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Gloire à ceux qui possèdent une harpe et sont illuminés par la quête du saint Graal. Les deux se rejoignent dans une beauté quasi-irréelle. La harpe détient la magie sacrée du Graal. Le Graal contient la poésie lyrique de la harpe. J'ai plus de respect pour toi que pour la harpe et le Graal... Tu es peut-être cet homme qui berce, la magie, le sacré, le lyrique, la poésie plus séduisant que l'étrange vent qui accompagne ces merveilles divines.
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Seitenzahl: 100
Veröffentlichungsjahr: 2021
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Le désir véritable a besoin de pudeur pour être sublimé. Mais pour qu’il soit vécu dans sa totalité, c’est une autre histoire, il faut tout simplement du courage. C’est dans cette ardeur, cette fragilité que se décline l’Amour.
La licorne bleue et la harpe
La licorne bleue et le Graal
Elle porte le voile des musiciens en écharpe,
Elle projette leurs sons jusqu’aux confins de l’univers
La musique ne parle pas en mots,
Elle trébuche mais ne sonne jamais faux.
Ainsi elle est perçue au-delà de toutes les frontières.
Puisque le temps se propose et se dilate en permanence
L’espace n’est jamais fermé.
La musique reste une joie et une chance
Pour toute l’humanité.
Mais peut-être pas au même moment,
Le temps que les ondes trouvent l’amour et ses courants.
La musique atterrit, depuis le ciel, depuis la mer
Elle est accueillie dans la joie
Et donne envie de rire dans les airs,
Donne des ailes aux maladroits.
La musique est humaine et divine.
Peut-être humaine parce que divine,
Peut-être divine parce qu’humaine.
La musique intérieure est reine.
J’aime la musique qui joue ses partitions sur le chant de l‘humain
Car ce sont toujours des chants qui viennent de loin.
M’entends-tu chanter la nuit, lorsque mes pensées viennent à toi.
C’est l’instant le plus intime de la félicité,
Lorsque je sens que la fatigue s’en est allée,
Puisque je te sens retrouver la joie
Dans certains de ces moments là ;
À chaque instant où nous sommes près d’y croire encore une fois
De contempler tout ce que tu as créé,
Par ta seule pensée,
Tu chantes dans l’esprit des gens.
Tu fais partie des plus grands,
Qui savent sembler petits
Tu fais toujours le serment solennel de respecter leurs vies.
Et tu m’as toujours respectée, merci.
Même si tu m’as montré ta puissance.
Je sais bien que ce n’est ni par orgueil, ni par vanité
Comme on l’aurait fait dans l’enfance.
Pour ne pas mentir, mais garder ses secrets :
Saura-t’on un jour qui t’a mis une harpe dans la main ?
La nature, elle chante précisément le soir et le matin.
Lorsque D. laisse dormir l’Homme pour rêver,
Et la femme pour s’évader,
Dans le jardin des anges, dans le jardin de leur passion.
Là où l’Homme n’aime qu’une femme sans exception,
Où la femme garde ses trésors uniquement pour lui.
Sur le chemin, c’est toi qui m’a guidée le long de la poésie.
C’est l’une des merveilles de nos vies.
J’espère un jour mêler mes mots à tes mélodies,
Pour embellir la vie.
Faire l’amour avec toi, c’est chanter aux sommets des astres fort
Dans notre silence qui espère encore,
Qu’aujourd’hui sera toujours suivi d’un lendemain.
Tu es la promesse de l’eau qui s’écoule au son des musiciens
Une musique comme une vague sur le refrain,
D’une partie de ta vie,
Qui cherche quelquefois ma vie.
Je suis la musique de ton amour,
Depuis toujours,
Ce jour où tu as pensé qu’il te fallait une femme à tes côtés
Digne de ta royauté.
Tu m’as cherchée
Tu m’as trouvée
Ou le hasard nous a réuni…
Tu es un véritable soleil de vie,
Là où j’irai frotter mes ailes à ton énergie,
Je ne saurais jamais
Qui remercier,
Le hasard ou ta royauté…
Le hasard conjugue des mystères,
Et ta royauté marche en avant sur toute la Terre :
J’ai toujours été là avec mes mots,
Et je t’apprendrai à les entendre dans le vent ;
Ils iront vers toi, tu ne perdras pas ton temps.
Seront écrits sur ton drapeau :
Hesed1,
La fondation, la communion perpétuelle d’une aide,
De D. qui veut nous donner amour et paix,
Et nous porter sur le lac de la tranquillité.
