Mes amis de la Lune - Jose Miguel rodriguez Calvo - E-Book

Mes amis de la Lune E-Book

Jose Miguel Rodriguez Calvo

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Résumé Dans un centre de soins ultra secret, de "l'Espace Centrer Houston" aux USA, un ancien astronaute est reclus et tenu au secret le plus absolu, depuis son retour sur terre lors de l'expédition Apollo 17. Considéré comme dément et déséquilibré, il intrigue les plus éminents spécialistes de la médecine psychiatrique, mais aussi les autorités civiles et militaires du pays. Depuis son inexplicable disparition pendant près de six heures lors de son instance sur le sol lunaire, il prétend avoir rencontré des êtres inconnus sur la lune et avoir noué des amitiés avec deux d'entre eux. "Numéro 1 et numéro 2". D'après lui, ils vivent sous la surface, dans un immense complexe, dont l'entrée est dissimulée sous le sol lunaire. La NASA et les autorités ont classé le cas « Top Secret ».

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Je tiens vivement à remercier les autorités de la NASA, et des USA, pour avoir permis l’utilisation de ses splendides photos, qui nous ont fait rêver, et surtout à signaler que les faits relatés dans cet ouvrage, qui ont servi de base à mon récit, sont totalement inventés et n’ont aucun rapport avec la superbe mission de « Apollo 17 »

« À nos petits Anges »

Ce roman est une fiction.

Toute ressemblance avec des faits réels, existants ou ayant existé, ne serait que fortuite et pure coïncidence.

Le Code de la propriété intellectuelle interdit les copies ou reproductions destinées à une utilisation collective. Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite par quelque procédé que ce soit, sans le consentement de l'auteur ou de ses ayants droit ou ayant cause, est illicite et constitue une contrefaçon, aux termes des articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

Sommaire

Résumé

Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

Chapitre 6

Chapitre 7

Chapitre 8

Chapitre 9

Chapitre 10

Chapitre 11

Chapitre 12

Chapitre 13

Chapitre 14

Chapitre 15

Chapitre 16

Chapitre 17

Chapitre 18

Chapitre 19

Chapitre 20

Résumé

Dans un centre de soins ultra secret, de "l'Espace Centrer Houston" aux USA, un ancien astronaute est reclus et tenu au secret le plus absolu, depuis son retour sur terre lors de l'expédition Apollo 17.

Considéré comme dément et déséquilibré, il intrigue les plus éminents spécialistes de la médecine psychiatrique, mais aussi les autorités civiles et militaires du pays.

Depuis son inexplicable disparition pendant près de six heures lors de son instance sur le sol lunaire, il prétend avoir rencontré des êtres inconnus sur la lune et avoir noué des amitiés avec deux d'entre eux.

"Numéro 1 et numéro 2".

D'après lui, ils vivent sous la surface, dans un immense complexe, dont l'entrée est dissimulée sous le sol lunaire.

La NASA et les autorités ont classé le cas « Top Secret ».

1

Robert T. McCall/Apollo 17 astronauts [Public domain]

— Numéro un, numéro deux, numéro un, numéro deux, mes amis de la lune, mes amis de la lune, numéro un, numéro deux...

Michael JOHNSON, de son vrai nom, John MILLER, répétait insatiablement les mêmes mots, comme une litanie, sans à peine sourciller, les yeux fixés sur le mur blanc et dépouillé de sa chambre. Nous sommes dans un centre d’internement psychiatrique ultra secret de la NASA à Houston au Texas USA.

John MILLER, n'est pas un patient quelconque, loin de là, il fut l'un des trois astronautes de la dernière mission Apollo 17. Dès son retour sur terre il allait être interné sous un nom d'emprunt, par les autorités de son pays, et son dossier classé « Secret Défense ».

Plus personne n’entendit parler de lui, ni de sa famille non plus, tous furent mis au secret et déplacés à l'autre bout du pays sous une nouvelle identité. Mais qu'elle était la cause de ces radicales et surprenantes mesures ?

Nous allons remonter le temps de quelques années.

John MILLER, fils d’un ingénieur en aéronautique de Houston, montrait très vite un insatiable intérêt pour l'aviation, et tout ce qui volait. Dès l'école primaire, lorsqu’on lui posait la question :

— Que veux-tu faire plus tard ?

Chaque fois, la réponse était la même :

— Voler haut dans le ciel !

Les années allaient passer et son désir ne faisait que croître, c'est donc avec la plus grande naturalité qu'il s’engagea dans l'armée de l'air, puis suivit les études, et, sans grande surprise, décrocha avec brio son brevet de pilote de chasse. Devenu l'un des meilleurs de sa promotion, il voulut aller plus loin, et, tout naturellement, il alla suivre l'entraînement spécial pour devenir astronaute. Ensuite, le moment était venu de faire ses preuves, et il fut retenu pour la mission d'Apollo 17. Il venait de toucher du doigt son rêve. Il ne restait plus qu'à l'accomplir.

La fusée « Saturn V » allait l'emmener avec ses deux autres camarades, sur notre satellite naturel.

« La lune ».

