Erhalten Sie Zugang zu diesem und mehr als 300000 Büchern ab EUR 5,99 monatlich.
2013-2016, trois années d'élégies amoureuses, des mots au fil du coeur et des sens. "Elle avec elle. Elle sur elle. Elle contre elle. Et moi qui contemple elles qui s'épanouissent d'amble. Rien de plus beau qu'elles voguant l'une sur l'autre dans la pénombre d'une chambre que le soleil doucement ensorcelle. Comment ne pas frémir devant ce désir esthétique ? ..."
Sie lesen das E-Book in den Legimi-Apps auf:
Seitenzahl: 147
Veröffentlichungsjahr: 2022
Das E-Book (TTS) können Sie hören im Abo „Legimi Premium” in Legimi-Apps auf:
À Jill que le Ciel a poussée vers mon Rivage
Sanglots
Boire
Joie
Voyage
Sanctuaire
Rêve éveillé
Objet de désir
Rugissement
Elle
Routine
Trahison
Branle-bas
Frustration
Entendons-nous bien
Dans la pénombre
Noir et blanc
Mélancolie
Cette bouche
Lune
Miroir
Douceur
Poitrine séductrice
Troubles
Étonnement ingénu
La nuit
Tristesse
Érection
Légèreté
Les apparences
Couleurs bretonnes
À la pointe
Mystère
Le moulin
Provocation
Peinture
Insondable
Remous
Moribond
La bougresse
Nîmes
Saintes-Maries-de-la-Mer
Hiver
Apparences
Un destin
Désirer le désir
Substantifique
Suffocation
Désolation
Effervescences
Elle se donne
Aimer
Fidélité
Le corps du délit
Lettre éplorée
Indulgence
Condoléances
Presque rien
Gélatine
Accompagnement
Méli-mélo
Chili
Blocage
Coccinelle
Irrémédiable
Désolation
Nous
Ses mains
Tapis volant
Galerie marchande
Les joies du vieillissement
Renoncement
Tremblement
Fatigue
Allégories sensuelles
Sein étoilé
Pénétration géométrique
Plongée fluorescente
Désire-moi
Extase bleue
Cubisme charnel
Extases
Voluptés bleues
Totem vénusien
Pudeur charnelle
Selfie mammaire
Île vierge
Provocation
Douche sensuelle
Totem mammaire
Échos
Espérance
La vie
Spiritualité
Ils
Nudité
Elle
Labyrinthe
Embrasement
Impact
Et si c’était l’amour
Ballet
Rapprochement
Le cœur améthyste
14-15/01/2016
15/01/2016
16/01/2016
16/01/2016
18/01/2016
21-22/01/2016
22/01/2016
30/01/2016
31/01/2016
31/01/2016
1 er février 2016
6 février 2016
19 février 2016
20 février 2016
21 février 2016
21 février 2016
23 février 2016
24 février 2016
25 février 2016
25 février 2016
25 février 2016
26 février 2016
26/27 février 2016
27 février 2016
16/17 avril 2016
03/05/2016
04/05/2016
04/05/2016
04/05/2016
05/05/2016
06/05/2016
06/05/2016
15/05/2016
16-17/05/2016
28-29/05/2016
29/05/2016
31/05/2016
03-07/06/2016
07/06/2016
22/06/2016
23/06/2016
23/06/2016
26/06/2016
26/06/2016
26/06/2016
27/06/2016
27/06/2016
03/07/2016
03-04/07/2016
05/07/2016
06/07/2016
06/07/2016
10/07/2016
10-11/07/2016
11/07/2016
12/07/2016
15/07/2016
17/07/2016
17/07/2016
18/07/2016
20/07/2016
22/07/2016
22/07/2016
25/07/2016
28/07/2016
01-02/08/2016
02-05/08/2016
03-05/08/2016
05-07/08/2016
06-07/08/2016
07/08/2016
07/08/2016
07-09/08/2016
09/08/2016
10/08/2016
10-11/08/2016
13/08/2016