L’amour se dépose tendrement et en couleurs comme une fleur
Un instant de paix qui efface toutes les erreurs
De l’humanité
Et c’est en chantant que les peuples se parlent de liberté.
La liberté
Est comme un baiser,
Elle est l’espérance
De la plus grande délivrance
De David à Saül, lequel est le plus mélancolique ?
Le roi David joue de la harpe dans des instants magiques,
Et aide à descendre dans le fond des âmes,
Sa mélodie pénètre tout : des temples jusqu’à sa femme.
Un temple n’est-il pas aussi honorable qu’une femme ?
Ouvrir une porte, c’est d’abord sourire,
Puis avec des pas respectueux, découvrir des empires,
Et comprendre que parfois, c’est le but de toute une vie.
Une vie qui sera, (ou qui l’est déjà) bénie
Est un plaisir,
Tu peux tout découvrir
Puisque ton incroyable pureté,
Est le chant de toutes les clefs.
Saül, premier roi de la terre sainte
N’a probablement jamais eu de craintes (…)
Sa seule mélancolie résidait dans l’absence de plaisir
Pourtant il éprouvait des désirs
Auxquels Dieu ne voulait accéder
Au profit de son trésor : son roi berger.
Et l’amour du pouvoir de la guerre,
Saül était un roi fier,
Qui ne respectait pas le joyau offert par Dieu, l’alliance.
D. par l’intermédiaire de Samuël convinrent d’un nouvel avenir
Parsemé d’intempéries et de délires.
Pour ce roi, finalement sans intelligence
Le futur roi fut alors désigné,
C’était un homme doux, simple berger
Du simple nom de David,
Dieu savait qu’il saurait être le protecteur et le guide
De l’alliance qui provenait peut-être de béthléem
Comme David lui même.
Tout d’abord écuyer, il devint un fervent guerrier
Au service de la divinité.
Le premier roi se voyant déjà destitué
De la royauté
Voulait attenter
À la vie de cet homme entré dans sa vie
Comme un fruit sauvage que l’on désire chaque nuit.
Ce péché
Entrainèrent les deux hommes dans le désert de Ziph2.
Alors David et ses hommes sortirent de Keila,
Et Saül à son expédition renonça.
David resta dans le désert de Ziph.
Jonathan, fils du roi jaloux
Tint au roi David, un discours très doux
Il lui promit la liberté
L’invincibilité
Ils firent tous deux alliance devant l’Éternel,
Dans un désert aux rochers éternels.
Leur union suffit,
Et chacun des deux repartit.
David, mélancolique dans la solitude de Maon3,
Et le roi vindicateur prit conscience de la situation :
Le berger d’un côté de la montagne
Le roi assassin de l’autre
L’un cherchait à sauver sa vie,
Tandis que l’autre
Avait la nostalgie de ses campagnes
Guerrières,
Meurtrières.
David ne pensait qu’à la vie
Saül, pourtant premier roi
Désobéit aux premières lois
Il tua.
Pourtant le décalogue existait déjà…
David, berger, hors la loi,
Futur roi,
Était à la tête de révolutionnaires,
Qui vivaient avec lui dans le désert.
Ils savaient où trouver
La boisson et le gibier
Et connaissaient tous les endroits secrets
Pour asseoir sa royauté,
Qu’il portait dans son cœur
Avec joie, dignité et bonheur.
Depuis les cieux, anges, parfums le couvraient de fleurs
Déjà je te voyais dans le ciel, au rythme des heures
Victorieux de Goliath, jusqu’aux autres guerres.
Je te vois dans tous les instants d’aujourd’hui, de demain, d’hier
Il me suffit d’ouvrir les yeux pour comprendre ton intemporalité
Ton passé aime ton futur,
Tu es le roi de l’éternité,
Tu visites chaque jour, le mur.
Tu construis une cité, des maisons pour tes serviteurs,
Le soleil y fait son tour heure par heure,
Chaque pièce est entourée de fenêtres,
Les oiseaux cherchent à les connaître,
Parce qu’ils ont besoin de te chanter,
Et moi de t’aimer.
Ma clé s’est perdue un matin d’hiver
Elle attend la main d’un homme ni fermé aux arbres, ni fier
Une main plus douce, qu’un homme en prières.
Le psalmiste souffre du malheur d’être loin du temple de Dieu
Mais trouve réconfort dans certains yeux.
