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Sandrine Adso

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Beschreibung

Parmi la profusion du monde il y a des temps et des lieux sacrés : le kotel et le temps des licornes, tout ce qui petit à petit pierre par pierre m'a offert la liberté. J'ai grandi dans un monde ni bleu, ni rose ; un monde bleu marine comme le ciel et la mer et c'est parce que j'ai fait des rencontres extraordinaires d'un Booz hugolique et biblique que j'ai découvert le soleil dans mes nuits... le baiser et l'amour de Ruth pour Booz ; il s'agit probablement de transferts et de contre transferts, soit en rendant cette rencontre plus facile (transfert positif) soit en la brouillant (transfert négatif) et tout mon esprit s'est ouvert, sa conscience et son inconscient. Inconsciemment je redécouvre mon père, je rêve de vivre par et dans simplement l'air, oui j'aurais voulu être un oiseau pour vivre du haut du ciel, la victoire de David. Consciemment je découvre la chanson orientale, et tout se transforme en apprentissage. Tout mon être devient sa lumière, ou ses sanglots bleus. Certains jours se fixent dans le temps : lundi 22 juillet 2001. Ce jour là je suis entrée en intimité avec l'eau et je ne savais pas trop si je devais être d'eau et / ou de feu. À cet instant là c'est la vision idéale du roi de mon coeur, et il m'aura fallu presque vingt ans pour que cette perception idéale devienne toi, mon amour, mon ange et mon coeur et que je découvre sous ses nuits de galop la vraie vie. Dans ce recueil de poésie, vous trouverez un extrait bref de ma thèse où j'évoque ce qu'est pour moi "la vraie vie" au sens rimbaldien. La poésie, son écriture et le mode de vie qu'elle propose embellir le laid, monter au sommet le sublime, est le meilleur moyen d'écriture de la vraie vie, car comme le disait Arthur Rimbaud "le poète est voyant" qui définit ainsi son oeuvre et son programme poétique.Toi, oui toi puisque pour Rimbaud "je est un autre" dans sa lettre à Georges Izambard.

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Seitenzahl: 69

Veröffentlichungsjahr: 2020

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Psyché retrouve Éros et Éros retrouve Psyché constamment, malgré la jalousie d’Aphrodite, puis finalement sa bienveillance car elle sait à quel point cet amour est fort et sincère. Un jour Aphrodite, la déesse se rend compte que sa popularité baisse car Psyché d’une grande beauté est adulée, adorée, par les hommes. Elle appela alors son fils Éros, le dieu de l’amour et lui ordonne de la rendre amoureuse de l’être mortel le plus affreux qu’il soit. Mais le dieu Éros se blesse lui-même avec une de ses flèches et tombe éperdu d’amour pour Psyché. Après l’obstacle du monstre et de la famille destructrice, le soir elle attend que son mari s’endorme et allume une lampe. Là elle découvre un être sensible, muni d’ailes éclatantes de beauté, un visage fin et délicat, une peau douce et veloutée. Jamais Psyché n’avait vu d’être si beau. Aphrodite exige que sa brue trie une montagne de graines. Irréalisable, puis deux autres défis. Éros aperçoit sa femme inanimée, là il implora Zeus de donner à Psyché sa femme, le don d’immortalité. Il accepte et redonne vie à Psyché ainsi que l’immortalité.Retrouvailles mythiques qui surprennent, étonnent et donnent envie d’en découvrir plus sur l’amour. L’influence des mythes réside dans la puissance des images : les monstres, les dieux, les enfers.

L’amour que j’éprouve pour toi va au-delà du plaisir, c’est une jouissance télépathisée, nous pensons l’un à l’autre parce que nous nous désirons ardemment… et depuis très longtemps.

Tout en toi est plaisir : ta beauté, ta sensualité, ton émerveillement devant la vie, tes yeux profonds, ta bouche suave, ton torse puissant, tes mains douces et volontaires, ta voix que j’espère chaque jour. Tu es précisément l’idylle dont je faisais plus que rêver, tu es ce qui me fait vivre matin après matin depuis que j’ai découvert l’océan, car mystérieusement l’amour naît avec le contact de l’eau, oui mystérieusement… depuis l’enfance nous avons grandi l’un en pensant à l’autre, puis nous nous sommes reconnus : je t’ai vu et la joie céleste est descendue en nos âmes. Tu es le seul à qui j’accorde une légilimancie, tu es l’eau que boit la rose, le soleil qui fait germer les blés, le seul homme pour qui j’ai plaisir à être femme.Le plaisir que nous ressentons l’un pour l’autre correspond au désir de Dieu quand il créa Adam et Ève… , peu m’importe la connaissance puisque tu m’aimes ; cependant il est vrai que j’aime t’apprendre la couleur des vergers au printemps et tu es l’intelligence qui me donne envie de vivre toujours, si tu es près de moi pour partager toute l’intensité de la beauté.

Parfois tu peux être l’intensité des orages, des vents, des tempêtes mais tu ne détruis rien (zéphyr) L’union de nos deux âmes est symbolisée par le couple arbre-rocher, l’un représente le principe femelle, l’autre le principe mâle. Nous grandissons en totale harmonie. Chaque instant auprès de toi est une immense joie… Ne le sens-tu pas, mon amour ?

Table des matières

Kotel

Le temps des licornes

Ma liberté

Ni rose, ni bleu.

