limoges, le 15 février 2015
La licorne du soleil
L’horizon
Je vole
Pour toi
Pour le temps
Pour lui
La vie
La pluie a vibré une fois encore
Sur les cimes des fleurs et des arbres morts.
Laissant sur son passage des soleils et des astres.
La pluie a senti la lumière et brilla dans tous les astres
Et dans un nuage d’arc-en-ciel
La chanson a jailli de l’eau du sel,
Des océans et des marées.
Feu d’éléments liquides et diaprés
Des couleurs du frisson de la pluie.
La chanson chantait la vie.
Les longues cordes d’eau ont su
Raviver les êtres du jardin des nues
Emportant sur leurs tiges, les profondeurs du ciel.
Pour la ramener au premier pas de la pangée
Et laissérent à ce flot de couleurs emportées
Flot qui monte et qui descend,
Qui s’étale dans le temps.
Jusqu’au jour où l’orage éclata
Où l’orage éclata et brisa
Les cimes des fleurs et des arbres morts
Laissant au sol, une onde qui nous dévore.
Les premiers souvenirs
Des flots et du plaisir.
Quand l’orage partit
Le feu resta près de la vie
Emportant la mort et la vie,
Le faisant renaître et mourir
Dans son brasier de soupirs.
Les fleurs blanches et la lumière bleue
Créant marée silencieuse et désert lumineux.
Mais là-bas sur le sable, la pluie
A vibré une fois encore.
Laissant fleurir la vie
Dans le creux d’un arbre mort
Avec la peur de l’orage, mais avec le sort
De la beauté et de l’ondée.
Sur la porte en bois.
Eclat d’eau,
Sur la porte de l’arbre-roi.
Chant d’oiseau
Au-dessus des balustres bleus.
Regard d’eau
Pour une nuit d’orage au son creux.
Juste une petite goutte de lumière
Sur la porte en bois.
Crever dans le noir
Ô douleurs, voux n’êtes pas la magie,
Et vous angoisses infinies,
Sombrez dans le lac sans fond.
J’aime ta douce sensations,
De laisser mourir les agonisantes.
Et voir jaillir dans une houle de voûte
Le chaos laisser place au désordre ;
Et le désordre obéir aux ordres.
Du noir, de la magie et du profond
Pour laisser fleurir au bord de l’horizon
Les jours nouveaux.
Je te vois en éclair
Fleurir dans la lumière.
Bonheur, tu es la magie.
Et vous, joies infinies
Etalez-vous sur les abords,
Des bouches de l’ennui.
J’aime.
Il coure vers toi,
Pour se couvrir de ta loi.
Plus que la liberté
Et l’étendue de l’éternité,
Son chant rime avec vie
Que d’un dieu ou dise l’infini.
L’éternité reprendra sa chance
Parmi son regard plein de charme.
Aux couleurs salées de l’ondine,
Lumière astrale, tu plonges ta bise sanguine.
Le fluide rose glisse quand je dors
Veux-tu de ma vie un décor ?
Pour que je te raconte ce que j’ignore.
Un doux mystère a croisé en toi son chemin,
Sur son passage, il a laissé des chants ;
Un doux mystère te porte à jouvence.
J’attendais que le jour se lève
Pour venir te raconter mon rêve.
Il m’a fallu de la patience,
Ainsi que beaucoup d’espérance.
La nuit fut claire
Et, là les ténébres permirent à la lumière
D’être parmi le cosmos et nous.
Dans cette nuit claire, ma parole secoue
Tes dernies éclats de terreur.
Non, la nuit il ne fait pas peur