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Durant l'année 2019, l'auteur a écrit un poème par jour, faisant ainsi une sorte de chronique poétique inspirée par les événements quotidiens et des rencontres. Chaque poème est une pièce de puzzle émotionnelle sans pour autant qu'il y ait d'ordre chronologique à respecter pour lire cet ouvrage. L'auteur vous convie à l'accompagner pendant un an de sa vie. Bonne lecture.
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Seitenzahl: 147
Veröffentlichungsjahr: 2022
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Manque
Gratitude
Pourquoi
Qui es-tu amour infini ?
Vibrato
Voyage
Au bonheur de vieillir
Je n’ai plus d’âge
J’ai honte
Aveu
Je t’aime
Ma fille
Sagesse
Polychrome
Danse
Cocktail
Ma lumière
Dans tes bras
Femmes de cœur
Mon lit
Bodhisattva
Fantasme ou réalité
Les mots
Deux cœurs
Anathème
Éternité
Refoulement
Vitalité
VITALITÉ
Oser à tout âge
Désorienté
Elle survit
Chaque jour une nouvelle vie
Rêve
64
Corps de misère
Chères projections !
Les chasseurs
Une histoire de temps
Mantra
Iconoclaste
Agnostique
Platonique
Bonjour
Ose
Le zizi
La vie revient
Prière de ne pas déranger
Facteur sourire
Senior
Son lotus
La zézette
Fred
La broyeuse
Sophie
Larmes de dépit las
On peut rêver
Chère soleille
To be or not to be
Bruno
François
Aimé
Émilie
Pierre
Braderie
Pierrette
Le mot
Libres comme la vie
Au diable la morale
Antoine
Cultueux
Trop c’est trop
Il faut se lever
La vie !
Un jour comme un autre
Elle s’enfonce
Le cœur serré
Jeanne
Dialogue de sourds
Solenne
Dans mon lit
Frais kilométriques
Nadine
Cécile
Marie
Janine et Fred
Notre-Dame de Paris
Ma solitude
Je n’ai plus l’âge pourtant
Je suis triste
Avis de décès
Paradoxe ?
Monstruosité intégriste
Hurluberlu
Gouvernés
Un bonheur simple
Écologie hépatique
Confidence
Tempête
Épris
Qui suis-je ?
Intolérances
Confession
Déclaration Aurorale
Tanka faire
Présence
Printemps
Vibrations
Variation poétique
Crépuscule solaire
Mystère mystère
Le sais-tu ?
Question de sons
Ébullition
Sanglots printaniers
Christophe
Éphémère
Parfaitement
La vie est belle
Éminence
Comblée
Yoni
Heureux
Alsace éternelle
Bouffonnerie
Je l’attends
Grand-père
Joie
Première chaleur
Hypocrisie
Prends
Polyamour
Margot
Prière humaniste
Nos peurs
Quand le verbe prend chair
Bouddha me dit
Sous la robe
Orage
Elle
En mon royaume
Lumière
J’ai envie de toi
Paradis
Toulouse
À une inconnue
Abeilles
Youpi !
Explique-moi
Le bonheur
Vous
Je n’ai que
Trumperies
Carole
Égoïstement
Capes d’Agde
Matinale
Les cigales
Dormir
Sérénité
Apocalypse
Bouton rose
Démocraties en berne
Le cri de la tomate
Rut
Le temps passe trop vite
C’est ma vie
Feu éphémère
Galimatias charnels
Triolyrisme
Oscillations existentielles
Simplement
Dépendance
Imparfait
Matinale
Révoltes multicolores
Torride
Ad-diction
Un malheur peut en cacher un autre
Exhortation
Question de goût
Irresponsables
L’honneur de Greta
Panne
Alléluia !
Le vent
Progression
Elle est
Peinture vivante
Vite alité
Écoute !
Y z’ont pas
Les vieux rapiats
Aux âmes citoyens !
Épidémie autoritariste
Conditionnalité
Elle est
Science-fiction ?
Difficile deuil
Marcel Luther King
Vogue la liberté
Interrogation
Dans les étoiles
Thérapie solaire
Le chant d’Éole
Extase
Mais eux
Le sais-tu
Hédonisme
Misanthrope
Humain
La pluie
Woodstock/50
Épicurisme
Clepsydre
Lassitude
Aveu déclaratif
Con-passion
Éden gastronomique
Conseil d’initié
Passé éternel
Le bonheur
Incarnation inspirée
L’Amour n’est pas un mantra
Plénitude
Mosquito guérilla
Fontazelles
À demain…
Fin de saison
Comme un pot
Seul au monde
Zénitude
Religions
Nonne
Enfant lumière
SexeS
Si loin, si près
Balançoire
Allégresse
Sexes-têtes
Elle-s
Ce qui
Bras langoureux
Eva Luca
Vie poétique
Unité
Machos
La tortue
Perpignan
Eus [eous]
Les vieux
Domaine
Instantané
Changement de saison
On a le droit de rêver
Le Roi Sommeil
Infiniment
Le dos
On tue
Désespérance
Fulgurance
L’essentiel
Humeur céleste
Venteux
Ta réalité
Matin d’automne
Épuisement
Lumière du matin
Paysagiste
Intemporalité
Il fait gris
Nostalgie ?
