Toi et Moi Tome II - Sandrine Adso - E-Book

Toi et Moi Tome II E-Book

Sandrine Adso

0,0

Beschreibung

Il existe dans le monde onirique, des licornes une fontaine de jouvence qui donne vie et immortalité. Elle sort de terre et offre purification et régénération. À tout mortel qui la boit est accordée guérison, jeunesse. Exactement ce que je ressens en te voyant. Alors notre amour remonte très loin dans le temps ; ces temps bibliques où se rencontrent la colombe et la fontaine de jouvence. Deux arbres sont alors évoqués : l'olivier pour la colombe et l'arbre de vie, pour la fontaine de jouvence Je suis ta colombe, tes rêves et tes soins, tu es mon olivier ma terre, et ensemble nous formons l'humanité.

Sie lesen das E-Book in den Legimi-Apps auf:

Android
iOS
von Legimi
zertifizierten E-Readern
Kindle™-E-Readern
(für ausgewählte Pakete)

Seitenzahl: 112

Veröffentlichungsjahr: 2021

Das E-Book (TTS) können Sie hören im Abo „Legimi Premium” in Legimi-Apps auf:

Android
iOS
Bewertungen
0,0
0
0
0
0
0
Mehr Informationen
Mehr Informationen
Legimi prüft nicht, ob Rezensionen von Nutzern stammen, die den betreffenden Titel tatsächlich gekauft oder gelesen/gehört haben. Wir entfernen aber gefälschte Rezensionen.



Dans l’extension permanente et exponentielle du progrès, l’être humain trouve puissance de l’action.

Cette dimension insécable de l’humanité, imprègne la vie des femmes et des hommes. Elle s’élance dans, tous les coins et recoins de leur intimité, malgré eux ; Mais aussi et surtout dans le confort quotidien créant des clivages encore plus forts entre les gens. Certaines personnes jouissent de la richesse et il y a ceux qui n’ont… rien d’autre que le coeur et l’esprit pour vivre.

L’avenir de toi et moi surgit avec cette force qui est caractérisé par le temps et qui engendre la douceur. C’est alors, la rencontre devant laquelle on se plie face aux différents mystères de l’existence. Celle-ci offre espoir et plaisir. La merveille humaine réunit ces deux tendances en une seule force que l’on appelle volonté.

À la question suffit-il de vouloir pour pouvoir (où il est bien difficile de répondre sans équivoque), le thème de la passion répond. Elle nous envoie ce flux d’amour qui nous unit poétiquement. Cet élan venu de nulle part qui me porte jusqu’à toi et toi vers moi.

Table des matières

La licorne bleue et la fontaine de jouvence

La licorne bleue et la colombe

La licorne bleue et la fontaine de jouvence

Un jour, je me promenais

Le pas léger,

Le coeur en avant

Et j’ai vu une beauté dont je ne soupçonnais pas l’existence.

Mais dont j’ai été enchantée, séduite par sa présence.

C’était un jour de mon temps,

Cette splendeur avait existé bien auparavent,

Elle semblait attendre non plus qu’on l’imagine,

Mais qu’on la dessine

En la regardant,

Dans ce moment hors du temps.

Mais il faut croire que ce jour était choisi,

Je vais vous raconter, si vous en avez envie,

Sinon mes mots seront l’hommage

À toutes ces images,

Surgies ensemble au sein d’une extraordinaire surprise.

Délivrant des sensations exquises,

Voir surgir la vie, s’écouler pour t’apprendre l’éternité.

Dans mon coeur, dans mes yeux elles resteront gravées.

C’est dans son écoulement,

Que s’écoule le temps.

Le temps se mesure par la course du soleil,

Et par les fées quand elles se réveillent.

Leurs clochettes tintinnabulent comme de claires étoiles d’amour,

Qui se disputent, en riant, de l’apparition du jour.

Je n’écoute plus que toi et les fées.

Les fées aiment nous regarder,

Nous éveiller,

Au même instant ?

En pensant qu’il existe encore l’océan.

