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La première partie de ce recueil a été écrite à quatre mains, entre janvier et juillet 2011. C'est l'histoire d'une passion amoureuse fulgurante. Nathalie était poète et musicienne, j'étais poète, tout était réuni pour que nous échangions en vers plutôt qu'en prose. Mais Nathalie souhaitant rester anonyme, vous ne connaîtrez d'elle que son prénom. Pour en savoir un peu plus, je vous invite à lire le recueil de nouvelles érotiques : Incarnations lascives, publié en autoédition en mars 2021. La seconde partie de ce recueil est inspirée par Peggy, autre amour éphémère. La troisième partie est consacrée à Jill, l'amour providentiel de ma vie, le chemin de ma liberté et le bonheur ultime.
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Seitenzahl: 144
Veröffentlichungsjahr: 2022
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AVANT-PROPOS
Shunga
Ikebana
Geishas
Haïku
Tanka
Amours éternelles
Nu
Une chatte sur un toit ouvrant
Sangsue elle est ma liberté !
Liberté inconditionnelle
Loup qui es-tu ?
Je tiens à toi
J'embrasse
Nathalie
Je suis.
Je serai
Libère-moi
Appétences triviales
Viens
Il attendait
« Si je mens »
Qu'est-ce t'attends ?
Prière d'exhumer
Tout un festin
Ton corps glorieux
La muse
Jeux amoureux
Jardine
Vole
Aéroport
Une brise câline
Telle
Ta volupté féline
Au diable l'avarice
Je veux
Je te cherche
Sous mes yeux
Notre maison
Le loup qui danse
Émerveillements
Dans le miroir
Voyage
Voyages
Pour
Ballade exotique
Qui suis-je ?
Notre destin
Échos lointains
Envoûtement
Danse
Accordéon
Entre-deux-mers
Au plus profond
Sensualité charnue
Adulte erre
La peur
Appariement
Pulpeuse
Nos sens révélés
Sens ascensionnels
Con-sentant
Chatterie
Vieillir
J'ai
Ma scène
Mort
Eurêka
N'attends pas
Pénétration multiple
Hésitations
Brume d'amour
Illusion d'optique
La venue de nos coeurs
Tabernacle
Rivages
Ravages
Asphyxie oppressée
À perte de vue
Ton univers charnel
Je te réjouirais tout
Crudité
Concupiscence
Cunnilingus
Souffrance existentielle
Inquiétudes impuissantes
Fantasme
Petite mort
Halètement
Sous la douche
Prière venteuse
Guitar dead
Impermanence
L’amour au téléphone
Des kilomètres
Des-espérances
Échos
Lit
Des mots
Minou
Point de chute
Atterrissage forcé ?
Le pays du Soleil Couchant
Mon prince
Lâcheté
THÉRAPIES POÉTIQUES
Carole
Gore
La vie
Je suis qui je suis
Cri étreint
Transcendance
Source
Escorte
Homme
Corps don bleu
Mon lit
Tourments nocturnes
Heureux
Fado
Trachée
Couleurs printanières
Douceur
Mélancolie
Café et chocolat
Colza
Charnalité
Silence radieux
Impressions vie
Elle jouit
Intense nudité
Spleen amoureux
Le courage d’être soi
La lumière d'un nouveau jour
Métaphore
Éloignement
Oser l'amour
Je vis
Elle exulte
Air de liberté éploré
Irresponsable
Animals
Confession
Incarnation sismique
Sublime conspiration
Orgasmes
là où elle m’emmène
Bouddha allongé
Prague
Le chemin
Éternité
Mes Anges
J'ai
Tristesse
Recroquevillé
Soi
Libertine
Vous
Callipyge
Cheminement
DE L’AUTRE CÔTÉ DE L’OCÉAN CHARNEL
Brésil
Chili con Jilly
Amour foudroyé
Liberté
Imaginer
Petit bouchon
Je t'attends
Me poser
Jamais
Pulpeuse
Elle a
Vibrations
Envolée passionnelle
Pucelle érotique
Déclaration d'amour
Mauvaise vie
Qui
Je l'attends déjà
Sérénade matinale
Voyages
Elle
Vieillissement
Effarouchée
Éloignement
Le matin
La nuit
L’après-midi
Le soir
Fidélité
Baiser
Homme
No sex
Bleus
Jeunesse
Renoncer ?