Allegretto
J’aimerais
Tant et tant
Constipation
Consumérisme
Cycle
Jours d’automne
Aveu de faiblesse
Femme !
Vivre
Apocalypse now
Disons-le
Éternelle
Noah
Par amour pour toi, ose !
Déclaration à mon fils
Hallali
Jalousie
Déploration
Aller-retour
Les feux du désir
Volonté suprême
Question de saison
Agitation vaine
Certains jours
Chacun son ivresse
Pleurs
Écoute intérieure
Voyage
Automne cévenol
Anne
Étouffement
Éveil
Abstinence
Libération
Vivre par-dessus tout
Dis-moi (entre nous)
Paisibilité
Course à l’échalote
Humilité
Sentiments
Déclaration spontanée
Le piton de la Fournaise
Je suis automnal
Simplement
Ombre ou Lumière
Maternage
Obscurantisme
Dans mon lit
Sourire
Prière païenne
Maladie inopportune
Prendre
Vœu pieux
Bonjour l’hiver
Simple comme le bonheur
La mort verbale
Désir céleste
Que sais-tu ?
Zombi
Tectonique sensuelle
Jusqu’où
Parfaitement
Agitation nocturne
Les cons
Elle est
Souffrir ou mourir
Elle voudrait
À fleur
Tanka radieux
Peter Gabriel
Love
M. le sourire
Tempête
Omerta
Cette société
Anarchiste
Solitaire
Petit-fils
Le bonheur
Raffinement
Toutes ces nuits
et ces jours
sans toi
loin de tes bras
ta chaleur
ta douceur voluptueuse
et ton amour
le sourire de ton amour qui vaut tous les discours
le temps passe
toi là-bas
moi ici
toutes ces nuits
jusqu’à ton retour
et le désir qui croît
jour après jour
en pensant à toi
à nous
sur cette voie
qui exige tout
l’amour est fou
fou
de toi
À mes deux amours
Les malices du destin
connaissez-vous ces malices-là
celles qui se rient de la morale et des principes ?
Liberté chère liberté
sans qui rien n’a véritablement de sens
Je les aime d’amour
allez savoir pourquoi
est-ce important d’ailleurs de savoir ou de comprendre
je les aime un point c’est tout
et elles m’aiment itou
Doux anathème
je les aime
je leur dois tant
tant de bonheur tant de lumière
d’amour et de sérénité
Polygamie des cœurs
polyphonie des sentiments
polychromie des corps
vivre est tellement simple entre libertés partagées
et ce destin facétieux
qui nous a drossés sur la même plage
Je suis béni des dieux
il fait si bon être vieux
sous certains adages
Pourquoi toi et pas une autre
pourquoi nous et pas eux
pourquoi la vie pourquoi la mort
pourquoi ceci pourquoi cela
Parce que c’est toi et pas une autre
parce que c’est nous sur le même chemin
parce que la vie c’est l’amour
parce que je t’aime sans détour
Qu’importe pourquoi peu me chaut comment
je suis nu face à toi
sans marcel sans falbalas
je suis nu et plein de joie
L’amour se vit la vie s’aime
en faisant fi des pourquoi et des comment
parce que l’amour tout simplement
parce que la vie est sans paravent
Qui es-tu
douce épouse astrale
femme stellaire
qui s’élève vers les étoiles ?
Je n’ai pas ta sagesse
je n’ai que mon bon sens
à t’offrir
toi si grande et si petite
si forte et si fragile
si clairvoyante et si naïve
toi qui as la vie devant toi
mon amour indicible
au cœur de joie
si libre et si vraie
Je suis un vieux chêne
auprès de toi qui crois
un chêne plein de sève
et de joie
je tutoie les étoiles
mais je ne les pénètre pas
je suis un terrien à la glaise sensuelle
un amoureux de l’école buissonnière
depuis que je suis sous ta Lumière
Qui es-tu
ma douce étoile ?
Entre esprit et chair
spirituel et sensuel
devenir homme
épanoui
lorsque la liberté danse
de l’une à l’autre
la vie rayonne
intense
entre amour et amour
spiritualité et sensualité
la plénitude du sentiment
de complétude se déploie
entre bonheur et bonheur
sentiments et sensations
être vibrations
gorgées de joie
entre elles et moi
le Ciel et la Terre
vivre est un rire
à deux voix
la vie est belle
auprès d’elles
Dans tes bras enveloppants, je voyage.