C’est au moment de leur rencontre, que chante le premier oiseau

Alors il cherche l’eau,

Il vient boire à ta bouche

Puis vient boire à ma bouche,

C’est notre premier baiser,

Par les oiseaux et les fées.

C’est bon de chanter pour toi,

J’ai besoin de t’apporter de la joie,

Dès la matinée.

Chanter c’est penser.

Mais je ne suis pas seule dans mes pensées,

L’Homme avec qui je souhaite mêler ma destinée

Pense à moi, pour que je réalise

Le rêve complet qui ne se divise

Que si l’amour décide de repartir en mer,

Me laissant seule sur cette terre.

Pourtant la fontaine me disait,

Que tu ne me quitterais jamais

Même dans mon rêve éveillé !

Tout l’amour que mes yeux peuvent voir,

Ce que j’ai vu n’était pas aussi doux que ton regard,

Et pourtant là se trouvait une licorne heureuse

Peut-être parce qu’elle me sentait amoureuse,

Oui, la licorne se nourrit d’amour et de lumière

Et ce jour là je t’aimais déjà dans un poème écrit sur terre,

Pour toi et tout l’univers.

Mais personne n’a conscience de ses innombrables beautés,

Des mystères de la divinité.

Peut-être toi,

Mais j’espère que tu me raconteras.

Le ciel brillait,

Les elfes avaient conclu une paix

C’était vraiment une très belle journée,

Et… j’aimais ma vie,

Ta vie.

La vie d’un roi et d’un poète

Sont tous deux une quête,

Tu cherches à faire paraître, la lumière du jour,

Le poète ne sait que parler d’amour,

De cette humanité :

Lui rendre sa dignité.

Tu aimes voir l’éclat de l’aube

Pour cet instant, je porterai ma plus belle robe.

Et puis il y avait aussi

Entre des églantiers,

Cette fontaine qui donne vie

Et la jeunesse éternelle aux êtres étoilés,

La fontaine doucement appelait

Les enchanteurs et j’ai entendu la plus belle voix,

C’était le chant d’accueil des enchanteurs du bois.

La licorne elle aussi chantait

Le sacré pour le sacré : la licorne dansait

Transparente parmi l’eau limpide de la fontaine.

Le monde était bleu, sans peine,

Et la licorne montait

Et descendait

Les vallons,

Son galop, rythmait ma chanson,

J’étais allongée sur un tapis de feuilles et de fleurs

Et dans la chaleur douce du soleil, je pensais à ton bonheur…

Mes pensées t’imaginaient roi de ce pays sans combats,

Dont la seule loi

Est de veiller à l’ordre naturel de la vie :

Le renouvellement des existences, la survie

Des secrets

Qui gardent la clé

Cachée

Entre la nuit et le jour

Et qui veille toujours

À l’accès de ce monde de rêves

Pour tous les enfants.

Dans lequel ton innocence sera le complément,

Du parfum et de la sève,

De tout ce qui s’élève

Comme le plus beau chant d’amour d’un oiseau

Pour son arbre, pour son ciel.

Le voyageur tomba amoureux devant ce monde si beau

Et décida de le soustraire aux Vogons inexistentiels.

La Terre, par la force de sa fontaine, reste insaisissable,

Puisque l’eau transparente, quand elle va sur le sable,

Couche sur tes pieds, le nom de celle qui danse,

Pour apaiser la mélancolie du plus beau des rois :

Sur le rivage mon nom balance

D’une vague à l’autre vers toi,

Aux doux sons de ta lyre et de l’océan

Que comprennent certains enfants

Et quelques femmes qui couvrent d’or tes chants,

L’or qui te donne vie,

C’est pourquoi je refuse d’en porter

Pour que ta vie continue d’aller…

Et encore, et toujours la vie.

Le rêve est le véritable infini,

C’est pour cela que madame jouvence te parle dans la nuit.

Elle te parle de toutes tes vies,

Elle te parle avec douceur, amour et respect,

Puisque c’est ainsi qu’il convient de s’adresser à la royauté.

Un roi, qui veut, qui sait aimer.