Bonheur
La teuf
Dévergondage
Angoisse
Juter
Apaisé
Matinal
Lui
Délivre-moi
La combler
Sous elle
Elle aime
Elle et moi
Dégustation
Apprendre
Je l’aime
Concert
Sexologie
Il voulait
Une vie ?
Prostration ultime
Fable à jouir
Ils ont
Elle
Interrogation existentielle
Nous
Être
Elle est seule
Hémorroïdes
Le rap de la chatte
Son bedon
Limites
Tristesse
Deep spleen
Éclaircie
Au-dessus des nuages
Printemps
Dépression
Accident d’amour
Bandaison
Interrogation écrite
J’ai peur
Cet amour
Comment ?
Moiteur
Surplomb
Trinité
L’amour
Du même auteur
La première partie de ce recueil a été écrite à quatre mains, entre janvier et juillet 2011. C’est l’histoire d’une passion amoureuse fulgurante. Nathalie était poète et musicienne, j’étais poète, tout était réuni pour que nous échangions en vers plutôt qu’en prose. Mais Nathalie souhaitant rester anonyme, vous ne connaîtrez d’elle que son prénom. Pour en savoir un peu plus, je vous invite à lire le recueil de nouvelles érotiques : Incarnations lascives, publié en autoédition en mars 2021.
La seconde partie de ce recueil est inspirée par Peggy, autre amour éphémère.
La troisième partie est consacrée à Jill, l’amour providentiel de ma vie, le chemin de ma liberté et le bonheur ultime.
En espérant que vous trouverez votre bonheur dans ce recueil foisonnant, je vous souhaite un bon voyage élégiaque dans mon univers poétique aux allures de chroniques diversifiées.
Le ciel sanglote
sur mon lit sans terre,
la vie est un mystère
que je n'ai pas déchiffré.
Je suis un vieux solitaire
que la nuit a sevré
de vérités sommaires
et d'amours réinventées.
Je suis le monde à l'envers,
l'écho de mes propres vers
plongeant dans ton univers.
Femme qui me fait tant espérer,
j'ai le sexe qui se met à rêver
entre tes cuisses sur moi déployées.
Fais-moi jouir le temps d'un baiser
qui se prolongerait à satiété.
J'ai le sexe qui se gonfle de liberté
contre ton corps à peine dénudé :
érection sous un nénuphar grisé
par tes féminines charnalités.
Rejoins-moi sur l'horizon ouvert
d'une si sensuelle verticalité,
jusqu'à la jouissance éjaculée.
Le ciel peut sangloter…
Je suis vivant.
La vie qui m'a engendré
me pénètre de toute part.
Que ma verge converge
au fond de toi ! Le désir est une foi.
Femmes, laissez-moi
encore être votre amant.
Je suis vivant !
Lumière du petit matin
sur le rayonnement du forsythia
qui s'essouffle si vite de sa splendeur
éphémère
mon esprit germe
un bouquet de fleurs pousse sous ma tête
c'est la vie l'amour le désir et la liberté
sens-tu leurs fragrances épanouies
qui embaument le jour ébloui ?
Femme que j'ai aimée femme que j'aimerai
c'est le printemps sous un soleil resplendissant
mon regard sourit
à mon être qui rit
de bon cœur
Je t'aime nue
dans ton regard kimono
Femme venue
te blottir contre ma peau
Les cerisiers sont en fleurs
à l'horizon de tes seins
Entends-tu mon émoi
les trois coups du shôko
entonné ma plongée
dans ta lumière de soie
Les cerisiers sont en fleurs
au creux de l'ode de Vénus
Femme-liesse laisse-moi
encore saisir avec ardeur
nos ferventes jouissances
aux confins de nos désirs intenses !