Dans ton cœur accueillant, je voyage.
Dans ton être rayonnant, je voyage.
Dans ta sensualité généreuse, je voyage.
Dans ta présence amoureuse, je voyage.
Dans ton désir exaltant, je voyage.
Dans ton sexe envoûtant, je voyage.
Dans ton amour pétillant, je voyage.
Mon amour, je voyage où que tu sois.
De cœur à cœur, de corps à corps, je voyage dans des contrées aux lumières iodées qui fleurent une douce liberté.
En pensée, je voyage vers toi jusqu’à te ressentir sur le rivage d’une mémoire partagée.
Je voyage. Je voyage. Jusqu’au prochain accostage.
Je voyage dans le temps suspendu qui nous sépare et nous rapproche.
Je voyage dans la galaxie de l’amour, sans frontières ni détours.
Je voyage.
Combien de soleils se sont couchés au-dessus de ma tête ?
Combien de soleils se sont levés sur ma vie ?
Combien de saisons faites de jours et de nuits, de lumières éblouissantes, de clairs obscurs radieux et de temps chahutés ?
Combien de rires ai-je entonnés ?
Combien de larmes, de doutes, d’errances mais aussi d’évidences et de convictions ?
Combien ? Je ne sais plus mais quelle importance ?
Tout se dilue et se fond en une vie. Un homme. Un corps, biscornu mais un corps. Un esprit. Une âme.
Et l’amour.
J’ai l’amour que je suis.
Je suis l’amour que je donne.
Je suis mon bonheur, l’explorateur de moi-même, de la lumière aux ténèbres.
Je suis l’amour que la vie dépose à mes pieds, fleurissant mon cœur d’éternel transi.
Je suis la somme de leurs cœurs, venus nourrir ma vieillesse sans âge de leur fraîcheur infinie.
Je ne suis pas sage et trop vieux pour le devenir, je ne suis qu’un humble mécréant de la vie.
Au bonheur de vieillir tout resplendit lorsque demain se conjugue aux présents de leurs regards épris.
Et cette sérénité que l’amour transcende avec l’allégresse de celui qui a vécu intensément.
Je suis la liberté que je m’octroie.
Et l’amour qui m’enivre délicieusement.
Qu’il fait bon vieillir au coin du feu de leurs bras !
Demain est un autre jour, un nouvel écho de mon éternité.
J’ai l’âge de mes sentiments.
Je n’ai plus d’âge depuis longtemps
j’ai la jeunesse de mes amours
et la vitalité de leur rayonnement.
Je suis confit au-dedans et déconfit au-dehors
pourtant je vibre toujours passionnément
j’ai les bouffissures du temps
le corps grippé mais tellement ardent.
Bien sûr je n’ai plus 20 ans
puisque je suis éternel maintenant
j’ai la jeunesse de mes amours
que les rides caressent tendrement
Quelle est cette fougue qui me rajeunit
de jour en jour pour les siècles des siècles ?
Je n’ai plus d’âge depuis longtemps
pourquoi faire je suis mon propre temps.
J’ai honte à ma France.
Où sont passés les Lumières,
que sont devenus les Hugo, Zola et Schoelcher,
où sont les Jaurès et les Mendès d’antan ?
Le Peuple est seul à défendre la démocratie,
ils ont mis leurs œillères d’idéologues bornés,
comme une muleta de bonne conscience,
pour gouverner à l’abri de leur cénacle.
Rien n’est pire que l’aveuglement des dogmes,
la violence attise la violence, vous le savez.
Pourquoi provoquer une insurrection ?
Qu’ils sont pathétiques ces intellos sans horizon,
ignorant que la supériorité est une faiblesse
de novice ou d’arrogant mal dégrossi.
Qui sème le vent récolte la tempête,
qui sème l’amour récolte la lumière.
La souffrance, la misère, les injustices
appellent à de l’humilité et de la solidarité.
Pas à cette guerre de tranchées que vous imposez
sans discernement ni panache. Par fierté mal placée.
Pourquoi, ô ministres intègres1, ne prenez-vous pas
un casque et un bouclier pour aller en première ligne,
courageusement, auprès de ceux
que vous offrez à la vindicte de la foule excédée,
délibérément excédée par vos ordres irresponsables.
J’ai honte à ma France,
si belle et si diversifiée.
Vive la liberté !