13/08/2016
14/08/2016
14-16/08/2016
14-16/08/2016
16/08/2016
24-26/08/2016
26-27/08/2016
28/08/2016
28/08/2016
31/08/2016
01/10/2016
05-07/09/2016
10-11/09/2016
14/09/2016
16/09/2016
17/09/2016
22/09/2016
01/10/2016
02-05/10/2016
05/10/2016
06/10/2016
07/10/2016
07-10/10/2016
09/10/2016
10-14/10/2016
12-21/10/2016
14-20/10/2016
16-20/10/2016
21-22/10/2016
01-02/11/2016
06-13/11/2016
09-13/11/2016
15/11/2016
16/11/2016
18/11/2016
19-21/11/2016
19-21/11/2016
20-21/11/2016
21/11/2016
21-23/11/2016
22-23/11/2016
23/11/2016
24-25/11/2016
25/11/2016
26/11/2016
26-27/11/2016
05/12/2016
05/12/2016
06/12/2016
07/12/2016
08/12/2016
10/12/2016
15/12/2016
16/12/2016
21/12/2016
21/12/2016
21/12/2016
22-24/12/2016
25/12/2016
25-28/12/2016
26-28/12/2016
27/12/2016
27/12/2016
27/12/2016
29/12/2016
31/12/2016
01/01/2017
Le sexe est mort
au détour d’un corps
arbre charnel figé à jamais
le sexe n’est plus
il a tout donné ailleurs
généreux auparavant
chiche maintenant
liberté contrainte
ou peut-être contrite
comment savoir assurément
le sexe est mort
entre des bras efflanqués
la vie n’est pas un fantasme
elle a besoin de mouvements
plus d’imagination
trop peu d’attrait
comment savoir vraiment
le sexe a envie de libertés
de virtuosité de légèreté
de spontanéité de voracité
de tout sauf de monotonie
et d’enchaînements
le sexe s’éteint de langueur
accumulée sous une couette
tellement désabusée
qu’elle hoquette
elle a donné sans compter
elle s’est donnée avec volupté
rien n’est plus comme avant
pas entre ces bras ballants
pas avec ce corps échoué
la peur chevillée
dans le bas-ventre
virus insidieux
mais rien ne peut jamais être comme avant
la vie n’est pas un songe
tout fantasme atterrit
dans les ronces
tu ne seras plus que
ce que tu es
le sexe est mort
sur le chemin de Compostelle
les illusions aussi
envies inatteignables
il reste l’amour
il reste toujours l’amour
et le mûrissement
le bonheur immense
d’être ensemble
.
Boire, boire. Se griser les neurones. Se saouler l’esprit ergotant. Plaisir pernicieux. Plaisir innocent ? S’alcooliser sans compter. S’évader ou s’évanouir. Balancer entre légèreté et lourdeur, gaieté et gerbe. Boire, boire. Alcool facile, réveil indocile. Qui boit plus que de raison ? Quelle est cette oraison du corps et de l’être revendiquée comme un bien-être ? Boire et s’oublier. Boire pour se lâcher. De l’alcool pour oser. Désinhibition épanchée. Boissons désœuvrées. Boire pour s’amuser. Se déchaîner. Pour créer. Ou pour se créer. Ou peut-être se décréer ? Inaccessible jouissance de l’alcool. Je n’arrive définitivement pas à comprendre ce plaisir enivré de lui-même. Vieux démiurge à jeun. Liberté d’être sans être imbibé. Boire, boire. J’ai appris à aimer la vie autrement. Je préfère m’épancher à tes lèvres, ma douce ivresse d’amour. Définitivement. Barman, encore un verre d’amour et de passion insensée !