Et attendre sous un ciel étoilé,

Pour m’embrasser éternellement,

Et regarder les fleurs sourire au vent.

Ton attente a pris fin,

Dieu m’a rapprochée de tes mains,

Et la fontaine de jour recommence à fleurir

Puisqu’elle t’a vu sourire.

À mon tour, je recommence à rire.

Je souris lorsque tu ris,

Je ris lorsque tu souris,

Pendant ces quelques moments de bonheur,

Tu penses au milieu du soleil et des fleurs

Et toutes ces vibrations sont tour à tour lumière et espoir,

Que je recueille quand vient le soir.

Je rêve de toi,

Et dans ce pays là,

Des voix me parlent de toi :

J’entends : mais cela restera le secret,

Qui me procure joie et vitalité.

Comme cette fontaine où tu vas te baigner,

J’aimerai être cette eau pour couler,

Le long de ton corps

Délicatement lorsque tu dors.

Tes rêves sont mon océan,

Tu es mon premier serment,

La promesse éternelle de n’aimer que toi !

Même si tu es fatigué d’être roi.

Je serai pour toi, cette fête qui te donnera envie de marcher,

De vivre au rythme de la divinité,

Travailler en dansant, en chantant dans un lieu caché de ton esprit

Tu es revenu d’une galaxie

Qui t’offre l’ubiquité de travailler et de fêter la vie,

Les deux, comme mes deux mains

Que je pose sur ton visage comme je le fais quand tu es loin.

Ma pensée vit pour exister pour tes matins.

Dans les rues de tous ceux qui te cherchent pour te voir,

N’aie pas peur de la gloire.

Du ciel viendra pour toi

Des signes que toi seul comprendras,

Je soufflerai sur les nuages pour que le ciel soit encore plus pur,

Que tout cet azur,

Oui l’Éternel aime regarder dans la mélancolie de tes yeux,

Ainsi tu feras partie du ciel,

Le grand roi qui ne laisse jamais de séquelles,

Parce que ta bonté est à la fois miel et feu.

Et tes mélopées sont des délices.

Pour toutes les filles et les fils,

Mais pour moi, elles sont devenues le dialogue,

Avec les anges et le décalogue :

La reconnaissance et le culte du vrai Dieu,

La condamnation de l’idôlatrie.

Les apparences ne trompent pas mes yeux

Et je t’aime de plus en plus, à chacun des pas de ma vie.

Et je marche loin

Aussi loin que la fontaine résonne dans le matin.

Et le son de l’eau s’allie au son de ta lyre majestueuse,

Oui, tu rendras sans doute la terre heureuse,

Car tes amis t’aiment et te comprennent

Et te sourient constamment, pour t’aider à oublier la haine.

Ils voient jour après jour,

S’élever mon amour,

Pour toi.

La présentation à chaque fois

Du meilleur homme qu’il soit,

Et tu existes,

Alors je persiste,

Dans l’univers de survie que j’ai créé

Pour glorifier la plus simple vérité

Une poésie libre qui n’appartient à aucune école,

Et qui se veut être de simples paroles,

Pour chauffer ton courage.

Te laisser entrevoir le pays des sages

Dans un fragment du temps passé

Qui revient d’un monde sacré vers un nouveau monde,

Encore meilleur, où dans tes bras je fais la ronde,

En te racontant les histoires des étoiles qui ne font qu’éclairer

Les parterres de fleurs.

Les oiseaux aux sept cents couleurs,

Que tu trouveras dans ma demeure.

Si tu me fais l’honneur,

De venir jusqu’à moi.

Pour écouter mes roses d’amour parler de toi,

Et t’emporter dans un monde de plaisir,

Un monde qui te fait chanter et rire,

Surtout lorsque je me débats avec le temps :

Tu me manques tellement

J’éprouve ce désir de t’aimer, juste te voir souriant.

Mais tu as le secret de pleurer,

Je serai là pour te réconforter.

