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Penser l'amour dans l'ombre et la lumière. Chercher le sens existentiel et poétique d'un quotidien qui se cherche sans rime ni raison. Ce recueil est le premier d'une collection qui comprendra dix-huit tomes au final.
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Seitenzahl: 78
Veröffentlichungsjahr: 2023
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À Mathieu et Élodie qui ont changé ma vie pour toujours
J’ai vu une fée, une fée aux cheveux blonds
Quand j’ai vu cette fée, mon cœur n’a fait qu’un bond
Ses beaux yeux verts me disaient viens, viens,
J’y suis allé mais il n’y avait plus rien, rien,
Que le reflet dans l’eau claire et limpide
Qui me susurrait, t’as été trop intrépide
Lorsque tu vois une apparition magnifique,
Vérifie de peur qu’il n’y ait une fin tragique.
Qu’il était beau mon espagnol
Avec ses yeux d’un noir de jais
Qu’il était beau mon espagnol
Quand ses yeux noirs me transperçaient.
De lui un fluide émanait
Qui me poussait à l’enlacer
De lui un fluide émanait
Qui me poussait à l’embrasser.
Qu’il était beau mon espagnol
Avec ses yeux d’un noir de jais
Qu’il était beau mon espagnol
Quand ses yeux noirs me transperçaient.
Mon cœur me disait attention
Il ne faut jouer avec l’amour
Mon cœur me disait attention
Cela finira mal un jour.
Qu’il était beau mon espagnol
Avec ses yeux d’un noir de jais
Qu’il était beau mon espagnol
Quand ses yeux noirs me transperçaient.
J’ai donc délaissé mon amour
Pour revivre au grand jour
J’ai donc délaissé mon amour
Sachant qu’en mon cœur il sera toujours.
Qu’il était beau mon espagnol
Avec ses yeux d’un noir de jais
Qu’il était beau mon espagnol
Quand ses yeux noirs me transperçaient.
Soleil, que j’aime ta couleur,
Soleil, que j’aime ta chaleur!
Que j’aime ôter mes oripeaux,
Pour que tu me lèche la peau.
Pour que tu me brûle la peau.
Soleil, fais-moi suer sang et eau
Toi, sans qui il n’est vie.
Quand je te vois, mon corps revit.
Tu fais mes joies, tu fais mes pleurs.
Soleil, tu fais mon bonheur!
Toi, sans qui il n’est de vie.
Soleil… tu es ma vie.
L’amour est venu frapper à mon cœur
Il m’a dit : « Laisse-toi aller au bonheur »
Mais je n’ai pas droit au moindre bonheur :
(Je suis handicapé, pour mon malheur!)
Je n’ai pas le droit de dire : « Je t’aime ».
Je n’ai que le droit de rêver,
Mais ça au moins, je veux le préserver.
Pouvoir dire en rêve : « Je t’aime »
Que ce soit à midi ou à minuit…
Vivre avec toi un amour passionnel
Ce sera un amour personnel
Un rêve où deux être auront joui
Tout cela pour qu’en réalité
Mon amour, tu n’aies de difficultés
À choisir entre un amour impossible,
Et un autre qui t’est accessible.
Les oiseaux m’ont réveillé ce matin,
Penchés sur les hautes branches du pin
Dressés fièrement devant la fenêtre.
Leurs doux chants emplissaient tout mon être
Et tels ceux qui envoûtèrent Ulysse
Me plongeaient dans un profond abysse
De rêve, où je me voyais pareil
A l’hirondelle, flânant sous le soleil,
En assistant à ce fourmillement
De petits êtres se bousculant,
Ne faisant guère attention à leurs pairs
Alors que moi je volais en plein air
Loin de tout cela et ivre, ivre
De joie et de soleil, enfin libre.
Il était beau, mon étalon bai,
Avec sa crinière sombre!
Il était noble quand il se cabrait,
Et qu’il galopait après son ombre,
Qu’il essayait de rattraper
En la poursuivant à travers près.
Il était fier, il était racé,
Et j’arrivais tout à le caresser ;
Lorsque son imposant regard noir
Sur moi se fixait plein d’espoir
Sentant que j’irai le promener,
À travers les prairies vallonnées ;
Qu’il pourrait trotter allègrement,
Sa belle crinière offerte au vent.
