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Chaque jour tu vas, tu viens, tu danses. Tu me fais trembler d'admiration, alors je suis comme emportée par ce vent que tu déplaces, et je danse à mon tour. Puis viennent la musique et les percussions de ton coeur. Le rythme de nos deux corps rappelle les fragments de l'océan, lorsque le ciel n'était que lumière ou tonnerre. Les éclairs épars, autour de nous élèvent notre danse dans un firmament où l'étoile pleure et rit dans tes yeux.
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Seitenzahl: 72
Veröffentlichungsjahr: 2022
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La joie de te voir heureux sous la musique de certains rêves pénètre toute ma vie. Dans le château secret où tu vis, la licorne a trouvé pour cadeau la musique de mon étoile. Elle est venue la chercher à mon premier soupir, lorsque ton ombre se dessine sur les rideaux de ma chambre. Cette symphonie se mêle au charme abouti de ton premier sourire. Et je devine un par un tous les secrets qui deviennent rythme . Cette sensualité deviendra dans ses penchants vers l’extrême une émotion
Une danse qui deviendra pour certains un art, mais qui pour nous sera le commencement de la vraie vie.
Lorsque la licorne danse, parce qu’elle pense
Elle a le cœur en fête,
Et invite les amoureux à partir en quête,
De promesses, de fidélité, de soins.
Dans un corps libre qui danse,
Qui fait l’amour, et pense
Constamment à celui qu’elle a pris par la main,
Et qu’elle fait tourner sur une musique entraînante
Qui enchante
Les cœurs,
Des fleurs.
Sur la piste de danse,
Comme un avion,
Qui déploie à travers les airs, sa chanson.
Nous décollons vers une vie intense
Tu me fais voler dans tes bras.
Tu me fais parler aux étoiles, car tu veux que je leur parle de toi,
De la façon
D‘un ciel profond.
Dont notre joie
Rythmera l’espace
Rempli des cadences de vie,
Qui nous fait compléter et suivre les traces
D’une envie,
Absolue de toi
Aboutit, le ciel au-dessus de moi,
Et aussi
De ton absolu.
Mon envie est douce et totale,
Danserons-nous nus
Sous le chant de cette étoile ?
Qui t’a comblé
Et a fait de toi, un être de loyauté
M’a comblée,
Puisque je t’ai rencontré
Et les anges voulaient nous voir danser,
Puisque la volonté
De D. s’est faite tienne…
Et la licorne bleue parraine,
L’absolu de ta beauté,
L’absolu de ta bonté,
L’absolu de nos respirations,
La chanson
Que j’entends quand je pense à toi,
Et sur laquelle l’amour étendra ses bras.
Tu es déjà dans mes bras
Le rêve absolu,
Et qui continue
Puisque les anges aiment danser,
Avec les bénédictions, les chambres et les océans
Lactés d’étoiles.
Puisqu’aucune étoile n’est prisonnière, elles ne savent qu’exister
Le lait des étoiles nourrit tous les enfants
C’est un breuvage idéal,
C’est ce que le monde-mère entreprend
Dans son immense miséricorde,
Son simple refus de discorde.
Puisque tous les enfants du monde méritent d’être bercés
Et tous les hommes méritent d’être aimés
Mériter ?
Sur quelle échelle de valeurs ?
À quelle part son bonheur ?
La sincérité
Et toutes les nuances
De l’intelligence,
Au service de la bonté.
La vie est trop belle,
Pour évoquer les images cruelles,
Et nous vivons
Ce que nous écrivons,
Lorsque j’écris le mot danse
J’écris le mot balance,
Sur ton torse, sur ta chaleur immense.
Je me balance dans un désir de toi,
À nouveau, puis d’autres fois
D’amour et de liberté,
D’une compréhension de chaque nouvel instant né.
Je balaie de ma plume les fausses notes,
J’essaie de ne pas commettre de fautes
Pour que ton plaisir,
Soit une avancée sur l’eau,
Un instant coloré comme un cadeau.
J’ai connu Merlin l’enchanteur,
Je me suis moi aussi interrogée sur la splendeur.
J’ai entendu son rire,
Et il m’a murmuré qu’un jour
Je rencontrerai l’Amour,
Et te voilà !
L’amour, comme un roi.
Tu apparais comme une réminiscence du paradis,
Où tu danses avec moi, dans les prairies
Parmi les germes de blé, les germes d’amour.
Nous sommes la semence de la vie d’ici-bas,
Respectons l’existence tracée pour le souffle de nos bras.
Et si le vrai paradis était ici
Dans un jardin encore existant, chaque jour,
Chaque nuit.
Pour amadouer le gardien,
Nous devrons danser, main dans la main,
Sur les pas d’Adam et Ève,
Et nous serons leur plus beau rêve,
Puisque nous nous aimons dans la splendeur,
De cet indestructible bonheur,
De cette jolie fleur,
Qui penche ses pistils
Pour toutes mes larmes de joie, qu’elle distille
Dans l’élégance, l’allure
De ta carrure.