Joie intense
une hirondelle sur le toit
joie soudaine
qui comble d’une ivresse
euphorisante
vivre est un jardin d’émois
joie de la savoir existante
au creux de moi
comme le chant d’une source
qui ruisselle dans un sous-bois
joie de profundis
qui m’interpelle à la croisée
d’une pensée rebelle
elle est ma joie elle ma ritournelle
tout est si simple
et si lumineux
j’avance sur un chemin
qui nous emporte tous les deux
vers un horizon
joyeux.
Il y a autant de façons de voyager qu’il y a de façons d’être. Sois et tu voyageras au fil du tant. Au fond de tes entrailles bruisse comme un appel du large. Voyages intérieurs. Infinis voyages intérieurs qui vous mènent au-delà des frontières du cœur. L’amour est tout quand il est libéré de nous. L’amour est temps lorsqu’il est ivre de vent. Voyager au gré des sentiments, relié au firmament. Au firmament de nous deux voyageant sur un amour sidéral. Que les corps sont pesants, que les corps sont légers, selon le regard que le voyageur porte sur sa vérité. Voyager à tes côtés. Je veux voyager auprès de toi. Découvrir la vie comme on explore le monde. Ce monde qui nous crée à ce chaque instant de notre éternité. Aimer sa solitude telle une suprême liberté. Solitaire nous naissons, solitaire nous mourront. Que j’aime être seul entre tes bras ! Que j’aime cette solitude qui nous brasse, qui nous fait nous. Voyager à tes côtés. Voyager à t’écouter. Voyager dans ton regard éploré. Voyager sur la vague qui nous a reliés. Oser, oser voyager à deux, oser se pénétrer des étoiles de la jouissance singulière et multiple. Oser mourir à soi-même, à nous-mêmes, chaque jour, à chaque moment, pour renaître encore plus flamboyants. Voyager en toi pour mieux caresser la lumière de ma solitude. De notre solitude d’aimants amoureux. De la berge, un regard voyage sur les ailes d’un cormoran qui s’envole vers l’Océan de toutes les espérances. Sens-tu ma main posée sur ton sein ? Elle voyage dans le lit si chaud de ton cœur si beau. Je veux te voyager éternellement.
L’été se meurt
retour de fraîcheur
sortir de l’impasse
des sexes qui trépassent
étalon pétrifié
pouliche figée
dans le champ indocile des jours
l’herbe folle vacille d’amour
croassements sur les cimes
roucoulades dans l’abîme
il faut croire pour oser
et oser pour croire
que l’été reviendra
dans une volute de chaleur
engrossant une pouliche fringante
avec cette douce sauvagerie
qui étalonne les cœurs.
L’été indien frappe à la porte
viens ma douce que je t’emporte
dans le sanctuaire
qui nous transporte avec ferveur.
Sa main ses mains ses doigts son doigt
mon corps ma chair mes sens nos sens sa chair
sa main sur mon corps sur ma chair mes seins volupté volupté
sa bouche sa bouche sur mes sens en émoi, en alerte, en attente attente
de sa bouche sur le folâtre, l’angoissé, le somptueux, l’insatiable, l’éphémère, le Phénix, le timide
son corps sur mon corps chair à chair la peau perle collage amoureux fluides
fluide sa bouche fluide le chibre dans sa bouche fluide sa main qui chambre
et son doigt qui fouille le fondement fondu dans cette fougue féline et fantasque, fantastique fusion
jouir et faire jouir jouir dans sa main dans sa bouche entre ses seins
en elle sur elle par elle pour elle mais jouir assurément
et se réjouir de jouir indéfiniment infiniment reconnaissant de ce don sublime
viens me faire jouir inopinément viens me faire délirer follement en tout lieu
sans prévenir sans attendre sans comprendre
baise-moi baise-nous baisons biaisons nos peurs d’un autre temps
désirs vivre n’est que désirs désir de vivre toi que j’aime de vie intense
jouissance gerbe de jouissances jaillissements implosion, explosion
extension au fond de nos regards embrasse-moi à pleine joie Olympes
je rêve ou je vis je vis ou je rêve non, je rêve où je vis
et ma main soudain caresse ton sein, maladroite mais vivante, si vivante enfin, et mes doigts…
Tu crois que j’ai rêvé ?