Femme hirondelle
prends-moi sous ton aile belle
comme le désir
Jour de soleil bleu
le printemps dans mon regard
plein d'amour heureux
Vibrer dans sa conque drue
tel un oiseau éperdu
Femmes qui m'avez aimé dans la froideur de l'hiver : je vous
aime !
Amour virtuel
Femme qui chevauchera mon vit de ta croupe crue, viens-moi vite !
Déclaration
Marions nos regards épris dans l'onde de nos corps si surpris.
Cérémonie du thé
Que la chaleur qui s'écoule de son con enivre mes lèvres
nues !
Offrande printanière
Dans ma main, la douceur du petit matin : je te l'ai offerte.
Petite chatte mal assurée
Avoue sans préjuger
Je suis venue flairer
Qui de moi, qui de vous
A une nuance près
Tenait la vérité.
Tombée des nues,
Je fus
Tombée des nues,
Je sus
Que les étoiles sont au ciel
Ce que la vérité
Est au cœur de l’être.
En vérité je vous le dis
Les mots coulaient
Je m’abreuvais.
Les mots dits et interdits mots
De tous les maux
Les mots décrits et censurés
Juste pour le plaisir.
En vérité je vous le dis
Les mots coulaient
Je m’apaisais.
Les mots criants, les mots tus
Les mots graves, les moteurs.
L’idée me vint, avant de partir
D’aller cueillir les mots.
Pour défouler ma gratitude
Je pris l’Inspir
Je m’adressais à l’homme
Aux pieds nus.
D’un commun accord
Nous avons trouvé
Refuge
L’écriture une maison.
Une mère qui vous abrite.
Merci Monsieur
Que votre nom soit gratifié
Votre volonté soit fête.
Merci Monsieur
Que votre nom
Souffla l’idée.
Merci Monsieur
Au nu pluriel,
Merci Marcel !
Petite chatte mal assurée
Avoue sans préjuger
Je suis venue flairer
Qui de moi, qui de vous
A une nuance près
Tenait la vérité.
Une chatte sur le rebord de mon être
rissole de désirs
sous la fenêtre de mes mots
de chair et de sang
Le cœur et l'esprit
se sont mis à fredonner
d'une voix assurée
au fil
d'un pas de deux à peine entamé
Corps don
corps dés
corps niches
vibrant sur l'horizon
d'une destinée gorgée de malices
La vie est un mystère qu'il ne faut pas déchiffrer
Toute liberté est sensuelle
…
Libère ton âme
Et souris-moi
Cordon coupe haie
A quoi te sert
D’être à tâcher
Les souvenirs…
La vie est un mystère qu'on ne peut pas déchiffrer.
En date
Une chatte sur le rebord de la fenêtre
Miaule de désir
Car au dehors
La lune a frémi
Sous un ciel dévoilé…
Liberté consensuelle
Liberté consent-elle
D’un pas de deux à peine affirmé
La voilà qui s’affole
L’air de rien elle s’envole !
Je ne suis attaché que par ma liberté.
D'être, d'aimer, de désirer, de jouir et de la penser, ma liberté.
Aimer de désirs intenses et flamboyants cette chatte qui miaule si ardemment sous mon corps battant.
Ou désirer d'un amour inopiné et débridé cette chatte qui miaule à affoler mon corps si enflammé.
Et mon cœur qui s'étonne de tant d'étonnements.
Vers quoi s'envole-t-elle ? Vers quoi nous envolons-nous ?
Quel est ce ciel consensuel qui dans un fracas sensuel s'engouffre en nous ?
« L'homme prévoit, Dieu rit »
Être fidèle à soi-même.
Le sait-elle ? Le savez-vous ?
Sous la lune qui s'émancipe sur nos corps épris, un hymne égrène les premières notes d'un credo serti.
Consent-elle à ôter ses oripeaux ? À s'envoler vers nous ?