Tu es un homme grand et fort,
Ton esprit dépasse encore,
Les chants lorsqu’ils s’élèvent vers cet amour
Qui entre nous a inséré les plus beaux jours,
Que nous découvrirons tour à tour,
Dans une danse qui sera
Notre première fusion.
Cette essentielle union :
Sentir tes bras
Autour de moi,
Sentir ma joie
Au fond de toi.
Tu es la profondeur et la surface lisse
Où les vents glissent
Et se couchent devant ta prestance,
Ils déposent aux pieds de ton silence,
Toutes mes espérances,
Te pénètrent-elles ?
Je veux juste que tu respectes ma pudeur
Ne faut-il pas du courage pour parler du bonheur,
À un homme qui n’est ni cruel
Ni absent,
Juste et brillant.
Sans lequel ma vie,
Pour toujours jusqu’à aujourd’hui
Serait comme l’océan, sans eau,
Comme le ciel, sans oiseaux,
Tu es ma terre et mon ciel
Tu es l’exploit exceptionnel
Tu es l’absolu, le tout, la vie
Le droit de t’aimer, enfin permis,
Car l’amour suggère cet infini,
Qui danse
Sur tous les chemins de la vie,
Qui danse
Avec les rivières
Sur nos prières,
Et la danse de notre amour,
Sur une plage, en pleine nuit
Dans la complétude de nos envies.
Au rythme des flots qui attendent le jour,
Mais pour cette première fois,
Le lever du jour
Attendra.
Ce sera une nuit
Le bijou, le collier
Ce sera notre nuit,
Le bijou, de tes baisers.
Tes baisers qui dansent avec les vagues perpétuelles
Je serai confiante et graverai mon bonheur éternel,
Dans le vent, qui emportera
Jusqu’au fin fond des luminaires,
Des souvenirs de mon père en prières.
Mon chant de joie,
Je chante
Tu danses,
Tu chantes,
Je danse.
Mes mains autour de toi,
Te tiennent fort, pour que tu sois toujours avec moi,
Ta danse est invisible parfois,
Mais c’est bien ta peau,
Sur ma peau,
Si tu me touches avec la douceur des écumes,
Alors la brume
S’effacera
Et quand l’aube se lèvera,
Le ciel sera clair,
Et sous la lumière,
Tu couvriras mon corps,
D’une couverture qui chauffera ma chair.
Pourtant mon âme
Est pleine de cette énergie, que tu veux femme.
Elle sera chaude et t’appellera encore,
Comme on espère regarder un trésor,
Par le prénom,
Que tu auras posé sur l’horizon.
C’est toi qui me donneras un nom,
Et je sais que tu le prononceras,
Quand tu seras
Loin de moi,
Parce qu’il viendra jusqu’à moi,
Et ce sera si doux,
Que cela ne peut venir que de toi.
J’aime l’absolu que tu déploies devant nous,
Car il me parle de toi,
Et que c’est tout ce qui importe,
Danser devant toi, pour t’ouvrir la porte,
De la liberté,
Dans notre intimité,
Je ne danse que pour toi.
Ma joie
Est une émotion qui n’a que le sens
D’un temps qui danse,
Dans ton infini,
Pour rejoindre mon infini.
Peu d’êtres arrivent à contrôler leurs émotions,
Je ne sais pas,
Je sursaute quand j’entends mon prénom,
Je ne me cache pas,
Le visage ou les yeux.
Parce que la jeunesse est un turban bleu
D’une poésie écrite pour nous deux,
Je suis moi
Et toi,
Je suis en vie,
Puisque j’écris.
La danse clame et célèbre l’identification
À l’impérissable,
Elle est pour certains, une révélation,
Pour d’autres une stimulation.
Elle est l’immortabilisable,
Elle est singulière à chacun,
Nous avons tous des mains
Pour applaudir la musique,
Pour vibrer à la rythmique.
Certains la comprennent
Dans l’expression de son créateur,
Ce qui est rare,
D’autres parviennent
À y mêler leur bonheur,
Et à créer le sentiment d’espoir.
J’entends ta danse et je perçois ton désir d’immortalité,
Alors j’entends les oiseaux répondre à ta soif de vitalité,
Ils te dirigent à la source d’éternité
Dont seul l’Amour détient la clef.
Il suffit de se placer devant,
De rassembler ses rêves devenus grands,
Si grands que certains doivent être posés à terre,
Mais pour autant, devenir lierre.
Et d’autres contenus dans le secret de son cœur
Dans le calice étrange et odorant du bonheur.
Une fois devant tu peux danser pour sourire
Et peut-être que l’amour te conduira jusqu’à l’avenir.
Sourire pour danser
Se regarder, s’admirer,
Sourire et danser pour ne pas avoir peur.
L’éternité s’ouvrira
Encore une fois,
Et tu sauras
Pourquoi,
Tu danses.
Sur des étendues de rêves immenses
Avec les premiers rêves de ton enfance,
Avec les premières lois
Qui sont venues à toi,
Roi, de ma vie
Un amour fort, qui comprend et guérit.
Pour certains la danse est une stimulation,
Elle est souvent une magnifique vision :
Elle stimule la sensibilité,
Elle anime les fonctions vitales
Et mentales.
Elle fait vivre et penser
En simultané,