Il quitta le « Centre spatial Kennedy » (KSC) situé sur « l'île Merritt » en Floride le 7 décembre 1972, et il atteignit son but le 19 du même mois, avec son collègue Jack WILSON. Ils allaient poser les pieds sur le sol lunaire laissant leur troisième ami Amber BROWN, en orbite autour de la lune dans le « module de service », à l’instar des missions précédentes.

John MILLER et son camarade, une fois le « module lunaire » (LEM) posé, s'empressèrent de s'atteler aux diverses tâches prévues.

John, à un moment donné, s'éloigna un peu de la base, afin de découvrir les environs.

Son collègue étant affairé au ramassage de quelques échantillons, pris par sa tâche, ne put s’apercevoir que son coéquipier, s’était éloigné un peu plus que prévu, jusqu'à disparaître derrière une petite colline.

Dix minutes allaient passer et toujours pas de John en vue. Jack WILSON après avoir informé son collègue du « Module de service » Amber BROWN qui continuait ses rotations en orbite autour de la lune, partit à sa recherche, avec le « rover lunaire ».

Arrivé au sommet du relief, pas la moindre trace de son collègue John. Il avait littéralement disparu.

C'était impossible ! Depuis son emplacement, il aurait pu distinctement l’observer. Tous les alentours étaient parfaitement dégagés, mais pas la moindre trace. C’était quelque chose d'impossible, même s'il avait chuté, il aurait pu assurément l’apercevoir, son scaphandre blanc immaculé, pouvait se distinguer du sol noirâtre sur des kilomètres. De toutes façons, John n'aurait jamais pu parcourir de telles distances à pied. À ce moment, pour WILSON, ce fut la panique. Il crut rêver. Son ami n'avait pas pu disparaître, c'était impossible, oui totalement impossible.

Il resta planté sur sa bute pendant presque cinq minutes, se demandant ce qu'il allait faire.

Puis, sortant un peu de sa torpeur, il appela le centre de contrôle sur la terre.

Tout d'abord, ils crurent à une plaisanterie ! Mais il fallait bien se rendre à l'évidence.

Au « Space Center Houston », on lui donna l'ordre de vérifier scrupuleusement les alentours par tous les moyens. Depuis la terre, on essayait de le joindre et le localiser, sans le moindre succès.

Les angoissantes minutes s’égrainaient, sans sursis, puis les heures, et toujours rien. C’était quelque chose de fou, d'invraisemblable, d'impossible !

Mais la réalité était là. Tout le monde était abattu, le président tout naturellement avait été prévenu de l'événement.

Aussitôt, on interpella les journalistes accrédités sur le site, leur interdisant formellement la moindre diffusion de cette nouvelle. Absolument rien ne devait filtrer sous peine d’être accusé de haute trahison.

Trois heures, quatre, cinq allaient passer sans rien de nouveau, et puis miracle !

Au bout de six heures, John MILLER apparaissait en haut de la petite colline, comme par enchantement.

Jack se rendit à son encontre, et le ramena jusqu'au module. John, était sonné, et bizarre. Mais il était vivant et ses constantes semblaient normales, mis à part un détail : il répétait sans cesse les mêmes mots, comme un véritable robot.

La mission allait se poursuivre normalement pour Jack WILSON, le commandant de l’expédition, tandis que John MILLER qui était le pilote du (LEM) allait être remonté dans son module lunaire « Challenger » où il allait rester cloîtré pendant le reste de la mission, continuant à débiter ses mêmes kyrielles et, de temps à autres, d’autres phonèmes incompréhensibles.

Pourtant, les responsables de Houston allaient interrompre la mission et programmer le retour sur terre avec un jour d’avance. Même s’ils craignaient que les journalistes posent des questions embarrassantes, sur ce changement de « timing », le risque d’un problème majeur sur l’état de santé de John MILLER, à des milliers de kilomètres, était beaucoup plus important, d’autant que l’on ignorait de quoi il souffrait, et quelle avait été la cause de cette curieuse disparition.

Sur la Lune, John MILLER qui était le pilote du (LEM), n’étant pas en mesure d’accomplir sa tâche, ce fut le commandant WILSON, qui se chargea du décollage et de l’arrimage au module de commande resté sur orbite lunaire, contrôlé par le troisième homme, Amber BROWN.

Les diverses manœuvres allaient avoir lieu sans encombre et les trois astronautes, comme prévu, amerrirent leur capsule sans le moindre souci dans l’océan Pacifique.

2

« Photo NASA, du centre de contrôle des missions Apollo de Houston »

Dès son arrivée sur terre, et la période de quarantaine passée, John MILLER fut immédiatement soustrait à tout contact ou interview avec les journalistes et interné dans un centre spécial à l’intérieur même du complexe de la NASA.

Il allait subir les examens les plus exhaustifs et complets, par toutes les éminences médicales et psychiatriques du pays et naturellement questionné par les autorités civiles et militaires.

Seulement, malgré toutes ces contraignantes et rigoureuses mesures, MILLER ne put fournir aucune information ou renseignement sur ce qui avait pu se passer pendant les six heures où il avait complètement disparu de la vue du commandant Jack WILSON.

John MILLER, continuait à débiter invariablement, les mêmes mots.