Le printemps crépite. Le soleil est plus beau. Soudain il est beaucoup plus beau.
Une chatte miaule.
Sous le regard d'un loup sens dessus dessous…
Une chatte miaule sans dessus dessous
Le printemps palpite
De tous les feux de Dieu
Venu applaudir les esprits
De la nature refleurie.
Les premières notes
S’enhardissent.
Déjà suivent
Des plaintes minaudées
Que le désir déchire
Au plus profond
De la nuit
Qui s’éclaire
Déjà suivent
Des plaintes accordées
Que le désir arrache
Au plus profond
De la nymphe transfigurée
Une chatte miaule sans dessous dessus
Cette chaleur
Qui cogne entre ses reins
Soudain le soleil
Est encore plus chaud…
Le loup
sorti du firmament où il rêvassait
pose avec fougue
sa main dessus la chatte sans dessous
elle était chaude
elle était vive
Le désir le déploie sous les cieux
lui arrache un cri d'émois trop longtemps silencieux
l'embrasser à plus soif
la révérer avec allégresse
la libérer de sa détresse
et la pénétrer avec liesse
Ejaculer toute la beauté de la Terre éclose de son mystère
se laisser renverser par la vie
respirer l'amour à pleins poumons
aimer
dans le brasier de nos êtres dévoilés
Dieu j'ai atteint un rivage
pourrais-je m'y accoster
Et sa chair qui frémit sous mes lèvres réjouies
j'étais à la source de l'Infini…
Une chatte amoureuse est sans dessous dessous
c'est le printemps c'est aujourd'hui c'est demain
c'est toujours c'est longtemps
c'est maintenant
elle est si loin elle est si proche
Dieu pose-la dans ma main
je ne sens plus qu'elle au creux de mes reins !
Nathalie
Ici
la vie
s'alanguit
sur un lit
défraîchi
Nathalie
Ici
mon cœur sanctifie
l'envie
mon corps crie et je crois
en toi
Nathalie
Ici
mon pénis ébloui
s'ennuie
de ton clitoris
en vie
Nathalie
Ici
tout nous relie
tout nous lie
tant nous rit
tant nous vit
Nathalie
Là-bas
entre tes bras
danse-moi
chante-moi
nos émois
Nathalie
tu m'as saisi
dans un vol de nuit
soudain rempli
d'un halo épanoui
Je suis conquis
J'embrasse la nuit dans ses bras exquis
j'embrasse la vie dans ses yeux épris
j'embrasse l'amour sur son corps séduit
j'embrasse la chair de ses seins réjouis
peau à peau corps à corps regards éblouis
au gré de nos lèvres affamées
bouge-moi !
J'ai faim de Vie…
Ne pleure pas notre futur,
Avant l'aube le jour s'est levé.
Toi contre moi, moi en toi,
Humbles amants enfiévrés
Allant d'amble dans le lit de nos émois.
Le temps est suspendu à nos baisers,
Il suffit de nous aimer
Et le bonheur peut s'accélérer.
Femme riante
Un brin insolente
Je suis.
Femme vibrante
De désirs inassouvis
Je suis.
Femme brillante
Aux mille fantaisies
Je suis.
Je suis femme
Dans tes bras.
Tendre,
La femme du point du jour
La femme de toute une nuit.
Femme désirante,
Je suis.
Femme libérée, je suis
Femme.
Que ne serais-je femme
Quand tu me tiens ?
Riante, vibrante, brillante, désirante
Je suis toute,
A la fois femme libérée.
Que ne serais-je femme quand tu me tiens ?
Femme oppressée
Le poids du passé
Un brin fragile
Un peu agacée.
Femme toute
Ame.
Femme toute
Ouïe.
Femme des mille
Et une nuit.
Que ne serais-je femme
Quand tu me tiens ?
Femme aimante
Femme amante
Femme.
Je suis femme
Pour toi et moi !
