Suivre le Chemin - Sandrine Adso - E-Book

Suivre le Chemin E-Book

Sandrine Adso

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Beschreibung

Mon chemin est une forêt universelle, elle est peut- être imaginaire, mais je la connais, là où je voyage et découvre la Nature (de l’Homme). Ce fut un jour comme celui-ci où je vis les ténèbres s’effondrer. Un miracle… Aussi, j’ai présenté mes condoléances à tous les êtres de la nuit pour en conserver le souvenir et ne pas oublier leurs regards sur, (ce qu’ils appellent) l’être, ainsi devenir moins vulnérable devant les êtres ténébreux. J’ai choisi de chercher une plage d’amour. Sur cette plage existe tout de même des dangers l’Homme peut devenir la victime d’une chevelure, de femme ou de sirène. Mais ce danger et c’est là ce qui en fait la beauté peut devenir un rêve « océane ». Sur cette plage fusent de toutes parts des pensés furtives, voire joyeuses. Rimbaud ne percevait pas la beauté comme les non-initiés, pour lui la beauté c’est d’abord un jouet, peut-être parce qu’il y avait à la fois le ciel et la mer et donc toute liberté. En tout cas il la bien perçut, moi j’ai rencontré un ami il s’appelait Martial avec lui j’ai joué avec le sable et la mer, mais sans chercher à démêler la beauté de la laideur. Rimbaud lui cherchait la beauté pour l’asseoir sur ses genoux et l’injurier. Celui qui n’est pas poète joue aussi, sans chercher le beau du laid, le bien du mal, juste de l’eau d’enfant, la rose du premier matin. Il y avait également ceux d’Ecléve, qui écumaient de rire dans l’eau d’enfant, et pouvaient voir la rose du premier matin. C’était un hasard, un choix, peut-être même un dessein pour adoucir l’horizon de nuit. Il y a effectivement une présence douce, faite comme nous de sang d’oxygène et d’hydrogène. Mais surtout il y avait ce corps lumineux, que j’attendais, sur le chemin des pierres, où je suis allée pour toi. Ce corps lumineux qui interpelle, fascine et interroge, finalement faut-il suivre le chemin ? Faut-il être ou ne pas être ?

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Seitenzahl: 36

Veröffentlichungsjahr: 2014

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Table des matières.

Mon chemin

Sur le chemin des pierres

Et les ténèbres s’effondrent

Etre ou ne pas être

Je t’attendais

La première fois

Le voyage

Pour toi

Rose du premier matin

Eau d’enfant

L’horizon de nuit

Présence

Regards sur l’être

Ceux d’Eclève

La forêt universelle

Cette lumière

La fleur temporelle

Ciel et mer

Sable

L’eau

Martial

Les jeux du poète

Histoire de sang

Condoléances

Le dessein

Souvenirs

Rimbaud

Le corps lumineux

Le prisonnier du jour

Pensées furtives

Le rêve océane

L’homme et la chevelure

Nature

Plage d’amour

Sang d’oxygène et d’hydrogène

Regards

Traversée

Eclairages

La pluie

Voyage ensoleillé

Mon chemin

J’ai fui les océans,

J’ai pleuré aux pieds des géants.

Et j’ai senti le vent,

Et j’ai gravi les marches du temps.

J’étais seule et désarmée,

C’était toi que j’attendais :

Lune et soleil

Cristal et vermeil.

Tu es une lumière emprisonnée,

Parfois tu me montres le sentier,

Où nous pouvons panser nos plaies

Comme un onguent venu des fées.

La vie ne se peut seule,

Alors j’ai cherché dans le jour et la nuit

Faire taire la gueule…

Du loup tapi derrière le lit.

Ce qu’il y a de fou

C’est lui

Ce qu’il y a de fou c’est ma vie.

Et je pense toujours à toi

Comme un rocher qui accepte les vagues sans lois.

Et je pense toujours à toi,

Tu m’as montré le soleil,

Je suis tombée en merveille.

Il faut se relever

Et continuer :

Toujours protéger la lumière,

J’ai choisi nos prières.

Une larme pèse lourd,

Un souvenir coure

Dans mon coeur

J’ai encore peur.

Mais tu es parti…

Et qu’aurais-je fait de tes cris,

Quand je méritais un sourire

Et qu’aurais-je fait de ta folie,

Quand il suffisait de rire…

Sur le chemin des pierres

Sur le chemin des pierres,

J’ai connu des roses et des arbres verts.

Et puis tout à coup s’est effondrée la lumière,

Alors j’ai pleuré sur le chemin des pierres.

Je n’attendais qu’un ami,

Alors j’ai dit :

Il saura m’aimer

Il saura voler.

Dès ce, la lumière est revenue

Et à nouveau les bras tendus, j’y ai cru.

Parce que ce jour là

C’était toi.

Aucun diadème

Aucun stratége,

Juste le feu de l’été,

Juste des mots murmurés.

Contre les murs, et les prisons

Je porterai le flambeau de ta saison.

Contre la douleur

J’irai chercher chaque fleur…

Et pour briser les Silences

J’appellerai les oiseaux

Et pour redonner chance

La symphonie sera allegro.

Sur le chemin des pierres,

J’ai fondu en prières

Et j’ai embrassé le ciel

Car ta lumière est belle.

Au nom de la Lumière,

Berce l’Amour sur Terre.

Et les ténèbres s’effondrent

Pardon de t’aimer, toi Lumière

Pardon de pleurer, toi prière.

C’est vrai j’ai trop attendu

Le calme est revenu…

Après la tempête.

Et le voilier s’est couché sur le rivage

Là où ; mon sourire te sourit

Et la nuit protège les enfants sauvages

Là où mon sourire te sourit.

Je t’envoie des baisers

Je te frissonne bleue et rouge

Et l’instant devient éternité

Comme une statue qui bouge

L’Amour est devenu profane,

Alors j’attends, perdue dans la forêt

Et j’irai trouver le vent d’été

L’Amour est devenu profane.

Quel est ton sourire ?

D’où vient ta lumière ?

C’est l’éclat du rire,

C’est le soleil d’hiver.

Comme je t’aime lumière,

Comme je t’aime prière

Tout s’est posé

Aux pieds de l’océan fatigué.

Les voiles caressent le sable

Comme un lit, un mur d’érable

Et je te souris

Et l’enfant aussi.

Tu choisis le rouge ou le bleu ?

Tu choisis le vent ou le feu ?

Pardon pour la lumière

Pardon pour la prière.

Je t’aime et je t’attends

J’ai choisi le vent,

Parce qu’il me porte à tes bras,

Je propose la fin des temps

Un dernier soleil couché au-delà

Des horizons, des matins et des printemps

Oui, le vent dit oui,

Parce que le cheval est bleu

Parce que l’éclat aussi bleu,

Te transperce de lumière.

Les ténèbres s’effondrent,

C’est ta vie qui revient.

Les ténèbres s’effondrent,

C’est ma vie qui revient.

Un nouveau soleil dans notre ciel

Un bouquet de roses et d’étincelles,

Les yeux fixés dans le firmament