J’aimerais qu’en me regardant,
Tu explores tous les océans
Pour que tu comprennes plus vite que le vent
Avant même que tes ennemis n’aient envisagé d’être violents
Tu vis, sur tous les hexagones de la vie,
Tu fais taire ton ennemi
Il t’offre la survie
Et pour toi j’ai fabriqué
Un petit livre où je raconte combien tu es aimé
Parce que tu protèges nos secrets
Et que tu laisses entrer dans le temple, le vent.
Un souffle majestueux depuis tes premiers temps.
Le chemin vers le temple est et sera toujours un secret,
Le premier temple et sa virginité.
Les rois du monde entier doivent la protéger,
Comme une fleur qui te parle du sacré,
Sauras-tu comprendre son langage ?
Elle te parle des pluies, des éclaircies sur les rivages,
Loin de toi, la tristesse, pour toi, mon cœur sera encore bleu.
Ta harpe a des pouvoirs merveilleux :
Tu hypnotises les serpents,
Tu fais tomber à terre, les titans,
Et tu fais danser l’amour dans l’océan.
Tu chantes aussi, ta voix est une gorgée
De profondeur ensablée,
Que seul l’amour peut donner
Une fois, dix fois l’éternité,
Si tu veux bien ?
Puisque D. propose à quelques humains
De parcourir l’univers et ses chemins
Pour trouver la force de vivre, d’aimer.
Je ne te quitterai jamais,
Le vent saura où me trouver,
Je souhaite que tu apprennes à l’écouter,
Car D. parle aux rois dans le vent,
Dont il est le souffle permanent…
C’est un vent constellé,
J’aime écouter le vent de ton amour et son éternité,
Parce que tu es doux comme un berger,
Et fort comme le lion de la terre où tu es né.
Tu rugis dans le silence qui vient,
Mais tu ne tues jamais avec tes mains.
La mort n’ose s’approcher de toi,
Tu la chasses hors de ton être-là,
Et je t’aide à la porter au-delà de toi
Pour que le temple et l’océan aient toujours un roi.
C’est un vent qui m’emporte loin
Mais ce trajet,
Est tendrement éclairé,
Il ne peut se faire sans tes yeux, tes mains
Car ils chantent l’étoile de notre amour.
Veux-tu être mon amour ?
Songer parfois quand tu sors des brouillards, à moi
Gagner les combats.
Te reposer dans mes bras ?
Mon amour pour toi est plein de rêves et de secrets.
Et ces rêves sont les seuls cadeaux que tu veux accepter…
J’en ferai des colliers de clochettes pour tes nuits,
Ils ne te réveilleront pas, ce sera pour toi, une autre vie :
Tu peux vivre plusieurs vies à la fois,
Tes adversaires ne comprendront pas,
Ne te trouveront pas.
Ils ouvriront les volcans,
Ils plongeront dans les océans,
Mais les cieux, ils n‘ y auront pas accès,
Je surmonterai ma licorne et j’interdirai
Même leur imagination de toi,
Invicible, tu seras.
Champion : des fleurs envahissent tes bras.
J’assiste à toutes tes victoires
Oui, tu mérites la gloire.
Je prends soin à ce que jamais tu ne franchisses la vallée du mal
N’essaie de déchirer tes étoiles,
Tu protèges toutes les lueurs du firmament
Tu les caresses à l’abri du temps.
Même durant son exil douloureux,
David continue à magnifier ce Dieu, qui semble loin de ses yeux
Se mêlent en lui mélancolie et espérance,
C’est la raison pour laquelle, la harpe chante dans le silence.
Quand David se tait, ses mélodies continuent à venir jusqu’à moi,
Il me parle dans ses rêves depuis là-bas
Et là-bas ce n‘est pas si loin
C’est tout prêt de notre destin.
C’est pour cela que je t’entends toujours,
La seule gloire que je veux connaître est ton amour.
Même si l’amour n’a rien de glorieux,
Le tien a toutes les victoires dans ses yeux.
Tu es le seul homme dont je veuille me souvenir
Qui me fasse rire et sourire
D’une bouche qui s’appelle désir.
Est-ce un hasard si amour
Rime avec humour ?
Ce sont deux plaisirs qui s‘offrent spontanément :
On ne peut forcer quelqu’un à aimer
Ou rire naturellement
De bon cœur avec sa simplicité.
Avec sa magie et son étrangeté.
C’est bon la vie,
Quand elle se laisse bercer par les mélodies,
Par toutes tes symphonies
Que tu ramènes des nuits
Où ta harpe, parfois chante seule (?)
Et toutes les étoiles du monde entier veulent
L’entendre, alors elles se penchent aux balcons du ciel
Et deviennent de plus en plus belles