Femme de toutes les nuits tu seras
Femme de mes jours tu vibreras
je serai l'homme au sexe de velours
je serai l'amour au grand jour
je serai le rire des petits matins
je serai la fin et le moyen
je serai la chair et le sens
je serai la présence et l'absence
je serai la mort et la vie
je serai l'infini entre tes bras
je serai le gardien de ton temple
et son profanateur tout à la fois
Prends-moi ! Je t'en prie, ma joie, prends-moi !
Que serais-je sinon
qu'un Lancelot sans Graal ?
Offre-moi ton amour en offrande
offre-moi ton corps en libation
Femme, je hurle à la Lune
enfoui dans ton mont de Vénus…
Prends-moi dans tes bras
Fais-moi l’amour
Comme jamais
Je te saurai gré.
Prends-moi au petit jour
Fais-moi l’amour
Comme un fou
Je te serai près.
J’ai besoin de toi
Vibrant de chaleur
Jusqu’à l’heure
De ma petite mort.
Libère-moi
Attache-moi
Fais de moi
Ce que tu voudras.
Femme libérée
Enchaînée
Comme je suis
Fais-moi l’amour
Je te serai vraie.
Mon amour
Mon tendre
Amant
Prends-moi
Dans tes bras
Fais-moi
Jouir
Et rougir
De jouir.
Fais de moi
Ce que tu loueras.
Je t’aime !
J'ai le sang qui pulse dans ma chair effervescente. Entends-tu tout mon corps qui exulte et t'exhorte avec la sauvagerie d'un amant aimant et sublimé ?
J'ai le cœur qui implose à force de chamader dans une poitrine bien trop étroite pour accueillir le flot incessant de tes baisers embrasés.
Niche tes nichons survoltés entre mes lèvres écarlates, que ma langue danse sur tes tétons érigés en imploration spartiate. Te faire jouir. Ô te faire jouir jour après jour, à tout instant, à chaque mot, au moindre regard !
Et ta main aux doigts fébriles et déliés qui s'emparent de ma hampe pour la faire chanter. Et ta bouche qui me suce à me damner. Me faire jouir. Ô me faire jouir jour après jour, à tout instant, à chaque mot, au moindre regard !
Me déverser à flots saccadés dans ton palais brûlant et déluré. Me donner à toi, me perdre en toi, de haut en bas, dans les tréfonds de toi. Nous faire jouir. Ô nous faire jouir jour après jour, à tout instant, à chaque mot, au moindre regard !
Jaillissement du stupre dans l'enclos de nos ébats sucrés-salés. Baise-moi. Que ton con caracole hardiment sur mon vit chancelant. Bander, branler, ébranler, mouiller, juter, chuter, soupirer, jusqu'à exhaler le plaisir d'aimer jouir de nous aimer. Jour après jour, à tout instant, à chaque mot, au moindre souffle.
Quintessence. Elle est la quintessence de mon essence. Je suis
l'essence de sa quintessence.
Je suis fou d'aile
en moi
tout vole en éclats
vaines certitudes futiles certitudes
que la vie balaye d'un revers de la voie.
Ô ma Bastet si féline et si câline
feule ton amour aux quatre vents de notre horizon
nous allons mourir ensemble pour renaître encore et encore
Déchaîner la liberté en arrachant tes lambeaux de
meurtrissures
viens ma tempête sentimentale
viens mon corps animal
viens entre mes bras fanal
et laisse-moi plonger dans ton sexe béant de désirs !
Quintessence. Elle est la quintessence de mon essence. Je suis
l'essence de sa quintessence.
Il attendait sur le seuil de son cœur
il voyait de la lumière en elle
il voyait de la vie il voyait de l'amour
la porte était entrebâillée
il attendait sur le seuil de son cœur
la vie est une hésitation
devant le vide de la Liberté
ouvre-moi à pleins poumons
je veux t'aimer !
Je m’en fous
Il m’en faut
Tu m’en diras
Il m’en fera
Elle m’en causera
Des soucis.
Des pensées
Déments songes
Si je mens
J’vais en faire.