Le soleil se met à chauffer. Aurore !
Toujours elle dit oui. Rarement non. À tout heure, par tous temps, elle dit oui, parfois elle râle, un peu, le temps que ça se passe ou d’être submergée par ce plaisir impromptu qui s’impose soudain à ses sens. Soumise. Pour le meilleur et pour le pire. Soumise. Objet de désir bien plus que sujet. Être en dessous, dans les bras impérieux d’un missionnaire, même irrespectueux. Être en dessous par-dessus tout. Ou par derrière, pourquoi pas. Mais surtout pas au-dessus. Elle apprécie si peu Andromaque. Elle ne préfère pas chevaucher les mâles en rut. Elle peine à être dominatrice. Chair objet du désir. Ou cher désir réifié. Elle est si généreuse. Elle se donne autant qu’elle donne, sans compter. Sans barguigner. Femme fleur. Femme cœur. Corps et âme tournée vers le don de soie. Toujours elle a dit oui. Rarement non. Objet de désir ouvert aux quatre vents, jusqu’à la tempête parfois. Vive désillusion. Profond désarroi. Je te veux sujet de toi-même. Uniquement sujet de ta vie. Je te veux sujet de désir. De ton désir. De notre désir. Quitte à en mourir de soupirs avariés. Je te veux libre à jamais. Libre de dire non. Et oui aussi, si tu le veux.
Tu n’appartiens qu’à toi, mon amour.
Quel est ce chibre qui rugit
du fond de ses ténèbres surgies de l’oubli ?
Quel est ce chibre que chambre
le temps qui s’égoutte depuis si longtemps ?
Je veux savourer ces seins aux tétons
chancelant sous la rigueur des sentiments !
Je veux inonder ta chair répandue
au-dessus de mes soupirs tel un bonheur ivre !
Je fantasme. Je pléonasme. Je spasme.
Le désir est un délire souverain.
Me répandre sur toi, en toi. Par toi !
Bouche féline. Langue câline.
Quelque chose chavire au tréfonds de nous.
Est-ce moi ? Englouti par mes soupirs.
J’aime être voyeur lorsque je vois tout ton être
se réjouir de disparaître dans la jouissance de renaître.
J’aime m’exhiber devant tes yeux
à l’éclat soudain ravageur, lorsque tu vois battre
mon sexe dans les éblouissements de ses pleurs.
Quel est ce chibre qui tremble
du tréfonds de mon esprit en peur ?
Je m’égare, il me semble. Ne suis-je pas mort
à l’instant de venir au monde ?
Je voudrais être un mâle, je suis un homme.
Je voudrais la combler et je l’encombre
de mes rétractions restrictives et de mes apnées.
Demain est un autre jour. Une autre vie peut-être ?
Dormez bien, rugissements de mes entrailles.
Je l’aime comme un dément à la porte du Paradis.
Elle avec elle. Elle sur elle. Elle contre elle. Et moi qui contemple elles qui s’épanouissent d’amble. Rien de plus beau qu’elles voguant l’une sur l’autre dans la pénombre d’une chambre que le soleil doucement ensorcelle. Comment ne pas frémir devant ce désir esthétique ? Comment ne pas se recueillir devant ce plaisir extatique ? Je vibre et je me rends. Je suis un homme, un amant repenti. Elles épépinent mes sens avec la grâce suave et sauvage de femmes en partance pour mes songes. Je suis vivant. Elles sont belles. Dévorez-moi maintenant !
Ces corps qui s’entrechoquent sans saveur, choqués d’avoir perdu leur ardeur
Corps informes autant qu’infirmes
Se tringlant comme on se mouche pour se soulager les sinus génitaux
Il n’y a même plus d’érotisme sous les draps
Tout est mécanique, hygiénique
Ils se touchent à peine, ont oublié ce que sont les caresses, et
les baisers n’en parlons pas
Plus de fantaisie, de rires, d’allégresse, de ferveur, plus que
de l’ennui de baiser
On y va, on y va pas ?