Ma maison,

Ressemble étrangement à ta maison,

Et souvent je me demande où tu vis,

Comment est ton temple, reconstruit…

J’irai à ses portes, cachée derrière le rideau pour t’apporter,

Le plan venu du ciel pour cacher ton alliance,

Ainsi mon roi pourra prier, gouverner en sécurité, aimer

Et moi j’aurai à nouveau confiance

Dans ma force pour te sauver

Des ennemis,

De la vie !

La vie : c’est le premier pouvoir d’une femme.

Te porter jusqu’au fond des yeux, te nourrir,

Et pour toi faire mûrir

Tous les fruits de ton âme.

De ton corps

Tu ne connaîtras jamais la mort

Puisque je la chasse d’un rire.

Je suis en correspondance avec les fées,

Et elles m’ont promis,

Au nom sacré de la vie,

De veiller de toute leur clarté

Sur tout notre bonheur

Et ce n’est pas si grave si parfois je ressemble à une fleur ?

J’ai la responsabilité des couleurs

Je poserai dans les yeux du pouvoir, un filtre de transparence

Tous les Hommes auront la même chance.

Pour qu’ils ne distinguent les couleurs de peau

Et du plus misérable homme, les mots ;

Qu’enfin tous les hommes ne souffrent plus de racisme,

De fascisme,

D’antisémitisme.

Nous avons tous le droit d’attendre la pluie fertile,

D’un ciel qui parfois ne reste pas immobile.

Tu connaîtras le ciel de mes bras,

Et mon roi,

Verra défiler toute ma vie

Pour qu’il trouve un lieu de sécurité,

Pour ces envies,

Je le monte au sommet

De sa dignité

Pour qu’à nouveau, il retrouve le sourire

Avec le coeur qui chavire

D’un soleil à son désir.

Et ta lyre devient l’écho lumineux de mes rêves qui flottent

Prêts à libérer tous les zélotes.

Sur les ondes de lumière qu’elle transporte

De la toute première à la dernière porte.

Et je m’endors chaque soir, cherchant toujours

À te donner plus d’amour.

À chaque pulsion de ma vie,

Tu prends toutes les couleurs de mon énergie,

Et chacune d’entre elles déroulent devant toi, le tapis

De justice devant le sacré.

Si Dieu n’existait pas,

Où aboutirait notre joie ?

Les fleurs n’auraient pas cette beauté,

Ni toi, ta royauté.

L’océan me rapproche de ton monde caché,

Cet inconscient bleuté,

Et je vois tes larmes couler,

Derrière le plus beau sourire qu’il m’ait été offert de contempler :

Je passerai à côté du temps,

À côté du vent,

Pour caresser tes yeux, ton visage et sentir ta bouche

Amener jouvence jusqu’à ma couche

Et être encore plus douce quand tu me touches.

Tes mots deviennent la vague de mon mental :

Mon esprit s’élance vers ton étoile,

Par cette mer inconnue, où je ramasse l’or dont tu ne veux pas

Pour que ta royauté soit la couronne que je touche,

Et ton sacre l’ultime souche

Et ramène à ta plus belle loi :

L’amour… Dis-moi,

Mon roi,

L’as-tu trouvé ?

Voudras-tu le porter,

Avec ton armure

À qui je murmure,

Des poèmes

Qui disent je t’aime,

Des poésies,

Qui te parlent de ma vie.

Ne vois-tu pas,

Que je suis si près de toi,

Et que ta mélancolie

Devant ces chants incompris,

Sont des rochers qui explosent tes songes.

Je suis un sérum de vérité, je chasse toutes sortes de mensonges.

Alors, je tapisse le roc de mousse,

Pour que ton existence soit de plus en plus douce.

J’ouvrirai mon coeur plein de ton soleil,

Et ensemble, nous savourerons nos merveilles,

Car sais-tu c’est ta fontaine,

Qui éveille toutes les graînes.

Tu donnes vie,

Et je te rejoins dans le paradis

De l’existence,

De tes si raffinés sens.

Tes yeux sont feu de ma lumière,

Ta bouche est une prière,

Douce, chaude, exceptionnelle

Elle porte l’irréel au réel,