Je t’aime, je t’enlace, je t’embrasse…
Tu m’aimes, tu m’enlaces, tu m’embrasses…
Dans le foin tendrement je te dépose,
Ton corps délicatement à nu je mets…
Que ne puisse durer cet instant à jamais
Où on ne fait plus apothéose
D’un amour de deux êtres faisant abstraction
D’eux-mêmes! Ne vivant plus que leur passion,
Très loin des problèmes de ce bas monde.
Mais tout s’achève, même les beaux rêves
Où sont liés amour et passion brève,
Leur rendant le réveil plus immonde.
Pourtant qu’il fait bon rêver, laisser son esprit
Se forger un moule où l’amour n’a de prix.
Je t’aime, je t’enlace, je t’embrasse…
Tu m’aimes, tu m’enlaces, tu m’embrasses…
Ô toi, la plus belle création de Dieu,
Lorsque tu apparais, tu envoûtes mes yeux
Et tu emplis mon corps d’un étrange frisson…
Grâce à toi, de vivre j’ai une raison.
Ô femme, toi dont la beauté n’a de pareil…
Que j’aime sentir ta présence en mon sommeil!
Que j’aime quand tu m’offres ton corps à mon réveil!
Ô femme, toi ma vie, mon éternel soleil!
Tes louanges, je proclamerai toujours
Ô toi, Déesse de la Vie et de l’Amour.
Entre deux femmes est déchiré mon cœur
Toutes les deux font ma joie et mon bonheur
Hélas, cent fois hélas! Pour mon grand malheur
En France la monogamie est de rigueur!!!
Ô Ève, pourquoi de bijoux te pares-tu?
Alors que les plus beaux en toi sont incrustés…
En valeur mis par leur bel écrin, pailletés
De noirs cils, qu’à faire cligner tu t’évertues.
Lorsque je les regarde, mon cœur chavire,
Et comme un phare au milieu de l’océan
La nuit ils me guident vers ton corps doux et aimant,
Où avec volupté je vais me blottir.
Entouré de vingt, de cent, de dix-mille feux.
Vert de gris, scintillant de mille éclats : tes yeux.
Qui es-tu, où es-tu, Toi qu’on appelle Dieu?
Et dont on clame les louanges en tout lieu…
Tu veux que sur Terre règnent Paix et Amour,
Et pourtant des Hommes se battent tous les jours
En ton nom. Ils vivent en Terre britannique,
Leur guerre en vérité est politique!
D’autres te prient pour abréger leurs physiques
Souffrances. N’entends-tu donc pas leurs suppliques?
D’autres encore se tuent pour un chagrin d’amour
Et ils ne savent même pas ce qu’est l’Amour.
Moi, j’aimerais que de mon mal tu me délivres
Pour qu’avec la femme, que j’aime, je puisse vivre.
Toi qu’on dit si bon, si vraiment tu existes…
Pourquoi ne changes-tu pas ce monde triste
En donnant aux hommes une seconde chance?
Pourquoi n’en bannis-tu pas toute souffrance
Pour faire de cette Terre ensanglantée
Un paradis où les hommes frères pourront chanter?
Ô Dieu! Jamais plus ma vie ne sera la même :
Mon cœur ne vit que pour elle, qu’y puis-je, je l’aime…
Avant toi, ma vie était superficielle,
Car mes états d’âme j’avais mis en sommeil,
Derrière une cuirasse d’indifférence
Et de lyrisme. Seul moyen de défense
Que j’avais trouvé pour me protéger d’autrui,
Dont l’hypocrisie peu à peu m’a détruit.
De cette cuirasse j’essayais mais en vain,
De me débarrasser. Quand un beau jour tu vins,
Resplendissante de vie et envoûtante ;
Sorte de fée, nimbée d’une opulente
Chevelure auburn, qui mettait en valeur
Deux yeux verts, d’où émanait une douce chaleur,
Patiemment tu as réussi à me mettre
En confiance. Ainsi j’ai pu me permettre,