On se soulage, on se soulage pas ?
Pas ce soir, trop fatigué(e)
La chair est molle, triste, aphone
Presqu’au seuil de la mort, d’une mort affective et cérébrale
Le regard est las et résigné ou un peu lubrique, relent d’un
leste passé
Elle se met en position soumise, à moins que ce soit lui
Il bande mou, s’affale avec peine sur l’objet de ses soupirs
Un, deux, trois petits coups de cul flasque
Quelques ahanements qui ont oublié d’être virils
Pendant qu’elle a les yeux qui s’égarent sur la toile
C’est fini. Pour ce soir. Pour un moment
Elle a fait son devoir, lui le sien, croient-ils
C’est affolant. Et il n’y a pas d’âge pour enterrer
La liesse des sentiments, les couleurs du plaisir, les joies de la
découverte de l’autre
Tous ces corps sans esprit que l’on croise sans le savoir
Il paraît que c’est la vie…
Pas la mienne, pas la nôtre
Rassure-moi !
Le pouvoir rend con, c'est entendu depuis si longtemps, plus encore lorsqu’il est obtus. Il a mordu dans cette pomme-là, elle l’a perdue et ceux qui ont cru en lui aussi. Il est maintenant imbu de son sceptre sans gloire. Sûr de son savoir. Qui m’aime me suive sur la patinoire ! On crève dans la rue, des enfants crèchent sous les ponts et la misère s’agglutine à l’ombre de son bananier repu. Mais c’est accessoire. Le pouvoir règne en maître absolu. C’est l’avantage du pouvoir, me direz-vous. Le Bourget est loin. La plupart de ses promesses se sont perdues dans des calculs savamment biscornus pour tenter de cacher l’indigence de son manque de tenue. Le peuple se meurt et offre sa vertu au diable tout ému de tant de générosité, ainsi pourra-t-il mieux faire front dans cette nation qui n’y croit plus. Le pouvoir est-il discriminant ? Les mouches vont-elles changer d’âne plus vite que prévu ? Nous le saurons assez tôt. Tant qu’à être trahi, autant prendre le temps…
Elle gémit dans la nuit
de plus en plus vite de plus en plus fort
la couette gémit aussi
de plus en plus vite de plus en plus fort
et je jouis de l’entendre jouir. Ravi.
La main qui se tend dans la chaleur de la couette. La main qui se pose sur le corps brûlant au petit matin. La main qui monte, la main qui descend, qui explore et qui s’attarde. Sur le sein puis sur l’autre, sur le galbe moelleux, et les tétons qui s’érigent peu à peu sous l’effleurement d’un doigt intrigant. Elle qui gémit à la lisière du sommeil. Le chibre déjà tendu depuis longtemps. Il ne pense qu’à elle et au désir qui l’a saisi au saut du réveil. La main qui longe le corps, savoure le ventre, s’arrête sur le mont frémissant qui imperceptiblement se tend sous la caresse silencieuse, désireuse, avant de devenir une invite à s’enhardir. La main devient plus vorace dès l’assentiment des premiers soupirs. Cortège d’arpèges aux roucoulements sensuels. La main fait ronronner la chatte qui salive. Elle accélère le mouvement. Les doigts s’immiscent avec une jouissive effronterie. Elle n’a pas encore ouvert les yeux. Il sent l’impatience de ses sens sous sa paume désormais humectée d’allégresse vaginale. Il la recouvre soudain de son corps. Il plonge en elle. En rugissant. L’enlace dans ses bras impérieux. Elle déploie les yeux. Les ongles plantés dans son dos. Ses jambes nouées autour de ses reins. Et puis non. Finalement, non. C’est trop banal. Trop rebattu.