Je n’ai que les mots
vers sans rime ni saison
poésie née de l’homme dès sa première extase devant un arc en-ciel ou peut-être une femme
je n’ai que les mots pour dire pour faire le tour de la Terre embrasser l’univers à mes pieds
partager l’amour
et puis les doutes et les mystères et la souffrance cette souffrance si humaine
et les envolées lyriques devant un parterre de fleurs orné de papillons folâtres
je n’ai que les mots pour dire la vie qui foisonne derrière l’apparence
que les mots pour dire l’apparence si insignifiante à bien y regarder
si subalterne face à la victoire de la vie
de la vie sur la mort de la mort sur le fatalisme
je n’ai que les mots et l’amour
l’amour des mots et des femmes qui m’entourent
femmes que j’aime et que je désire ardemment
et la jouissance de tous les sens en éveil
et ce mouvement indéfinissable qui m’anime comme une vibration venue d’ailleurs
et exalte le jour le temps qui passe et l’éternité de l’instant le Vide sublime qui nous habite
dire la beauté tout simplement et le rire la magie du rire
l’ombre dans la lumière et le coin de lumière qui frémit en chaque ombre
je dis les mots pour vous dire la relativité de toute chose et son absolu vulnérabilité
ils s’éteindront avec le souffle qui se fondra dans les astres
Tout n’est que fusion interpénétration tel un inépuisable coït des énergies
Je n’ai que les mots pour dire
et mon cœur pour aimer
femmes qui me transcendez avec légèreté
1 Ô ministres intègres !
Conseillers vertueux ! Voilà votre façon
De servir, serviteurs qui pillez la maison !
Ruy Blas de Victor Hugo (toute la tirade édifiante peut être lue ici : http://lechatsurmonepaule.over-blog.fr/article-v-hugo-ruy-blasbon-appetit-messieurs-o-ministres-integres-122230730.html).
Je t’aime
je n’ai que cet amour à t’offrir
pour apaiser les tourments qui te déchirent
je t’aime
toi aux douloureux soupirs torturés
par un amour mort avant d’être né
je t’aime
laisse le temps au temps de cicatriser
laisse le deuil faire son temps de maturité
je t’aime
je n’ai que mon amour à t’offrir
je n’ai que ma présence pour t’apaiser
je t’aime
mon épaule t’attend et mon cœur aussi
rien ne peut remplacer le temps d’une vie
je t’aime
le jour se lève toujours à un moment
le bonheur appartient au détachement
Si belle et si douce
le cœur chancelant sous les bourrasques de vent
si forte et si fragile en même temps
garde ta voie même dans les tourments
des tourments tu en auras d’autres
au milieu des éclats de soleil
la vie est un chemin sans pareil
qu’importe les regards pourvu que ton âme garde sa fraîcheur
nous sommes seuls profondément même entourés de mille
gens
solitude illuminée par l’amour et la vérité
cette vérité qu’il est si difficile de partager parfois
mais qu’il est si bon d’explorer en soi
cahin-caha
vas
vas ton chemin je ne serai jamais loin
ma fille au regard d’azur
Ma généreuse sagesse méridionale
ma douceur angoissée
par ces ombres qui rôdent autour de ta sérénité
ma lumière vacillante dès que le jour pointe en toi
pour te guider vers la liberté qui te tend les bras
mon ineffable volupté gorgée de générosité
et d’irrésistibles envolées émancipées
comment ne pas t’aimer comment ne pas m’extasier
comment ne pas fondre devant tant de désarmante vérité
j’aime ta nudité limpide si libre et détachée
des chaînes qui empêchent la vie de respirer
je t’aime ma liberté je t’aime mon adorée
Sophie ma folle déraison ma légère émotion
je t’aime du haut de toutes mes saisons
je t’aime
Tu as le cœur dans les yeux
dans ton regard de femme bleu
bleu comme le Ciel qui inspire les âmes
Tu as les yeux foisonnant d’Esprit
emplie d’une spiritualité débordant de vies
vie d’étoile surgie de la plénitude du ciel
Tu as l’esprit regorgeant d’amour
amour de lumière vibrant de sérénité
que tu sèmes avec une douce prodigalité
Tu as le cœur tellement généreux
que le bonheur a la beauté d’une fleur
qui aurait la polychromie de ton âme
Que j’aime la vie sous ton oriflamme…
À Sophie
Mon corps chante
mon cœur aussi
mon esprit ronronne sous tes doigts épris
j’aime ta bouche qui me donne vie
son sourire si doux et généreux
son regard coquin lorsqu’elle s’ouvre sur l’infini
j’aime tes cris lorsque tu t’épanouis
que tu te régales des jeux de l’oubli
temps suspendu dans la fulgurance de l’instant
j’aime me perdre entre tes bras
j’aime l’amour que tu déploies
tout mon être danse quand tu es là
qui es-tu ma douce joie ?
Je t’aime
je crois