Booz de mon soleil, de mes nuits,

Quand Booz embrasse Ruth

Quand Ruth aime Booz

À mon père

Être comme l’air

La chanson orientale

L’apprentissage

À la victoire de David

Sa lumière

Les sanglots bleus

Lundi 22 Juillet 2001

Si le feu

Une prière

Le feu

Il est le roi

Mon ange et mon coeur

Ses nuits de galop

Conclusion

Kotel

Le jour était beau et bon

Et j’ai senti ton prénom, Kotel

C’est ainsi que l’on t’appelle

Et devient ma raison,

Tant de beautés,

J’ai ressenti ton éternité,

Tant de lumière

La simple prière…

D’un peuple d’amour

Merci toujours

D’être là,

Tu brandis l’éclat

De son amour

De sa ferveur,

Une larme un jour,

De ce respect, vers un bonheur…

Mur tu t’élèves

Jusqu’aux portes des cieux

Et l’étoile de mes rêves

Brillent sur la pierre de Dieu.

Le jour était sans horloge,

Et j’ai pleuré ta splendeur,

Et tous s’interrogent,

Quelle heure…

Et quel temps

T’as dessaisi de notre amour ?

Destruction un soir sans vent,

Tu rejoins sa gloire pour toujours,

Tu subsistes

Tu persistes.

Fort de milliers d’anges

Le temps pose cet étrange

Pouvoir

Que d’unir

Kotel

Au ciel.

Certains soirs.

Merci d’aimer

Merci de porter

Encore les pierres,

De la noblesse et fière…

Étoile et mur

Sont la lecture

De la lumière universelle

D’Israël.

Et mes mains sur toi

Et mes yeux éblouis de ton éclat

Le temps ne te cherche pas,

C’est toi,

Qui reste parmi les tourmentes

Et tu promets des enfants

Qui dansent et qui chantent

Dans la douceur de tous les instants,

Qui ont caressé ta blancheur infinie

Ton émotion et ta vie,

Et j’ai senti

Mon cœur au sein de ton esprit.

J’ai emporté ta vision comme un trésor

J’ai gardé ta lumière et m’éclaire encore.

Redonne l’espoir

D’une terre pure et d’ivoire.

Kotel dors dans les bras de Jérusalem…

Et tu reverras la joie

De ton peuple, danser avec ses lois,

Dans des chants et deux cœurs qui s’aiment.

La vie est toujours plus forte

Mais ce coeur qui bat là,

Frappe à la porte

De nos premiers pas.

Et vers toi je reviendrai

Humble et fière de ta beauté.

À présent je te garde,

Sur le chemin où seul s’attardent…

Les promesses…

Alors ?

Reviennent les caresses,

Les soleils d’or ?

J’ai chanté en mon âme,

Ce jour là,

Et j’ai vu la flamme

Qui ne brûle pas…

Et le vent qui passe devant

Lui-même prend son temps,

L’amour

Et son Amour…

Se mêlent dans le jour

Tous unis

Partagent une vie,

Donnée par l’Éternel…

Kotel…

Et qui sait,

Quand je te reverrai ?

Et poserai mes mains sur toi ?

Inondé des lettres, et de la Torah ?

Aucune Raison, aucune folie,

Ici,

Juste le silence de Dieu

Et l’Homme et la Femme, deux

Créatures

Au bord du mur.

Au bord de l’amour

Et de cet infini jour

Où je tremblais pure ;

Devant ta merveille… d’amour

D’amour…

Merci.

Le temps des licornes

Le temps de la licorne n’est pas le même,

Que celui de l’homme qu’elle aime,

On dit qu’elle préfère chanter

Et mourir que s’en aller…

Loin de la clairière

Et de sa lumière.

Elle veut apaiser

L’homme de l’éternité.

Et la licorne attend

Mais au bout du temps…

Elle va partir

Loin de cet avenir.

Elle aurait voulu entendre les sons

De sa voix,

Et partir vers l’horizon

Avec ce compagnon.

Elle aurait voulu voir son sourire

Avant de partir.

Mais amoureuse de la vie,

Elle cherche et attend à l’infini.

Elle attend en silence

Et ne livre plus ses secrets.

Car le vent a pris dans l’errance

Un amour espéré.

La plus belle image :

Tu peux la voir sage…

Assise près de la fontaine

Redoutant le pas de la reine,

Qui lui volera ce guerrier.

La licorne, maintenant

A peur du temps et

Tremble sous le vent.

Qui connaît

La fragilité

Des douces licornes,

De la dernière licorne.

Les ruisseaux qui la protègent

Renvoient le son muet

Des amours sur les berges,

De ses flancs et de son éternité.

La musique invite son amour

La nuit invite son amour,

Mais qui peut voir son chagrin

Quand au bout du matin,

Le temps lui aura tout repris :

Amour, silence et nuit,

Sans amour,

Affronter le jour.

Le silence des licornes claires

T’appelle, pour recommencer

À chanter dans l’unisson de la prière

Dans le feu et dans la nuit, de l’espoir qui renaît,

Chaque instant,

Elle pense, elle aime

Elle attend,

La licorne aime.

L’inconnu

Et le mystère,

Le destin nu

D’une étrange lumière

D’une vérité,

Que seul l’Amour sait…

Alors, elle attend

Puis…Elle se fera éternité

Et partira en quête d’un nouveau temps.

Cherche et trouvera

Celui qui saura

Lui épargner

L’insulte du silence et de l’éternité.

Ma liberté

Ma liberté, c’est une fenêtre

Que je te donne, parce que je t’aime.

Mes rêves sont une fenêtre

Que je te donne, parce que je t’aime.

L’air, le vent, la vie

L’amour, et la folie.

En ouvrant, les volets,

Je t’ai laissé entrer.

Premier oiseau de mes songes

En rêvant de toi, tu longes

Ma prière et mon espoir.

La volupté, son écrin d’ivoire ?